Toutes les actualités du Ministre, les actualités politiques liées directement ou indirectement aux compétences sur lesquelles le cabinet travaille.

Trouver une formation en Région de Bruxelles-Capitale

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Pour que les chercheurs d'emploi puissent trouver une formation plus facilement, Bruxelles Formation publie son catalogue de formation 2024. Photo illustrant une salle de cours, personnes en formation.

Le catalogue de l’offre de formation 2024 de Bruxelles-formation en lien ci-dessous propose 24.500 places de formation aux chercheurs d’emploi bruxellois. Près de 80% de ces places sont professionnalisantes, c’est 12% de plus qu’en 2023. Le chercheur d’emploi peut y trouver une formation dans laquelle il apprend un métier de A à Z. Tout comme il peut trouver une formation qui soit complémentaire à ses acquis et à son expérience.

Relever le défi des compétences

Bilan de compétences systématique pour les chercheurs d’emploi, priorité à la formation, revenu de formation doublé, recentrage sur l’accompagnement des chercheurs d’emploi, développement des pôles formation emploi, voilà autant de priorités politiques et de mesures qui vont dans la même direction : relever le défi des compétences pour relever celui de l’emploi. Dans cette optique, que chaque chercheur d’emploi puisse trouver une formation en Région de Bruxelles-Capitale est une priorité.

Trouver une formation grâce au classement par domaines

Les priorités établies pour les programmes de formation sont bien lisibles dans l’offre de formation 2024, en termes de places et d’heures. Gestion, numérique et langues viennent en tête des domaines de formation, tout comme l’Horeca, la construction, la santé, le transport et la logistique. Les formations disponibles sont classées par domaines de formation, ainsi le lien « formations – métiers – secteurs » permet aux chercheurs d’emploi de trouver une formation plus aisément. Quand on sait que 70% des heures en formation professionnalisante sont en lien avec les métiers qui recrutent, on mesure à quel point la volonté de faire de la formation une porte ouverte vers l’emploi est déjà une réalité.

En plus du catalogue de formation, l’outil « Dorifor » donne accès au calendrier actualisé et permet de s’inscrire en ligne.

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Le droit de médiation, plus près de la décision

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Le droit de médiation - Photo d'une assemblée participative

Feu vert en séance plénière du Parlement bruxellois sur un projet d’ordonnance modifiant la Nouvelle Loi Communale. Porté par Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois des Pouvoirs Locaux, celui-ci prévoit de nouvelles dispositions en matière de participation citoyenne, notamment le droit de médiation. 

« La participation citoyenne est une forme de communication à double sens via la sensibilisation et la consultation des citoyens, qui souhaitent être plus impliqués dans les décisions politiques, notamment au niveau local. Et c’est normal puisque c’est le niveau de pouvoir le plus proche des citoyens, avec lequel ils ont le plus de contacts », commente Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois des Pouvoirs locaux. 

Le droit de médiation : la recherche d’une solution

Le droit d’expression rassemble le droit de pétition et le droit d’interpellation. Mais il contient également une nouvelle forme d’expression citoyenne : le droit de médiation. 

En effet, les autorités communales, lorsqu’elles sont saisies d’une interpellation, peuvent décider d’organiser une médiation. Celle-ci peut également émaner des citoyens parce qu’ils l’estiment nécessaire et souhaitent se concerter sur un sujet déterminé avec la commune. 

« Le droit de médiation va plus loin que le simple fait de questionner les instances communales. Cela vise la recherche d’une solution, d’un compromis. Et donc les citoyens bénéficient d’un impact réel sur le développement des projets de leur commune », détaille Bernard Clerfayt.

Obligation de publication

Autre nouveauté : la commune devra publier sur son site internet les projets de délibérations accompagnés d’une synthèse des décisions communales avant chaque conseil.

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Un cadre légal pour le précompte immobilier différencié

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Le gouvernement bruxellois prépare un cadre légal pour le précompte immobilier différencié - Photo : vue panoramique de la Région de Bruxelles-Capitale.

La réforme concernant le précompte immobilier différencié portée par le Ministre bruxellois des Finances Sven Gatz et Bernard Clerfayt, le Ministre bruxellois des Pouvoirs locaux, a été approuvée en première lecture par le gouvernement bruxellois. La mesure permet aux communes de modifier le taux du précompte immobilier selon différents critères : quartier, nature d’occupation du bien, etc. L’objectif : moderniser la fiscalité communale, la simplifier et diminuer les coûts de prélèvements des recettes fiscales. 

À propos du précompte immobilier

Le précompte immobilier est un impôt régional que les citoyens payent chaque année sur les biens immobiliers. On parle aussi de l’impôt des propriétaires. Mais la taxe de base destinée à la Région ne constitue qu'une partie du précompte immobilier.  

Les communes majorent cette taxe de base de centimes additionnels, dont le taux varie d’une commune à l’autre mais est identique pour l’ensemble de son territoire. A cela d’autres taxes peuvent s’ajouter, telles que la taxe sur les surfaces de bureau ou celle concernant les espaces commerciaux.

Le principe du précompte immobilier différencié ? 

Le précompte immobilier différencié doit permettre aux communes de modifier les centimes additionnels au précompte immobilier en fonction des quartiers mais également en fonction de l’occupation du bâtiment (privée/professionnelle) ainsi que de la qualité du contribuable (résident/non-résident) ou encore la taille de l’immeuble. 

« En introduisant une taxation différenciée pour le précompte immobilier, comme c'est déjà le cas dans certaines communes flamandes, nous voulons encourager les communes bruxelloises à adopter une politique fiscale plus moderne et plus efficace. Aujourd'hui, la plupart des communes prélèvent toutes sortes de taxes et d'impôts sur les biens immobiliers. Avec des centimes différenciés, d'autres taxes peuvent être plus facilement intégrées et modulées dans le précompte immobilier, ce qui devrait garantir une fiscalité foncière locale plus transparente », explique Sven Gatz.

Les avantages du précompte immobilier différencié ?

Les avantages de cette mesure fiscale sont nombreux. Cet outil unique, proposé à la commune, lui permettra de concevoir sa fiscalité immobilière au mieux et de la manière la plus adaptée à ses besoins et défis. Surtout, le précompte immobilier différencié ouvre la porte à la suppression d’autres taxes communales en matière d’immobilier. 

« La simplification et l’adaptabilité sont les maîtres-mots qui ont guidé ce projet. Nous visons ici à simplifier la vie des citoyens grâce à la réduction du nombre de taxes et donc plus d’efficacité. Mais le précompte immobilier différencié, c’est aussi une opportunité dont les communes peuvent se saisir pour venir compléter des dynamiques de revalorisation urbaine de certains quartiers », commente Bernard Clerfayt.

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133 animaux maltraités saisis en 2023

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133 animaux maltraités ont été saisis en 2023 - Photo d'un chien maltraité saisi.

Bruxelles Environnement a enregistré 92 plaintes pour animaux maltraités en 2023. Par ailleurs, 42 saisies pour un total de 133 animaux ont été effectuées l’année dernière en Région bruxelloise. Parmi ces animaux maltraités, on trouve 54 chiens, 61 chats, 8 oiseaux, 2 rongeurs, 1 lapin, 1 équidé et 6 araignées.

Importance du signalement

Signaler des faits de maltraitance animale permet d’intervenir en cas de situation problématique et de procéder, s’il le faut, à des saisies. Celles-ci peuvent avoir lieu pour plusieurs raisons : manque d’hygiène, négligence, sous-alimentation, maladies non-soignées, etc.

La plupart du temps, ces saisies font suite à des plaintes introduites par des citoyens auprès du service Bien-être animal de Bruxelles Environnement. L’année dernière, 92 plaintes ont été introduites, ce qui représente une diminution de 27,5% par rapport à 2022.

Que deviennent les animaux maltraités ?

Une fois pris en charge, ces animaux sont généralement confiés temporairement à un refuge dans l’attente de la décision de destination. Cette décision est prise par Bruxelles Environnement et doit intervenir dans les deux mois de la saisie.

Montant des amendes bientôt augmenté

Le Code bruxellois du bien-être animal prévoit une augmentation du montant des amendes pour animaux maltraités. Celles-ci pourraient atteindre 500.000 euros pour les infractions les plus graves contre 100.000 euros actuellement.

Parallèlement, le Code envisage de nouveaux outils inédits pour sanctionner les auteurs d’infractions tels que le travail d’intérêt animalier.

« Les faits de maltraitance animale ne doivent pas être pris à la légère. C’est pourquoi, les inspecteurs de Bruxelles Environnement redoublent d’efforts en ayant recours à des avertissements, des procès-verbaux et, dans certains cas, à des saisies. Mon nouveau code bruxellois du bien-être animal, qui est actuellement entre les mains du Conseil d’Etat, prévoit de nouveaux outils en vue de prévenir et sanctionner plus efficacement les atteintes au bien-être des animaux », conclut Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du Bien-être animal.

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Quel est le nom d’animal préféré en Région bruxelloise ?

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Chiens et chats appréciés des Bruxellois. Photo d'un chien et d'un chat se regardant.

Pour les chiens mâles, le nom d'animal préféré est Simba. Ensuite viennent Max, Milo, Rocky et Loki. Et pour les femelles, Bella, Luna, Lola, Maya et Kira. Relevons que Milo, Loki et Kira font pour la première fois, leur entrée dans ce classement.

Pour les chats, le nom d’animal préféré en 2023 est aussi Simba. Aussi appréciés : Tigrou, Cookie, Léo et Milo pour les mâles. Tandis que les femelles portent essentiellement les noms de Luna, Nala, Mia, Mimi et Bella.

Les races de chiens les plus populaires

Du côté des races de chiens les plus populaires en 2023, il y a du changement. Le chihuahua redevient le chien le plus populaire en Région bruxelloise, suivi par le canis vulgaris (le « bâtard »), le border collie, le teckel et ce top 5 se termine par une nouvelle entrée dans le classement le Spitz allemand. Exit donc pour la Labrador retriever qui figurait à la 3ème place l’année passée.

Du côté des chats, la race la plus commune reste, sans surprise, le chat de type européen, parfois appelé chat de gouttière.

C’est à Uccle, Anderlecht et Schaerbeek que l’on dénombre le plus de chiens avec respectivement, 10.162, 9.652 et 6.470 chiens enregistrés.

Identifier son animal : obligatoire !

C’est un fait : les Bruxellois apprécient la compagnie des animaux domestiques. En 2023, on dénombrait 57.241 chats et 88.384 chiens enregistrés en Région bruxelloise dans les bases de données CatID et DogID. Les chiens et les chats restent sans conteste les animaux de compagnie préférés des Bruxellois. 

« Qu’il s’appelle Simba ou Luna, un animal est une source de bonheur intarissable. Et cela s’accompagne aussi de grandes responsabilités : le nourrir, le soigner, le divertir mais aussi l’identifier ! C’est le moyen le plus sûr de pouvoir le retrouver si les aléas de la vie l’éloignent de vous. Et, je ne répéterai jamais assez qu’un maître responsable, c’est celui qui fait stériliser son chat », rappelle Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du Bien-être animal.

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Printemps Numérique 2024

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Printemps numérique 2024

Le Printemps Numérique de Bruxelles revient les 22 et 23 mars prochains sur le site emblématique de Tour & Taxis. De la réalité virtuelle à la cyber sécurité, en passant par l’intelligence artificielle, l’e-gaming, le rétrogaming et l’exploration des opportunités professionnelles du numérique, la 4e édition de ce rendez-vous incontournable promet une immersion captivante dans les dernières avancées technologiques. Suivez le guide !

Un événement gratuit

Porté par Paradigm, le Printemps Numérique de Bruxelles 2024 est une initiative d’envergure qui fait rayonner l’écosystème numérique de la Région bruxelloise.

Bénéficiant de l’appui de la Région bruxelloise et du Ministre de la Transition numérique, Bernard Clerfayt, cet événement gratuit se positionne comme une plateforme de rencontre incontournable. Il réunira un large public, des novices aux experts du numérique, qui partageront et enrichiront leur expertise. La mission est claire : initier, sensibiliser et guider le grand public à travers le passionnant univers des technologies numériques.

« Le Printemps Numérique est une expérience immersive où les visiteurs peuvent toucher, tester, développer, coder et qui sait, peut-être cela suscitera des vocations pour un métier dans le secteur du numérique de plus en plus recherché sur le marché de l’emploi bruxellois », déclare Bernard Clerfayt.

Aperçu de la programmation 2024 du printemps numérique

Le Printemps Numérique invite les visiteurs à explorer des espaces fascinants où démonstrations captivantes et expériences immersives éveilleront la curiosité de tous. Paradigm propose un itinéraire didactique sur l’empreinte environnementale du secteur numérique, illustré par le sac à dos écologique d’un ordinateur portable. Les amateurs de « Smart Buildings » découvriront des solutions technologiques de pointe pour des bâtiments plus intelligents et durables.

Le Printemps Numérique Bruxelles offre aussi une variété de conférences et de pitchs, sous la forme de "Pecha Kucha", sur des sujets tels que le jumeau numérique, le climat et la technologie, la mobilité, la cybersécurité, l'e-gaming, les métiers et les formations du numérique ou encore l'inclusion numérique. Des experts du numérique, issus de divers secteurs, élargiront les horizons du public en partageant leurs connaissances.

Jeunes et moins jeunes, en famille ou entre amis, les visiteurs auront également l’opportunité d’explorer les dernières tendances et innovations qui façonnent l’avenir numérique de notre société. Ils pourront également participer aux différentes activités interactives proposées sur les différents espaces d’exposition de près de 50 représentants de l’écosystème numérique bruxellois, national et international.

Des expériences éducatives pour les écoles

Le Printemps Numérique Bruxelles 2024 a prévu des animations aussi séduisantes que spécialement pensées pour nourrir la curiosité débordante des élèves.

Parmi les temps forts : ateliers de sensibilisation aux impacts environnementaux du numérique, mais aussi aux arnaques en ligne, démonstrations de bras robotisés, découvertes des métiers du numérique, sessions d’e-gaming, initiations au codage, et bien d’autres attractions palpitantes !

Une opportunité pour les plus jeunes de découvrir, apprécier et s’amuser autour du numérique grâce à une variété de stands qui leur sont dédiés !

Invisible Festival, une première exclusive pour le Printemps Numérique de Bruxelles

Le Printemps Numérique Bruxelles crée l'événement en ouvrant les portes de l'inédit « Invisible Festival ». Pour la première fois, les visiteurs seront conviés à explorer cet univers unique, célébrant la richesse et la diversité culturelle au cœur de l'Europe, dans la deuxième ville la plus cosmopolite au monde, Bruxelles.

Cette manifestation met en lumière les héros oubliés et méconnus de l'histoire avec un programme riche d'activités, basé sur des avatars 3D, la réalité augmentée et autres expérimentations artistiques immersives. Une invitation à voyager dans des dimensions invisibles où l'art numérique prend vie, offrant une expérience sensorielle et culturelle inédite.

Informations pratiques

  • Où ? Tour & Taxis, Avenue du Port 86c à 1000 Bruxelles
  • Quand ? Le vendredi 22 mars et le samedi 23 mars 2024

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Le bien-être animal dans le cadre de la présidence belge

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Photo de quatre intervenants lors du colloque Bien-être animal « Call to Care for Animal Welfare », de gauche à droite : Bernard Clerfayt, Céline Tellier, Stella Kyriakides, Ben Weyts

Dans le cadre de la présidence belge du Conseil de l'UE, le Ministre du Bien-être animal Bernard Clerfayt participait ce 29 janvier au colloque « Call to Care for Animal Welfare »

Promouvoir une protection renforcée des animaux et un encadrement plus poussé du bien-être animal à l’échelle européenne est d’une importance cruciale. Plus spécifiquement, l’accent a été mis sur la protection des animaux d’élevage. La participation de la Commissaire européenne Stella Kyriakides et de Claire Bury, Deputy Director General for Food sustainability, DG SANTE, confirma le vif intérêt de la Commission pour le Bien-être animal. Avec Ben Weyts pour la Région flamande et Céline Tellier pour la Région wallonne, le ministre du Bien-être animal Bernard Clerfayt a mis l’accent sur les enjeux majeurs du Bien-être animal.

À l’échelle régionale ou européenne, les études confirment l’attention pour le bien-être animal

Les récents résultats d'enquêtes, dont le dernier eurobaromètre et l'initiative "Donnez-nous votre voix", témoignent d'une préoccupation croissante de la société pour la protection des animaux. Avec des données probantes, 84 % des citoyens européens plaident en faveur d'une meilleure protection des animaux d'élevage, tandis que 74 % aspirent à un niveau supérieur de bien-être pour les animaux de compagnie.

En Région bruxelloise, une étape significative se profile dans la législation sur le bien-être animal. Des initiatives ambitieuses, telles que la reconnaissance de la sentience et l'interdiction de la vente d'animaux vivants sur les marchés, visent à élever les normes, positionnant notre région comme un modèle en matière de protection animale.

Pour des pratiques commerciales responsables partout en Europe

Cependant, ces défis dépassent les frontières nationales. La publicité en ligne d'animaux, par exemple, nécessite une approche coordonnée à l'échelle européenne pour garantir des pratiques responsables.

Sans un encadrement strict, les publicités relatives aux chiens et aux chats, en particulier lorsqu’elles ont lieu sur les réseaux sociaux, n’offrent pas les garanties suffisantes afin de prendre une décision réfléchie et informée sur l’accueil d’un animal au sein de son foyer. Cela pouvant mener jusqu’à la négligence ou à l’abandon de l’animal.

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