Lutte contre l’expérimentation animale : la Région soutient deux projets de recherche

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Laboratoire de recherche

Le gouvernement a approuvé l’octroi de subventions à la VUB pour son projet « RE-Place » ainsi qu’à l’ULB pour son projet « Alternatives à expérimentation animale ». Ces derniers poursuivent deux objectifs : diminuer l’utilisation des animaux de laboratoire et promouvoir les méthodes alternatives.

« diminuer drastiquement le nombre d’animaux utilisés dans des expériences »

« La science a évolué et a fait naître des alternatives n’impliquant pas d’animaux de laboratoire, basées sur des cellules humaines et qui donnent des résultats plus pertinents pour l’homme. Il est donc crucial de permettre non seulement le développement de ces méthodes mais aussi leur recensement et leur notoriété pour maintenir mon objectif de diminuer drastiquement le nombre d’animaux utilisés dans des expériences », conclut Bernard Clerfayt.

Soutenir la recherche et faire connaître les méthodes alternatives

Dans le cadre du projet de l’ULB, la subvention aidera les chercheurs à développer davantage l’usage de modèles organoïdes, une méthode qui permet de modéliser de nombreux tissus humains et évite ainsi l’usage d’animaux lors d’expériences scientifiques.

La subvention octroyée à RE-Place permettra de mettre à jour la base de données rassemblant toutes les méthodes alternatives à l’expérimentation animale mais également d’améliorer l’outil et d’inciter à l’utilisation de ces méthodes.

45% de diminution, un bon résultat à améliorer

Le nombre d’animaux utilisés lors d’expériences a diminué de 45% par rapport à 2015. Mais il reste toujours trop élevé alors qu’il existe pourtant des alternatives à l’expérimentation animale.

Pour mener à bien ces recherches, la Région bruxelloise débloque une enveloppe totale de 109.000€. Le but est de réduire à terme le nombre d’animaux employés en laboratoire tout en favorisant au maximum le recours aux méthodes alternatives.

Lutte contre l’expérimentation animale : la Région soutient deux projets de recherche

Communiqué de presse

Sur proposition du Ministre bruxellois du Bien-être animal, Bernard Clerfayt, le gouvernement a approuvé l’octroi de subventions à la VUB pour son projet « RE-Place » ainsi qu’à l’ULB pour son projet « Alternatives aux expérimentations animales ». Ces derniers poursuivent deux objectifs : diminuer l’utilisation des animaux de laboratoire et promouvoir les méthodes alternatives.

Le nombre d’animaux utilisés lors d’expériences a diminué de 45% par rapport à 2015. Mais il reste toujours trop élevé alors qu’il existe pourtant des alternatives à l’expérimentation animale.

C’est pourquoi, le Ministre bruxellois du Bien-être animal, Bernard Clerfayt, soutient le projet « Alternatives aux expérimentations animales » de l’ULB ainsi que le projet « RE-Place » de la VUB. Pour mener à bien ces recherches, la Région bruxelloise débloque une enveloppe totale de 109.000€. Le but est de réduire à terme le nombre d’animaux employés en laboratoire tout en favorisant au maximum le recours aux méthodes alternatives.

Dans le cadre du projet de l’ULB, la subvention aidera les chercheurs à développer davantage l’usage de modèles organoïdes, une méthode qui permet de modéliser de nombreux tissus humains et évite ainsi l’usage d’animaux lors d’expériences scientifiques.

La subvention octroyée à RE-Place permettra de mettre à jour la base de données rassemblant toutes les méthodes alternatives à l’expérimentation animale mais également d’améliorer l’outil et d’inciter à l’utilisation de ces méthodes.

« La science a évolué et a fait naître des alternatives n’impliquant pas d’animaux de laboratoire, basées sur des cellules humaines et qui donnent des résultats plus pertinents pour l’homme. Il est donc crucial de permettre non seulement le développement de ces méthodes mais aussi leur recensement et leur notoriété pour maintenir mon objectif de diminuer drastiquement le nombre d’animaux utilisés dans des expériences », conclut Bernard Clerfayt.


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Le budget Bien-être animal 2023 a quasi doublé depuis 2019

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Les montants accordés aux communes leur permettent de développer des infrastructures dédiées au Bien-être des animaux en ville.

Le Ministre bruxellois du Bien-être animal, Bernard Clerfayt, a présenté le 30 novembre le budget alloué au bien-être animal. Soutien aux communes, aux refuges, au secteur associatif, aux chercheurs… des moyens importants sont débloqués à tous niveaux afin de garantir et d’améliorer la qualité de vie des animaux en Région bruxelloise.

La volonté de plus de moyens : + 1 million d’euros !

Si le budget atteignait 1,5 millions d’euros en 2019, il grimpe, en 2023, à 2,5 millions. « Depuis mon entrée en fonction, j’ai travaillé ardemment pour augmenter sensiblement les moyens dévolus au bien-être animal. Résultat : entre 2019 et 2023, le budget a augmenté d’un million d’euros pour atteindre 2,5 millions. Des montants indispensables pour améliorer la qualité de vie de nos animaux », explique le Ministre amarante.

Le secteur associatif et les communes, nos partenaires

Mais ce travail ne se fait pas seul. Pour y arriver, la Région peut compter notamment sur les communes et le secteur associatif. C’est pourquoi, les montants accordés aux communes ont été doublés depuis 2019 pour atteindre 225.000 en 2023. Quant aux associations, leur budget a été multiplié par 4, passant de 70.000 euros en 2019 à 285.000 euros en 2023.   

« Nous avons décidé d’augmenter tous les moyens dédiés à nos partenaires. Car le bien-être animal, c’est l’affaire de tous. C’est en travaillant ensemble que nous pourrons continuer à avancer », conclut Bernard Clerfayt.

Le projet “Paddock Paradise” de la ferme Nos Pilif

Extrait de presse
Extrait de presse, La Dernière Heure : "

Extrait de l'article publié par la Dernière Heure

La Ferme Nos Pilif implantée à Bruxelles recevra une contribution de 38 500 euros par le gouvernrement bruxellois dans le but de construire un “paddock paradise” pour réunir chevaux, ânes et moutons dans un nouvel espace de vie ressemblant à leur habitat naturel. “ Nous pouvons observer un phénomène très positif sur le mental des équidés lorsqu’ils partagent leur lieu de vie avec d’autres espèces ” […]

Projet « Paddock Paradise » pour la ferme Nos Pilifs

Extrait de presse
Extrait de presse, La Capitale : "La ferme Nos Pilifs veut construire un "Paddock Paradise" pour les animaux

Extrait de l'article publié par La Capitale

Le gouvernement bruxellois soutient à hauteur de 38.500 euros , le projet « Paddock Paradise » de la ferme Nos Pilifs. Le but ? Offrir un nouvel espace aux chevaux, poneys, ânes et moutons, qui se rapproche le plus possible de leur habitat naturel.

[…] « Les animaux pourront profiter d’un environnement propice à leur bien-être et à leur santé. Ils seront, en effet, libres de se déplacer et de profiter d’un espace extérieur comme c’est le cas dans leur environnement naturel. Nous pouvons d’ailleurs observer un phénomène très positif sur le mental des équidés lorsqu’ils partagent leur lieu de vie avec d’autres espèces », déclare Bernard Clerfayt. […]

Soutien au projet « Paddock Paradise » de la ferme Nos Pilifs

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Ferme Nos Pilifs, les ânes

Sur proposition de Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du Bien-être animal, le gouvernement bruxellois a décidé de soutenir à hauteur de 38.500€, le projet « Paddock Paradise » de la ferme Nos Pilifs. Le but ? Offrir un nouvel espace aux chevaux, poneys, ânes et moutons, qui se rapproche le plus possible de leur habitat naturel et améliore ainsi leur santé et leur bien-être.

« Paddock Paradise » prend place dans un cadre propice au bien-être animal et aux relations harmonieuses humains – animaux - nature

La Ferme Nos Pilifs est un endroit assez unique. Implantée depuis 1984 sur le territoire bruxellois, ses activités se développent autour de trois pôles : les métiers verts, l’alimentation durable, et un troisième pôle constitué de la formation et de l’éducation à l’environnement.

La partie ferme d’animation s’adresse, quant à elle, à un public plus jeune, sensibilisé au monde de la ferme par une série d’activités. Au-delà du traitement des animaux, l’objectif est aussi d’attirer l’attention des enfants sur le rôle du potager, sur l’importance de la diversité dans les cultures, sur la consommation responsable, sur la tolérance…tout en créant un véritable échange entre les visiteurs et les travailleurs.

« Les animaux pourront profiter d’un environnement propice à leur bien-être et à leur santé. Ils seront, en effet, libres de se déplacer et de profiter d’un espace extérieur comme c’est le cas dans leur environnement naturel. Nous pouvons d’ailleurs observer un phénomène très positif sur le mental des équidés lorsqu’ils partagent leur lieu de vie avec d’autres espèces », déclare Bernard Clerfayt.

Relation thérapeutique humains-chevaux

Par ailleurs, la ferme pourrait proposer également un programme d’hippothérapie. Cette approche de plus en plus répandue est une technique qui fait intervenir le cheval comme moyen thérapeutique, avec l'objectif d'améliorer les facultés psychiques, psychomotrices ou relationnelles des personnes.

Bien-être animal : la Région soutient un projet de « Paddock Paradise »

Communiqué de presse

Sur proposition de Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du Bien-être animal, le gouvernement bruxellois a décidé de soutenir à hauteur de 38.500€, le projet « Paddock Paradise » de la ferme Nos Pilifs. Le but ? Offrir un nouvel espace aux chevaux, poneys, ânes et moutons, qui se rapproche le plus possible de leur habitat naturel et améliore ainsi leur santé et leur bien-être.

La Ferme Nos Pilifs est un endroit assez unique. Implantée depuis 1984 sur le territoire bruxellois, ses activités se développent autour de quatre pôles : le jardinage, l’alimentation durable, la formation et l’éducation.

La partie ferme d’animation s’adresse, quant à elle, à un public plus jeune, sensibilisé au monde de la ferme par une série d’activités. Au-delà du traitement des animaux, l’objectif est aussi d’attirer l’attention des enfants sur le rôle du potager, sur l’importance de la diversité dans les cultures, sur la consommation responsable, sur la tolérance…tout en créant un véritable échange entre les visiteurs et les encadrants.

Dans le cadre de ces activités, la ferme a pour projet de construire un « paddock paradise » pour réunir chevaux, ânes et moutons dans un nouvel espace de vie qui ressemble fortement à leur habitat naturel. Sur proposition du Ministre bruxellois du Bien-être animal, Bernard Clerfayt, la Région bruxelloise a décidé de soutenir cette installation à hauteur de 38.500€.

« Les animaux pourront profiter d’un environnement propice à leur bien-être et à leur santé. Ils seront, en effet, libres de se déplacer et de profiter d’un espace extérieur comme c’est le cas dans leur environnement naturel. Nous pouvons d’ailleurs observer un phénomène très positif sur le mental des équidés lorsqu’ils partagent leur lieu de vie avec d’autres espèces », déclare Bernard Clerfayt.

Par ailleurs, la ferme pourrait proposer également un programme d’hippothérapie. Cette approche de plus en plus répandue est une technique qui fait intervenir le cheval comme moyen thérapeutique, avec l'objectif d'améliorer les facultés psychiques, psychomotrices ou relationnelles des personnes.

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Pauline Lorbat – 0485 89 47 45