Réforme du congé-éducation

Actualité
Réformer le congé-éducation pour en faicliter l'accès à plus de travailleurs

Le congé-éducation payé est un mécanisme permettant aux travailleurs de se former tout en conservant leur salaire. Le coût de la formation est ensuite remboursé à l’entreprise par les pouvoirs publics.

Les écueils à améliorer

Transféré aux Régions dans le cadre de la sixième réforme de l’État, le dispositif actuel de congé-éducation fonctionne correctement mais souffre de quelques écueils.

On constate notamment que les femmes sont sous-représentées (38%), les personnes porteuses d’un handicap ne disposent pas toujours d’un environnement de formation adapté ou encore les travailleurs à temps partiel sont exclus du dispositif.

Par ailleurs, toujours dans le cadre du congé-éducation payé, les entreprises n’ont actuellement pas de plafond budgétaire. Ainsi deux entreprises, certes importantes, consomment à elles seules plus de 30% des 14,5 millions consacrés au congé-éducation payé.

Un taux de participation à la formation continue trop bas

En Belgique le taux de participation des travailleurs à la formation continue ne dépasse pas 44%. Pour les personnes faiblement éduquées, il est encore plus faible et atteint péniblement les 24%. À titre de comparaison, ce taux est de 64% en Allemagne.

Pourtant, augmenter ce taux de 44% est indispensable au regard des mutations à l’œuvre sur le marché de l’emploi et s’inscrit dans le cadre de l’apprentissage tout au long de la vie.

« Former continuellement ses travailleurs, c’est bon pour tout le monde ! Les entreprises ont besoin de collaborateurs possédant les dernières compétences, le marché de l’emploi doit pouvoir proposer des travailleurs compétents et les citoyens doivent bénéficier d’une formation adéquate pour réussir dans la vie. Il faut mobiliser tous les leviers permettant aux travailleurs de se former et se réorienter au gré de leur carrière ! », analyse Bernard Clerfayt.

Garantir le droit à se former

C’est pourquoi, pour augmenter ce taux de formation continue, Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation professionnelle, a décidé de modifier le dispositif. Sur sa proposition, le gouvernement a marqué son accord en première lecture sur la réforme du dispositif congé-éducation payé. Objectif : garantir le droit à se former pour tous les travailleurs.

Comment améliorer l'accès au congé-éducation ?

Il sera possible de suivre des formations en distanciel et sur son lieu de travail. Ces nouvelles mesures permettront notamment aux femmes (cheffes de ménage monoparental) et aux personnes souffrant d’un handicap d’accéder plus facilement aux formations qu’ils souhaitent suivre. Le congé-éducation payé sera étendu aux travailleurs à temps partiels. Là aussi, les femmes, car ce sont elles qui travaillent majoritairement à temps partiel, pourront voir leur accès à la formation continue facilité.

Enfin, un plafond par entreprise de 700.000€ sera mis en place pour éviter certains effets d’aubaine.

« Se former tout au long de sa vie, c’est vital. Pour son développement personnel d’abord mais aussi pour progresser dans son métier, se reconvertir et s’adapter aux évolutions qu’elles soient numériques ou environnementales. C’est aussi vital pour le marché de l’emploi. Si le travailleur possède les bonnes compétences, il est assuré de rester attractif et de se créer de nouvelles opportunités de carrière. C’est ce que je plaide en tant que Ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle : miser sur la formation ! », conclut Bernard Clerfayt.

Quelques autres infos à propos de la formation professionnelle :

La réforme du congé-éducation, un accès facilité à la formation pour tous les travailleurs !

Communiqué de presse

Sur proposition de Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation professionnelle, le gouvernement a marqué son accord en première lecture sur la réforme du dispositif congé-éducation payé. Objectif : garantir le droit à se former pour tous les travailleurs.

En Belgique le taux de participation des travailleurs à la formation continue ne dépasse pas 44%. Pour les personnes faiblement éduquées, il est encore plus faible et atteint péniblement les 24%. A titre de comparaison, ce taux est de 64% en Allemagne.

Pourtant, augmenter ce taux de 44% est indispensable au regard des mutations à l’œuvre sur le marché de l’emploi et s’inscrit dans le cadre de l’apprentissage tout au long de la vie.

« Former continuellement ses travailleurs, c’est bon pour tout le monde ! Les entreprises ont besoin de collaborateurs possédant les dernières compétences, le marché de l’emploi doit pouvoir proposer des travailleurs compétents et les citoyens doivent bénéficier d’une formation adéquate pour réussir dans la vie. Il faut mobiliser tous les leviers permettant aux travailleurs de se former et se réorienter au gré de leur carrière ! », analyse Bernard Clerfayt.

Le congé-éducation payé est un mécanisme permettant aux travailleurs de se former tout en conservant leur salaire. Le coût de la formation est ensuite remboursé à l’entreprise par les pouvoirs publics. Transféré aux Région dans le cadre de la sixième réforme de l’Etat, le dispositif actuel fonctionne correctement mais souffre de quelques écueils.

On constate notamment que les femmes sont sous-représentées (38%), les personnes porteuses d’un handicap ne disposent pas toujours d’un environnement de formation adapté ou encore les travailleurs à temps partiels sont exclus du dispositif.

Par ailleurs, toujours dans le cadre du congé-éducation payé, les entreprises n’ont actuellement pas de plafond budgétaire. Ainsi deux entreprises, SECURITAS et AUDI, consomment à elles seules plus de 30% des 14,5 millions consacrés au congé-éducation payé.

C’est pourquoi, pour augmenter ce taux de formation continue, Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation professionnelle, a décidé de modifier le dispositif. Comment ?

Il sera possible de suivre des formations en distanciel et sur son lieu de travail. Ces nouvelles mesures permettront notamment aux femmes (cheffes de ménage monoparental) et aux personnes souffrant d’un handicap d’accéder plus facilement aux formations qu’ils souhaitent suivre. Le congé-éducation payé sera étendu aux travailleurs à temps partiels. Là aussi, les femmes, car ce sont elles qui travaillent majoritairement à temps partiel, pourront voir leur accès à la formation continue facilité.

Enfin, un plafond par entreprise de 700.000€ sera mis en place pour éviter certains effets d’aubaine.

« Se former tout au long de sa vie, c’est vital. Pour son développement personnel d’abord mais aussi pour progresser dans son métier, se reconvertir et s’adapter aux évolutions qu’elles soient numériques ou environnementales. C’est aussi vital pour le marché de l’emploi. Si le travailleur possède les bonnes compétences, il est assuré de rester attractif et de se créer de nouvelles opportunités de carrière. C’est ce que je plaide en tant que Ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle : miser sur la formation ! », conclut Bernard Clerfayt

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

Service citoyen : 118 jeunes bruxellois tenteront l’expérience en 2023

Communiqué de presse

Sur proposition du Ministre bruxellois de l’Emploi, Bernard Clerfayt, la Région a approuvé l’octroi d’un subside de 400.000 € à la plateforme pour le service citoyen. Cette initiative permettra à 118 jeunes bruxellois de s’engager dans des projets utiles à la collectivité.

Destiné aux Bruxellois de moins de 25 ans, le service citoyen offre la possibilité aux jeunes de s’engager dans des projets utiles à la collectivité en Belgique et à l’étranger. Durant plusieurs mois, ces derniers sont amenés à faire leurs premiers pas dans le monde du travail. 

A côté de ces tâches pratiques, le service citoyen offre également un programme de formation : sensibilisation à l’éco-citoyenneté, à la démocratie, à la communication… Cette immersion dans le milieu du travail leur permet d’acquérir de nombreuses compétences utiles à l’élaboration de leur projet professionnel et à leur intégration sur le marché de l’emploi.

« Le service citoyen est un formidable outil pour soutenir et guider les jeunes en perte de sens. 75% des jeunes qui sortent du service citoyen reprennent des études ou trouvent un travail. Le fait de se confronter au réel et de découvrir le monde de l’emploi les aide à trouver leur voie », commente Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi.

Cette année, dix jeunes ukrainiens pourront également participer au parcours de service citoyen. Ils seront accompagnés par des parrains et réaliseront les mêmes missions que le reste du groupe.


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Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

Service citoyen : 118 jeunes bruxellois tenteront l’expérience en 2023

Actualité
Service citoyen pour 118 jeunes Bruxellois en 2023

Sur proposition du Ministre bruxellois de l’Emploi, Bernard Clerfayt, la Région a approuvé l’octroi d’un subside de 400.000 € à la plateforme pour le service citoyen. Cette initiative permettra à 118 jeunes bruxellois de s’engager dans des projets utiles à la collectivité.

Destiné aux Bruxellois de moins de 25 ans, le service citoyen offre la possibilité aux jeunes de s’engager dans des projets utiles à la collectivité en Belgique et à l’étranger. Durant plusieurs mois, ces derniers sont amenés à faire leurs premiers pas dans le monde du travail.

Se former, acquérir des compétences

A côté de ces tâches pratiques, le service citoyen offre également un programme de formation : sensibilisation à l’éco-citoyenneté, à la démocratie, à la communication… Cette immersion dans le milieu du travail leur permet d’acquérir de nombreuses compétences utiles à l’élaboration de leur projet professionnel et à leur intégration sur le marché de l’emploi.

« Le service citoyen est un formidable outil pour soutenir et guider les jeunes en perte de sens. 75% des jeunes qui sortent du service citoyen reprennent des études ou trouvent un travail. Le fait de se confronter au réel et de découvrir le monde de l’emploi les aide à trouver leur voie », commente Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi.

Cette année, dix jeunes ukrainiens pourront également participer au parcours de service citoyen. Ils seront accompagnés par des parrains et réaliseront les mêmes missions que le reste du groupe.

Nouveaux contrats de gestion pour Actiris et Bruxelles Formation

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Nouveau contrat de gestion pour Actiris et Bruxelles Formation

Actiris et Bruxelles Formation disposent de nouveaux contrats de gestion pour les 5 prochaines années, soit de 2023 à 2027. Ils fixent les missions et les priorités de chacun en vue de développer les compétences des chercheurs d’emploi bruxellois et d’augmenter le taux d’emploi en Région bruxelloise.

Améliorer les compétences des chercheurs d’emploi

Approuvés en décembre dernier, les deux contrats de gestion d’Actiris et de Bruxelles Formation lient les deux organismes et la Région pour une période de cinq ans. Objectif principal : augmenter le taux d’emploi des Bruxellois. Comment ? En améliorant les compétences de tous les chercheurs d’emploi bruxellois afin d’assurer leur insertion sur le marché de l’emploi.

Recentrage sur le cœur de métier

La rédaction de ces deux nouveaux contrats de gestion est le résultat d’un processus collaboratif réalisé sur base de l’évaluation des contrats de gestion précédents mais également avec l’implication des collaborateurs, des membres du Comité de gestion et du Ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle, Bernard Clerfayt.

« Je voulais des contrats de gestion qui reviennent aux fondamentaux avec un objectif unique et partagé « accéder à l’emploi ».  Pour ce faire, il faut miser sur la formation et la montée en compétences des chercheurs d’emploi pour leur permettre de s’insérer sur le marché du travail. Recentrer Actiris et Bruxelles Formation sur leur cœur de métier est indispensable si l’on veut contribuer à augmenter le taux d’emploi en Région bruxelloise »,insiste le Ministre amarante.

Rapprocher offre et demande d’emploi

En Région bruxelloise, près de deux tiers des offres d’emploi nécessitent des compétences spécifiques. 80 % des offres d’emploi exigent la connaissance du français et du néerlandais et de plus en plus les employeurs attendent de la part de leurs collaborateurs des compétences numériques, notamment en bureautique. Or, près de 70 % des chercheurs d’emploi bruxellois ont au maximum leur diplôme secondaire. Seuls 6,5 % des chercheurs d’emploi ont une bonne connaissance de l’autre langue nationale et 17 % seulement ont une adresse mail.

Dans ce contexte, la formation s’impose comme une étape indispensable pour de nombreux chercheurs d’emploi. C’est ce fil rouge qui a défini les différents axes des contrats de gestion.

Ainsi, Actiris mettra en œuvre un accompagnement renforcé de tous ces chercheurs d’emploi, notamment ceux qui sont le plus éloignés du marché de l’emploi et inscrits chez Actiris depuis plus d’un an. Ils bénéficieront d’un bilan de compétences professionnelles, linguistiques et numériques. Sur base de celui-ci, un parcours de formation sera défini afin de leur permettre d’intégrer le marché de l’emploi.

« Le fil rouge qui traverse notre nouveau contrat de gestion est l’augmentation du taux d’emploi des Bruxellois et Bruxelloises. Pour y parvenir, nous comptons renforcer l’accompagnement des chercheurs d’emploi de longue durée et adapter l’accompagnement des nouveaux chercheurs d’emploi pour qu’ils (re)trouvent rapidement du travail. Cet accompagnement se basera sur un bilan de compétences linguistiques, numériques et métiers pour identifier les leviers à leur proposer. Et finalement, nous voulons optimiser les parcours de nos usagers et continuer à améliorer nos services, avec un vrai focus qualité. La qualité, c’est l’affaire de tous pour tous », explique Cristina Amboldi, Directrice générale d’Actiris.

« Je suis très satisfait de cette feuille de route pour les cinq prochaines années. Le nouveau contrat de gestion est ambitieux et réaliste. Il voit Actiris se concentrer sur ses missions principales : rapprocher les chercheurs d'emploi du monde du travail et aider les employeurs à se rapprocher des chercheurs d'emploi. Il me tarde de collaborer avec tous les membres du comité de direction d’Actiris pour atteindre ensemble notre objectif : augmenter le taux d’emploi des Bruxellois », poursuit Landry Mawungu, Président du Comité de gestion d’Actiris.

Pour mieux articuler formation et emploi

Quant à Bruxelles Formation, l’office développera des formations mieux adaptées aux besoins des employeurs : formations de courte durée, formations anticipant les attentes des acteurs économiques, nouvelles méthodes pédagogiques, etc.

« Ce nouveau Contrat de gestion 2023-2027 place le cœur de métier, la Formation des chercheurs d’emploi, en priorité avec comme focus : la sécurisation des parcours de formation, la lutte contre la précarité des usagers et le renforcement du rôle de régisseur de l’offre de la formation à Bruxelles avec son élargissement possible à la Formation PME. La poursuite d’axes stratégiques communs avec Actiris dans le cadre des synergies emploi-formation est gage de continuité pour le service aux chercheurs d’emploi et aux employeurs », détaille Olivia P’tito, Directrice générale de Bruxelles Formation

« Je suis convaincue que ce nouveau Contrat de gestion renforcera encore le rôle de Bruxelles Formation aux côtés des Bruxelloises et des Bruxellois pour leur donner un meilleur accès à la formation pour l’emploi. Si avec ses Partenaires, Bruxelles Formation a réussi, malgré la crise du COVID-19, à offrir un vrai service et une écoute au public, alors ils relèveront sans aucun doute les défis à venir », avance Myriem Amrani, Présidente du Comité de gestion de Bruxelles formation.

« Les spécificités institutionnelles bruxelloises nécessitent une articulation entre les politiques d’’emploi et de formation. Ces feuilles de route partagées confèrent une vision commune à Actiris et à Bruxelles Formation pour faire réussir Bruxelles en misant sur tous les talents des Bruxellois », conclut Bernard Clerfayt.

Deux nouveaux contrats de gestion pour Actiris et Bruxelles Formation

Communiqué de presse

Actiris et Bruxelles Formation disposent de nouveaux contrats de gestion pour les 5 prochaines années, soit de 2023 à 2027. Ils fixent les missions et les priorités de chacun en vue de développer les compétences des chercheurs d’emploi bruxellois et d’augmenter le taux d’emploi en Région bruxelloise.

Approuvés en décembre dernier, les deux contrats de gestion d’Actiris et de Bruxelles Formation lient les deux organismes et la Région pour une période de cinq ans. Objectif principal : augmenter le taux d’emploi des Bruxellois. Comment ? En améliorant les compétences de tous les chercheurs d’emploi bruxellois afin d’assurer leur insertion sur le marché de l’emploi. 

La rédaction de ces deux nouveaux contrats de gestion est le résultat d’un processus collaboratif réalisé sur base de l’évaluation des contrats de gestion précédents mais également avec l’implication des collaborateurs, des membres du Comité de gestion et du Ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle, Bernard Clerfayt.

« Je voulais des contrats de gestion qui reviennent aux fondamentaux avec un objectif unique et partagé « accéder à l’emploi ».  Pour ce faire, il faut miser sur la formation et la montée en compétences des chercheurs d’emploi pour leur permettre de s’insérer sur le marché du travail. Recentrer Actiris et Bruxelles Formation sur leur cœur de métier est indispensable si l’on veut contribuer à augmenter le taux d’emploi en Région bruxelloise »,insiste le Ministre amarante.

Rapprocher offre et demande d’emploi

En Région bruxelloise, près de deux tiers des offres d’emploi nécessitent des compétences spécifiques. 80 % des offres d’emploi exigent la connaissance du français et du néerlandais et de plus en plus les employeurs attendent de la part de leurs collaborateurs des compétences numériques, notamment en bureautique. Or, près de 70 % des chercheurs d’emploi bruxellois ont au maximum leur diplôme secondaire. Seuls 6,5 % des chercheurs d’emploi ont une bonne connaissance de l’autre langue nationale et 17 % seulement ont une adresse mail.

Dans ce contexte, la formation s’impose comme une étape indispensable pour de nombreux chercheurs d’emploi. C’est ce fil rouge qui a défini les différents axes des contrats de gestion.

Ainsi, Actiris mettra en œuvre un accompagnement renforcé de tous ces chercheurs d’emploi, notamment ceux qui sont le plus éloignés du marché de l’emploi et inscrits chez Actiris depuis plus d’un an. Ils bénéficieront d’un bilan de compétences professionnelles, linguistiques et numériques. Sur base de celui-ci, un parcours de formation sera défini afin de leur permettre d’intégrer le marché de l’emploi.

« Le fil rouge qui traverse notre nouveau contrat de gestion est l’augmentation du taux d’emploi des Bruxellois et Bruxelloises. Pour y parvenir, nous comptons renforcer l’accompagnement des chercheurs d’emploi de longue durée et adapter l’accompagnement des nouveaux chercheurs d’emploi pour qu’ils (re)trouvent rapidement du travail. Cet accompagnement se basera sur un bilan de compétences linguistiques, numériques et métiers pour identifier les leviers à leur proposer. Et finalement, nous voulons optimiser les parcours de nos usagers et continuer à améliorer nos services, avec un vrai focus qualité. La qualité, c’est l’affaire de tous pour tous », explique Cristina Amboldi, Directrice générale d’Actiris.

« Je suis très satisfait de cette feuille de route pour les cinq prochaines années. Le nouveau contrat de gestion est ambitieux et réaliste. Il voit Actiris se concentrer sur ses missions principales : rapprocher les chercheurs d'emploi du monde du travail et aider les employeurs à se rapprocher des chercheurs d'emploi. Il me tarde de collaborer avec tous les membres du comité de direction d’Actiris pour atteindre ensemble notre objectif : augmenter le taux d’emploi des Bruxellois », poursuit Landry Mawungu, Président du Comité de gestion d’Actiris.

Quant à Bruxelles Formation, l’office développera des formations mieux adaptées aux besoins des employeurs : formations de courte durée, formations anticipant les attentes des acteurs économiques, nouvelles méthodes pédagogiques, etc.

« Ce nouveau Contrat de gestion 2023-2027 place le cœur de métier, la Formation des chercheurs d’emploi, en priorité avec comme focus : la sécurisation des parcours de formation, la lutte contre la précarité des usagers et le renforcement du rôle de régisseur de l’offre de la formation à Bruxelles avec son élargissement possible à la Formation PME. La poursuite d’axes stratégiques communs avec Actiris dans le cadre des synergies emploi-formation est gage de continuité pour le service aux chercheurs d’emploi et aux employeurs », détaille Olivia P’tito, Directrice générale de Bruxelles Formation

« Je suis convaincue que ce nouveau Contrat de gestion renforcera encore le rôle de Bruxelles Formation aux côtés des Bruxelloises et des Bruxellois pour leur donner un meilleur accès à la formation pour l’emploi. Si avec ses Partenaires, Bruxelles Formation a réussi, malgré la crise du COVID-19, à offrir un vrai service et une écoute au public, alors ils relèveront sans aucun doute les défis à venir », avance Myriem Amrani, Présidente du Comité de gestion de Bruxelles formation.

« Les spécificités institutionnelles bruxelloises nécessitent une articulation entre les politiques d’’emploi et de formation. Ces feuilles de route partagée confèrent une vision commune à Actiris et à Bruxelles Formation pour faire réussir Bruxelles en misant sur tous les talents des Bruxellois », conclut Bernard Clerfayt.
 

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Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

Titres-services

Extrait de presse
Extrait de presse, La Capitale: Ruée sur les titres-services avant la hausse des tarifs"

Extraits de l'article paru dans La Captale

[…] À l’exception de 2020, le nombre d’utilisateurs augmente chaque année depuis 2016 de minimum 2%. Pour atteindre, en 2022, le chiffre record de 116.162 utilisateurs bruxellois.

[…] En 2022, 17.405.370 titres-services ont été achetés, contre 16.022.073 en 2021, ce qui représente une hausse de près de 8%. «Les utilisateurs ont été beaucoup plus nombreux que d’habitude à acheter leurs titres au mois de décembre. On enregistre ainsi 2.197.346 titres émis, ce qui représente une augmentation de 62% par rapport à décembre 2021», précise le cabinet du ministre.

[…] Bernard Clerfayt précise que le secteur permet à près de 27.000 travailleurs, majoritairement des femmes de plus de 40 ans, de sortir du travail au noir et d’avoir accès aux droits sociaux