Promotion de l'emploi et diversité

Extrait de presse
Extrait de presse, Le Soir : "Le voile au travail : objet de discrimination vs libre choix de neutralité"

Extrait de l'article du journal Le Soir

Quelques extraits des interventions du Ministre Bernard Clerfayt dans ses échanges avec Ibrahim Ouassari:

[…] La participation des femmes est de plus en plus importante, surtout à Bruxelles. Peut-être parce que la ville offre plus d'opportunités. Le problème ne va pas se résoudre de lui-même, mais on voit aussi que les femmes se diplôment plus et mieux que les garçons.

[…] Le marché de l'emploi, comme tous les aspects de la vie privée, sociale et économique doit être le plus inclusif possible à Bruxelles. Et Bruxelles est totalement engagée dans toutes les formes de luttes contre les discriminations.

[…] J'ai encore pris récemment des sanctions à l'égard d'une école qui avait clairement dit qu'elle ne voulait pas engager de personne portant le voile pour assurer le nettoyage. C'est totalement scandaleux. Je rappelle aussi qu'il existe un service spécial chez Actiris pour accueillir toutes les personnes qui souffrent ou ont le sentiment d'être discriminées.

[…] Je le répète : aucun employeur ne peut discriminer sur la base d'une préférence religieuse. En fait, un employeur ne devrait pas savoir que je suis bouddhiste ou ma préférence sexuelle qui peut d'ailleurs changer. Je suis heureux que des milliers de femmes qui portent le voile trouvent du boulot. Notre société est diverse et je pense que les employeurs sont de plus en plus issus de la diversité, ce qui devrait mettre progressivement fin aux discriminations.

Attractivité du secteur de la construction

Extrait de presse
Extrait de presse, Sudpresse : "Le secteur de la construction lance une campagne pour créer 8.000 emplois à Bruxelles : "Après la pétrochimie, nous sommes le secteur qui rémunère le mieux ses ouvriers".

Extraits de l'article publié par La Libre

Entre la crise énergétique et les objectifs de la Région bruxelloise dans le bâti, les demandes de rénovation ne cessent de croître alors que le secteur de la construction est en pénurie. Une campagne est lancée depuis fin août pour attirer les jeunes.

[…] Le secteur souffre de stéréotypes dont il a du mal à se défaire. « Pour beaucoup, ce sont des emplois pénibles, peu payés et fastidieux. Or les entreprises se sont beaucoup modernisées et l'emploi a évolué », note Bernard Clerfayt (DéFI), ministre de l'Emploi. « C'est un secteur qui recrute pour des dizaines d'années et offre un emploi durable, porteur de sens et qui utilise de plus en plus de technologies nouvelles. » «Après la pétrochimie, nous sommes le secteur qui rémunère le mieux ses ouvriers », insiste le directeur de Construcity.

[…] « En 2022, Construcity a formé près de 2.500 travailleurs et 989 chercheurs d'emploi. Cela fonctionne ! », se réjouit Bernard Clerfayt. […]

Accéder à l'article sur le site Sudpresse

Bila de compétences

Extrait de presse
Extrait de presse, Le Soir : "Bruxelles : Bilan de compétences obligatoire pour les chômeurs, voici le mode d'emploi".

Extraits de l'article publié par Le Soir:

A partir du vendredi 1er septembre, Actiris contrôlera le niveau des compétences linguistiques et numériques des chômeurs afin de pouvoir mieux les orienter vers des stages ou des formations.

[…] Une nouveauté dans le parcours des chercheurs d'emploi bruxellois qui fait suite à l'application d'une ordonnance portée par le ministre Bernard Clerfayt (Défi). Plus de huit millions d'euros ont été débloqués pour, qu'à terme, tous les demandeurs d'emploi de la capitale suivent un bilan de compétences qui est donc désormais obligatoire.

[…] L'ordonnance du ministre Clerfayt prévoit également de tester les compétences professionnelles des chômeurs.

[…] Avoir refusé un bilan de compétences pourrait peser négativement dans la balance au moment où Actiris se poserait la question de sanctionner ou pas un chercheur d'emploi. […]

Inspection régionale de l’emploi : 45% de contrôles en plus

Actualité
L'indispensable contrôle de l'inspection régionale de l’emploi

En 2022, l’inspection régionale de l’emploi a effectué 1.765 contrôles en matière de réglementation du travail. C'est 45% de plus qu’en 2021. La majorité (63%) des dossiers étaient liés à la lutte contre le travail illégal et aux contrôle des autorisations de travail.

« Le travail au noir est une réalité. Entre fléau pour l’économie et moyen de survie pour d’autres, le travail non déclaré entraîne des conséquences néfastes pour les travailleurs qui perdent toutes les protections liées à la sécurité sociale. Exploitation, accidents non-couverts par une assurance ou risques pour la santé… Ces pratiques illégales sont à bannir », rapelle le Ministre bruxellois de l’Emploi, Bernard Clerfayt.

Des inspections qui ne restent pas sans effets

À côté du travail au noir, les inspecteurs ont majoritairement contrôlé les entreprises de titres-services et d’économie sociale, les travailleurs intérimaires, les cartes professionnelles et les cas de suspicion de discriminations à l’embauche.

Ces contrôles ont donné suite à 294 infractions et 60 avertissements. À préciser qu’en cas d’infraction, les inspecteurs peuvent dresser un procès-verbal, émettre un avertissement, imposer un délai de régularisation ou encore rédiger un rapport à l’attention de l’auditeur du travail ou du procureur du Roi.

Contrôles sur le lieu de travail

Les inspecteurs régionaux de l’emploi veillent au respect de la réglementation du travail. En Région bruxelloise, on compte 27 inspecteurs régionaux de l’emploi. En cas de plainte d'un citoyen, à la demande de la Justice, ou encore d’autres services d’inspection, ils effectuent des contrôles sur un lieu de travail à tout moment de la journée et de la nuit et dans certains cas en présence de la police.

Les inspecteurs bruxellois de l’emploi ont contrôlé 1.765 employeurs en 2022

Communiqué de presse

Les inspecteurs régionaux de l’emploi veillent au respect de la réglementation en matière d’emploi en Région bruxelloise. Vérification des permis de travail, sanction en cas de travail non déclaré ou encore lutte contre les discriminations à l’embauche… En 2022, ils ont contrôlé 1.765 employeurs et constaté 294 infractions.

En Région bruxelloise, on compte 27 inspecteurs régionaux de l’emploi. En cas de plainte de citoyen, à la demande de la Justice, ou encore d’autres services d’inspection, ils effectuent des contrôles sur un lieu de travail à tout moment de la journée et de la nuit et dans certains cas en présence de la police. Leur mission ? Contrôler et veiller à l’application de la réglementation en matière d’emploi à Bruxelles.

En 2022, l’inspection régionale de l’emploi a contrôlé un total de 1.765 employeurs, soit 45% de plus qu’en 2021. La majorité (63%) des dossiers étaient liés à la lutte contre le travail illégal et le contrôle des autorisations de travail.

« Le travail au noir est une réalité. Entre fléau pour l’économie et moyen de survie pour d’autres, le travail non déclaré entraîne des conséquences néfastes pour les travailleurs qui perdent toutes les protections liées à la sécurité sociale. Exploitation, accidents non-couverts par une assurance ou risques pour la santé…Ces pratiques illégales sont à bannir », explique le Ministre bruxellois de l’Emploi, Bernard Clerfayt.

À côté du travail au noir, les inspecteurs ont majoritairement contrôlé les entreprises de titres-services et d’économie sociale, les travailleurs intérimaires, les cartes professionnelles et les cas de suspicion de discriminations à l’embauche.

Ces contrôles ont donné suite à 294 infractions et 60 avertissements. À préciser qu’en cas d’infraction, les inspecteurs peuvent dresser un procès-verbal, émettre un avertissement, imposer un délai de régularisation ou encore rédiger un rapport à l’attention de l’auditeur du travail ou du procureur du Roi.

Contact : Marine Deschouwer 0498/148448

6.000 chercheurs d’emploi formés en 2022 grâce aux dispenses de disponibilité

Actualité
Se former grâce à la dispense de disponiblité

Une fois inscrits chez Actiris, tous les chercheurs d’emploi bruxellois doivent prouver qu’ils sont à la recherche d’un emploi. Tous… sauf ceux qui bénéficient d’une dispense de disponibilité. Ce système leur permet de suivre une formation, d’effectuer un stage ou de reprendre des études tout en gardant leurs allocations de chômage. En 2022, 5.902 chercheurs d’emploi ont pu suivre une formation grâce aux dispenses de disponibilité.

Relever le défi des compétences

« Le but des dispenses de disponibilité est d’encourager les Bruxellois à se former. La formation, c’est la voie royale vers l’emploi. En relevant leur niveau de compétences, les chercheurs d’emploi augmentent significativement leurs chances de décrocher un emploi », précise Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi.

C’est un fait indéniable : la formation a un impact direct sur la mise à l’emploi. En suivant une formation, le chercheur d’emploi augmente de 30% ses chances de décrocher un emploi, d’après une étude de Bruxelles Formation.

Les secteurs qui peinent à recruter sont concernés

En 2022, 7.309 dispenses ont été octroyées, ce qui a permis à 5.902 chercheurs d’emploi de se former. 22% des dispenses ont été octroyées pour des formations à un métier qui recrute.

Autres constats : les femmes (57%) ont été plus nombreuses à bénéficier de ces dispenses que les hommes (43%). Enfin, les bénéficiaires appartiennent principalement à la catégorie des chômeurs de très longue durée (62%) soit 24 mois et plus.

« Ces résultats montrent tout l’intérêt du dispositif. Il ne sert à rien de fliquer et de contrôler un chercheur d’emploi sur sa recherche d’emploi si celui-ci ne dispose pas des compétences nécessaires pour s’insérer sur le marché de l’emploi. Par contre, on doit pouvoir évaluer sa motivation à trouver un emploi sur base du parcours de formation dans lequel il s’inscrit. La formation reste le levier à actionner pour trouver un emploi », conclut Bernard Clerfayt.

6.000 chercheurs d’emploi formés en 2022 grâce aux dispenses de disponibilité

Communiqué de presse

Une fois inscrits chez Actiris, tous les chercheurs d’emploi bruxellois doivent prouver qu’ils sont actifs sur le marché de l’emploi et effectivement à la recherche d’un emploi (répondre aux convocations d’Actiris, envoyer des candidatures, etc.). Tous…sauf ceux qui bénéficient d’une dispense de disponibilité. Ce système leur permet de suivre une formation, d’effectuer un stage ou de reprendre des études tout en gardant leurs allocations de chômage. En 2022, 5.902 chercheurs d’emploi ont pu suivre une formation grâce à ce dispositif.

C’est un fait indéniable : la formation a un impact direct sur la mise à l’emploi. En suivant une formation, le chercheur d’emploi augmente de 30% ses chances de décrocher un emploi, d’après une étude de Bruxelles Formation.

Pour se former, le chercheur d’emploi bénéficie d’une dispense de disponibilité ? Ce système permet aux chercheurs d’emploi de s’investir pleinement dans sa formation tout en maintenant ses allocations de chômage le temps de la formation. 

« Le but des dispenses de disponibilité est d’encourager les Bruxellois à se former. La formation, c’est la voie royale vers l’emploi et une porte de sortie du chômage. En relevant leur niveau de compétences, les chercheurs d’emploi augmentent significativement leurs chances de décrocher un emploi », précise Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi.

En 2022, 7.309 dispenses ont été octroyées, ce qui a permis à 5.902 chercheurs d’emploi de se former. 22% des dispenses ont été octroyées pour des formations à un métier qui recrute.

Autres constats : les femmes (57%) ont été plus nombreuses à bénéficier de ces dispenses que les hommes (43%). Enfin, les bénéficiaires appartiennent principalement à la catégorie des chômeurs de très longue durée (62%) soit 24 mois et plus.

« Ces résultats montrent tout l’intérêt du dispositif. Il ne sert à rien de fliquer et de contrôler un chercheur d’emploi sur sa recherche d’emploi si celui-ci ne dispose pas des compétences nécessaires pour s’insérer sur le marché de l’emploi. Par contre, on doit pouvoir évaluer sa motivation à trouver un emploi sur base du parcours de formation dans lequel il s’inscrit. La formation reste le levier à actionner pour trouver un emploi », conclut Bernard Clerfayt.

Contact : Marine Deschouwer 0498/148448