Le plan de Bruxelles pour rendre ses données intelligentes

Extrait de presse

Extraits de l'article de l'Écho du 24 mars 2021

À Bruxelles, l’échange de données entre administrations a longtemps été compliqué , la faute à un carcan administratif pas très agile. Les choses sont sur le point de changer puisque le gouvernement régional a validé, en fin de semaine dernière, une stratégie en matière de données proposée par le ministre Clerfayt (DéFI). L’idée est simple: organiser et mieux utiliser les données issues des administrations publiques ; la réalisation s’annonce quant à elle plus compliquée. La masse de données générées par les administrations régionales et locales est gigantesque, «mais on n’exploite pas encore leur potentiel» dixit Bernard Clerfayt. «Pour l’instant chaque administration travaille dans son coin», selon le ministre de la transition numérique.
Pour sortir de ce schéma, la Région se dote donc d’une stratégie propre pour fixer un cadre commun et harmoniser les pratiques. L’Echo a pu prendre connaissance de ce cadre. Exploiter les données et faciliter la vie du citoyen.

[…] le gouvernement régional a validé, en fin de semaine dernière, une stratégie en matière de données proposée par le ministre Clerfayt (DéFI). L’idée est simple: organiser et mieux utiliser les données issues des administrations publiques ; la réalisation s’annonce quant à elle plus compliquée. La masse de données générées par les administrations régionales et locales est gigantesque, «mais on n’exploite pas encore leur potentiel» dixit Bernard Clerfayt. «Pour l’instant chaque administration travaille dans son coin», selon le ministre de la transition numérique.
Pour sortir de ce schéma, la Région se dote donc d’une stratégie propre pour fixer un cadre commun et harmoniser les pratiques. L’Echo a pu prendre connaissance de ce cadre. Exploiter les données et faciliter la vie du citoyen.

[…] «La stratégie appliquera le GDPR à la lettre. Ce que nous mettons en place n’ira pas trop vite, respectera les procédures et passera via l’APD (Autorité de protection des données,
NDLR)», affirme Bernard Clerfayt. Pour mettre en oeuvre cette stratégie, la Région compte sur le plan de relance. Elle a demandé 19,7 millions d’euros dans ce cadre, dont 12 seront consacrés à la plateforme d’échange de données.