Simplification de l'offre régionale de sites web

Extrait de presse
Extrait de presse, La Capitale : "Avec plus de 200 sites web, la Région bruxelloise compte plus de sites web que d'administrations: le ministre Clerfayt remet de l'ordre avec 13 portails"

Extraits de l'article publié par La Capitale

[…] « On ne peut pas faire subir au citoyen la lasagne institutionnelle de notre Région. Ce n'est pas normal que lorsqu'on cherche en ligne une information de service public, on se retrouve face à une jungle numérique », avance le ministre bruxellois de la Transition numérique, Bernard Clerfayt.

[…] « Nous devons évoluer d'une logique administration à une logique usager. Si cela peut nous faire plaisir d'avoir notre propre site web, répond-t-il à un besoin des citoyens ? Nous devions repenser entièrement notre paysage web régional en priorisant l'intérêt du Bruxellois », rappelle le ministre.

[…] « L'utilisateur ne devra plus parcourir plusieurs sites pour obtenir une réponse à ses questions. Ici, on met l'usager au cœur de nos préoccupations et non l'intérêt des administrations. Cette vision numérique va améliorer l'image de Bruxelles, la rendre plus efficace, plus moderne. De plus, rationaliser le nombre de sites web nous permettra de diminuer notre impact environnemental tout en effectuant des économies », conclut le ministre amarante.

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La Région bruxelloise met de l’ordre dans son offre de sites web

Actualité
Simplifier l'offre de sites web régionaux

Bernard Clerfayt, ministre bruxellois de la Transition numérique, rationalise les sites web des administrations régionales. Centrés historiquement sur les institutions, ils évolueront vers des sites web orientés citoyens. Ils passeront ainsi de plus de 200 sites à 13 portails. Le premier portail désormais accessible : www.be.brussels.

Plus de 1.000 liens ont été mis à jour

Pour changer la donne, Bernard Clerfayt a donc lancé un vaste chantier permettant de regrouper les 200 sites web en… 13 portails thématiques : transport et mobilité, emploi, logement ou encore « À propos de la Région ». « be.brussels » intègre 13 sites web régionaux. Tous les contenus ont été revus et plus de 1.000 liens ont été mis à jour pour assurer la fiabilité de l’information.  

« L’utilisateur ne devra plus parcourir plusieurs sites pour obtenir une réponse à ses questions. Ici, on met l’usager au cœur de nos préoccupations et non l’intérêt des administrations. Cette vision numérique va améliorer l’image de Bruxelles, la rendre plus efficace, plus moderne. De plus, rationaliser le nombre de sites web nous permettra de diminuer notre impact environnemental tout en effectuant des économies », indique le Ministre amarante.

Une complexité qui nuit à l’efficacité et à la transparence du service au citoyen

Si services publics et décideurs politiques subissent de plein fouet la complexité institutionnelle de notre région, les citoyens doivent, tant que faire se peut, en être épargnés. Or, il existe aujourd’hui largement plus de sites web que d’administrations. Bruxelles Environnement, par exemple, se décline en 23 sites internet différents. Dans ce contexte, trouver une information s’apparente à un véritable casse-tête.

Votre plus belle photo de Bruxelles sur le nouveau portail ?

À l’occasion de la mise en ligne du nouveau portail, la Région lance un jeu concours.  Envoyez votre plus beau cliché de Bruxelles avant le 9 novembre 2023 à l’adresse rws.communication@paradigm.brussels

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La Région bruxelloise met de l’ordre dans son offre de sites web

Communiqué de presse

Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de la Transition numérique, ambitionnait de rationaliser la « jungle » des sites web des administrations régionales. Son ambition : Faire évoluer les sites web régionaux centrés historiquement sur les institutions vers des sites web orientés vers les citoyens. Et ainsi passer de plus de 200 sites web régionaux à … 13 portails ! Le premier portail est prêt : www.be.brussels reprend toutes les informations dédiées à la Région bruxelloise. 

« On ne peut pas faire subir au citoyen la lasagne institutionnelle de notre Région. Ce n’est pas normal que lorsqu’on cherche en ligne une information de service public, on se retrouve face à une jungle numérique », avance le Ministre bruxellois de la Transition numérique, Bernard Clerfayt.

Si services publics et décideurs politiques subissent de plein fouet la complexité institutionnelle de notre région, les citoyens doivent, tant que faire se peut, en être épargnés. Or, il existe aujourd’hui largement plus de sites web que d’administrations. Bruxelles Environnement, par exemple, se décline en 23 sites internet différents. Dans ce contexte, trouver une information s’apparente à un véritable casse-tête.

« Nous devons évoluer d’une logique administration à une logique usager. Si cela peut nous faire plaisir d’avoir notre propre site web, répond-t-il à un besoin des citoyens ? Nous devions repenser entièrement notre paysage web régional en priorisant l’intérêt du Bruxellois »,rappelle le Ministre.

Pour changer la donne, Bernard Clerfayt a donc lancé un vaste chantier permettant de regrouper les 200 sites web en… 13 portails thématiques : Transport et Mobilité, Emploi, Logement ou encore A propos de la Région.

Après près d’un an de travail, le premier portail « A propos de la Région » est en ligne. Baptisé be.brussels, il intègre 13 sites web régionaux. Tous les contenus ont été revus et plus de 1.000 liens ont été mis à jour pour assurer la fiabilité de l’information.  

« L’utilisateur ne devra plus parcourir plusieurs sites pour obtenir une réponse à ses questions. Ici, on met l’usager au cœur de nos préoccupations et non l’intérêt des administrations. Cette vision numérique va améliorer l’image de Bruxelles, la rendre plus efficace, plus moderne. De plus, rationaliser le nombre de sites web nous permettra de diminuer notre impact environnemental tout en effectuant des économies », conclut le Ministre amarante.

Et pour le lancement, la Région lance un jeu concours. Vous voulez voir apparaitre votre photo en homepage de www.be.brussels ? Envoyez votre plus beau cliché de Bruxelles avant le 9 novembre 2023 à l’adresse rws.communication@paradigm.brussels

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

Une charte pour mieux accompagner les citoyens vers l’inclusion numérique

Actualité
Le Ministre Bernard Clerfayt introduit la présentation de la nouvelle charte pour mieux accompagner les citoyens vers l’inclusion numérique

Une nouvelle charte déontologique vise désormais à encadrer l’accompagnement individuel ou collectif des citoyens par les animateurs en inclusion numérique, tout en garantissant leur sécurité professionnelle. « Elle renforce ma volonté d’un numérique accessible à tous. Dans une société où le numérique est partout, il faut fixer des standards de qualité et plus et mieux accompagner ceux qui subissent les inégalités numériques. C’est le rôle de la charte », explique Bernard Clerfayt, Ministre de la Transition Numérique.

Une garantie pour le public et pour les animateurs

Elle contribue également à instaurer un cadre clair dans le secteur, basé sur des principes éthiques, et à favoriser l'harmonisation des pratiques. Elle vise à offrir une meilleure protection tant aux animateurs - en balisant leur mission - qu'au public concerné. Ce dernier, grâce à cette charte, est pleinement informé de la manière dont il est épaulé et de la limite de ce programme.

Trois axes importants

La relation avec les usagers

L'accompagnement est une démarche visant à aider les individus à atteindre leurs objectifs numériques. Il s'agit d'une approche personnalisée qui valorise l'autonomie de la personne accompagnée.

L’attitude de l’animateur dans le processus d’accompagnement

La médiation numérique consiste à faciliter la compréhension des outils et de la culture numérique par un large éventail de publics. Les animateurs en inclusion numérique doivent créer des outils et des méthodes pédagogiques adaptés à leur public, tout en favorisant une approche neutre, inclusive et confidentielle.

Le partage des responsabilités

La charte définit les responsabilités des animateurs, des structures porteuses et des usagers.

Médiateurs entre le numérique et l’humain

Alors que la numérisation de la société s’accélère, certains citoyens éprouvent des difficultés en ligne et se retrouvent privés d’accès aux droits ou marginalisés socialement. Dans ce contexte, les animateurs en inclusion numérique jouent un rôle essentiel de médiateur entre le numérique et l'humain, contribuant ainsi à gommer les inégalités numériques.

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Une première en Région bruxelloise : Paradigm met en place une Charte de déontologie pour les animateurs en Inclusion Numérique

Communiqué de presse

Paradigm et les animateurs bruxellois de l’inclusion numérique ont signé une charte de déontologie en présence du Ministre bruxellois de la Transition numérique, Bernard Clerfayt. L'objectif de cette initiative est d'encadrer l'accompagnement des citoyens tout en renforçant la protection des activités des animateurs.

Alors que la numérisation de la société s’accélère, certains citoyens éprouvent des difficultés en ligne et se retrouvent privés d’accès aux droits ou marginalisés socialement. Dans ce contexte, les animateurs d’inclusion numérique jouent un rôle essentiel de médiateur entre le numérique et l'humain, contribuant ainsi à gommer les inégalités numériques.

Afin de garantir des normes éthiques dans l'accompagnement des citoyens dans leurs démarches en ligne et dans le cadre du Plan d’Appropriation Numérique 2021-2024, la coordination inclusion numérique au sein de Paradigm a rédigé, en collaboration avec CABAN, une charte de déontologie pour les animateurs d’inclusion numérique.

Cette charte vise à encadrer l’accompagnement individuel ou collectif des citoyens par les animateurs en inclusion numérique, tout en garantissant leur sécurité professionnelle. Elle contribue également à instaurer un cadre clair dans le secteur, basé sur des principes éthiques, et à favoriser l'harmonisation des pratiques.

Elle vise à offrir une meilleure protection tant aux animateurs - en balisant leur mission - qu'au public concerné. Ce dernier, grâce à cette charte, est pleinement informé de la manière dont il est épaulé et de la limite de ce programme.

La charte repose sur trois principes fondamentaux :

  1. La relation avec les usagers - L'accompagnement est une démarche visant à aider les individus à atteindre leurs objectifs numériques, en prenant en compte leurs besoins, leurs compétences et leurs particularités. Il s'agit d'une approche personnalisée qui valorise l'autonomie de la personne accompagnée tout en garantissant le choix éclairé des usagers.
  2. L’attitude de l’animateur dans le processus d’accompagnement - La médiation numérique consiste à faciliter la compréhension des outils et de la culture numérique par un large éventail de publics. Les animateurs en inclusion numérique doivent créer des outils et des méthodes pédagogiques adaptés à leur public, tout en favorisant une approche neutre, inclusive et confidentielle. Au besoin l’animateur sera également amené à devoir rediriger les usagers.
  3. Le partage des Responsabilités - La charte définit les responsabilités des animateurs, des structures porteuses et des usagers.

« Cette signature, c’est plus qu’un symbole. Elle renforce ma volonté d’un numérique accessible à tous. Dans une société où le numérique est partout, il faut fixer des standards de qualité et plus et mieux accompagner ceux qui subissent les inégalités numériques. C’est le rôle de la charte », explique Bernard Clerfayt, Ministre de la Transition Numérique.

« Cette charte, bien qu'elle n'ait pas de valeur légale contraignante, offre un cadre éthique solide pour les animateurs en inclusion numérique, harmonisant ainsi les pratiques dans tout le secteur. Elle informe également les citoyens sur la manière dont ils seront accompagnés, ce qui renforce la confiance dans ce domaine crucial », souligne Nicolas Locoge, Directeur Général de Paradigm.

Plus dinfos ?

Cabinet du Ministre Bernard Clerfayt : Pauline LORBAT – plorbat@gov.brussels - 0485 89 47 45
paradigm.brussels : Anna MELLONE – amellone@paradigm.brussels - 02 282 47 70

L'indice relatif à l'économie et à la société numériques

Extrait de presse
Extrait de presse, Sudeinfo : "Numérisation des services publics bruxellois : 84% des démarches sont disponibles en ligne"

Extraits de l'article publié par Sudpresse:

D'après l'indice relatif à l'économie et à la société numériques bruxellois (DESI), la numérisation est en bonne route à Bruxelles !

[…] L'offre des services publics numériques aux citoyens et aux entreprises constitue un point fort de la Région. 84% des démarches administratives pour les citoyens sont accessibles en ligne, contre 75% pour la moyenne européenne.

[…] « On ne peut pas dire que Bruxelles est à la traîne en matière de numérisation ! Les chiffres montrent que nous sommes sur la bonne voie. D'ailleurs, ma nouvelle ordonnance, Bruxelles Numérique, va universaliser l'accès en ligne de toutes les démarches administratives, et permettra aux Bruxellois de profiter davantage des atouts du numérique », commente le ministre Bernard Clerfayt.

84% des démarches administratives disponibles en ligne

Actualité
Utilisateur smartphone, validation processus

Mesurer le niveau de numérisation d’un pays ? C’est possible grâce à l’indice relatif à l’économie et à la société numériques (DESI). Ce score utilisé et développé par la Commission européenne permet de comparer les performances numériques des Etats membres.

Qu’en est-il des services publics bruxellois ?

Les résultats sont très encourageants puisque Bruxelles se situe au-dessus de la moyenne européenne. Elle atteint le score de 58%, derrière le Danemark (70%) mais devant la moyenne de l’Europe de 27 (51%). Ces chiffres ont été analysés par l’Institut Bruxellois de Statistique et d’Analyse (IBSA), dans son Focus n°60.

En matière de services publics numériques, la Région bruxelloise se situe également au-dessus de la moyenne de l’UE-27.  L’offre des services publics numériques aux citoyens et aux entreprises constitue un point fort de la Région. 84% des démarches administratives pour les citoyens sont accessibles en ligne, contre 75% pour la moyenne européenne. Et si l’on regarde les services destinés aux entreprises, 99% sont accessibles en ligne, contre 85% au niveau européen.

Les services en ligne majoritairement utilisés

Les Bruxellois sont d‘ailleurs proportionnellement plus nombreux à utiliser l’administration en ligne que dans le reste de la Belgique et de l’Union européenne. 68% des Bruxellois utilisent les services publics en ligne contre 66% en Belgique et 64% dans l’UE-27.

« On ne peut pas dire que Bruxelles est à la traîne en matière de numérisation ! Les chiffres montrent que nous sommes sur la bonne voie. D’ailleurs, ma nouvelle ordonnance, Bruxelles Numérique, va universaliser l’accès en ligne de toutes les démarches administratives, et permettra aux Bruxellois de profiter davantage des atouts du numérique », commente Bernard Clerfayt.

68% de formulaires pré-remplis

Enfin, en Région bruxelloise, 68% des formulaires administratifs en ligne sont préremplis avec les données personnelles des citoyens ou des entreprises provenant de différentes sources de données authentiques. Une bonne nouvelle, puisque cela fait gagner du temps aux Bruxellois et leur simplifie la vie.