« Branche ton école » démocratise le numérique

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Ce 23 mars, une délégation composée du Secrétaire d’Etat pour la Relance et les Investissements stratégiques, Thomas Dermine, du Ministre bruxellois de la Transition numérique, Bernard Clerfayt et de la Directrice-Générale de la Task force pour la reprise et la résilience de la Commission européenne, Céline Gauer, a visité l’école Sainte-Marie La Sagesse à Schaerbeek.

Ce 23 mars, une délégation composée du Secrétaire d’Etat pour la Relance et les Investissements stratégiques, Thomas Dermine, du Ministre bruxellois de la Transition numérique, Bernard Clerfayt et de la Directrice-Générale de la Task force pour la reprise et la résilience de la Commission européenne, Céline Gauer, a visité l’école Sainte-Marie La Sagesse à Schaerbeek. Le but ? Découvrir le projet « Branche ton école » et ses nombreux avantages pour les élèves bruxellois et leurs enseignants.

Équiper 240 écoles

La Région bruxelloise répond à la volonté européenne de faire du numérique une priorité, avec le projet « Branche ton école », labellisé «NextGenerationEU». Comment ? En favorisant notamment l’apprentissage des jeunes au numérique. « Branche ton école » a été lancé par Bernard Clerfayt, le Ministre bruxellois de la Transition numérique. L’objectif est double : équiper les 240 écoles secondaires bruxelloises du wifi et mettre à disposition du matériel informatique performant.

Dans le cadre du plan de relance européen, un budget exceptionnel de 5,2 millions d’euros soutient l’équipement numérique des élèves et des écoles. Priorité est donnée aux quartiers à l’indice socio-économique plus faible.

Intégrer un maximum d’établissements au processus

Les résultats sont encourageants. Plus de 200 écoles secondaires bruxelloises ont été sollicitées dans le cadre du projet « Branche ton école ». 63 établissements disposent actuellement du wifi et 40 seront contactés prochainement pour être intégrés au projet. « En quelques années, le numérique a investi tous les pans de notre société. L’école ne fait pas exception. L’urgence d’offrir un accès à internet sécurisé est donc réel. D’autant plus que le numérique à l’école offre de nombreux avantages tant aux élèves qu’aux professeurs », déclare Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de la Transition numérique.

« Branche ton école », un projet qui répond à l’enjeu européen de démocratiser le numérique

Communiqué de presse

Ce 23 mars, une délégation composée du Secrétaire d’Etat pour la Relance et les Investissements stratégiques, Thomas Dermine, du Ministre bruxellois de la Transition numérique, Bernard Clerfayt et de la Directrice-Générale de la Task force pour la reprise et la résilience de la Commission européenne, Céline Gauer, a visité l’école Sainte-Marie La Sagesse à Schaerbeek. Le but ? Découvrir le projet « Branche ton école » et ses nombreux avantages pour les élèves bruxellois et leurs enseignants.  

Le numérique est un enjeu essentiel pour l’Union européenne. C’est pourquoi, elle soutient, au travers de la bannière « NextGenerationEU », les projets qui rendent l’Europe plus saine, plus verte et plus numérique.

En Région bruxelloise, on répond à cette volonté européenne avec le projet « Branche ton école ». Comment ? En favorisant notamment l’apprentissage au numérique des jeunes. Cette initiative, lancée par Bernard Clerfayt, le Ministre bruxellois de la Transition numérique, poursuit un double objectif : équiper les 240 écoles secondaires bruxelloises du wifi et mettre à disposition des élèves du matériel informatique performant.

À cet effet, le gouvernement bruxellois a alloué, dans le cadre du plan de relance européen, un budget exceptionnel de 5,2 millions d’euros pour soutenir l’équipement numérique des élèves et des écoles, à commencer par les établissements scolaires se trouvant dans des quartiers à l’indice socio-économique plus faible.

Les résultats sont encourageants. Plus de 200 écoles secondaires bruxelloises ont été sollicitées dans le cadre du projet « Branche ton école ». 63 établissements disposent actuellement du wifi et 40 seront contactés prochainement pour être intégrés au projet.

Alors que le plan pour la reprise et la résilience de la Belgique a été lancé il y a presque un an, le Secrétaire d’État pour la Relance et les investissements stratégiques, Thomas Dermine et la Directrice-Générale de la Task force pour la reprise et la résilience, Céline Gauer, ont souhaité mettre en avant plusieurs projets inclus dans le plan, dont « Branche ton école ». Pour ce faire, ils se sont rendus dans un des établissements scolaires sollicité par le projet : l’école Sainte-Marie la Sagesse à Schaerbeek.

Thomas Dermine, Secrétaire d’état pour la Relance et les Investissements stratégiques :« Digitaliser les salles de cours, c’est directement améliorer la qualité de notre enseignement !  Raison pour laquelle, dans le cadre du plan de relance que je coordonne nous avons veillé à équiper en matériels pédagogiques numériques plus de 4000 écoles à travers tout le pays. »

Céline Gauer, Directrice-Générale de la Taskforce pour la reprise et la résilience de la Commission européenne, déclare : « Les politiques pour la prochaine génération sont l'un des six piliers de la facilité pour la reprise et la résilience, l'instrument clé au cœur de NextGenerationEU. Le projet Branche ton école est un excellent exemple de la manière dont les fonds NextGenerationEU profitent aux enfants et aux jeunes. Le projet contribuera à doter des milliers d'élèves à Bruxelles des compétences numériques nécessaires pour prospérer dans l'économie et les marchés du travail de demain. »

« En quelques années, le numérique a investi tous les pans de notre société. L’école ne fait pas exception. L’urgence d’offrir un accès à internet sécurisé est donc réel. D’autant plus que le numérique à l’école offre de nombreux avantages tant aux élèves qu’aux professeurs », déclare Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de la Transition numérique.


Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

La Région de Bruxelles-Capitale a son annuaire de l'inclusion numérique

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L'annuaire de l'inclusion numérique facilitera l'orientation des citoyens pour un service plus adapté à leur besoins

C’est l’une des actions du Plan d’Appropriation Numérique (PAN) du Ministre Bernard Clerfayt. L’annuaire de l'inclusion numérique est désormais disponible.

Un outil pour relier les services existants

Dédié plus spécifiquement aux agents des services publics, aux travailleurs sociaux, animateurs, éducateurs et formateurs, l’annuaire facilitera les échanges. L’objectif : un service plus performent pour le citoyen qui se verra ainsi orienté vers les solutions les plus adaptées à sa demande.

Plusieurs clés pour trouver les bonnes informations

L’annuaire de l’inclusion numérique rassemble toutes les informations sur l’accès au matériel, à Internet et à la formation. Il reprend également des interviews d’acteurs de l’inclusion numérique de premier plan, ainsi que des listings d’acteurs détaillant leurs activités et leurs coordonnées.
Les services sont référencés en fonction des publics-cibles qu’ils accompagnent, des besoins, mais également selon la commune où ils sont établis. On y trouve les informations de base sur chaque association présente en Région de Bruxelles-Capitale ainsi que les coordonnées de contact avec les responsables.

L’indispensable travail de coordination

L’annuaire de l’inclusion numérique résulte du travail de la Coordination Inclusion numérique au sein de paradigm.brussels, le service informatique de la Région. Cette coordination fait le lien avec le secteur associatif et crée un large écosystème des acteurs de l’inclusion numérique.

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Numérisation des services publics

Extrait de presse
Extrait de presse, rtlinfo : "La digitalisation des démarches administratives inquiète la FGTB et nombre d'associations"

Extrait de l'article publié par RTLinfo

Une bonne vingtaine d'associations de la société civile bruxelloise et la FGBT ont fait part, mercredi de leur inquiétude au sujet de l'examen jeudi par le gouvernement bruxellois d'un avant-projet d'ordonnance visant à encadrer la digitalisation des démarches administratives.

[…] Ceux-ci reconnaissent que le ministre de la transition numérique, Bernard Clerfayt, a modifié son texte initial. Dans le document actuellement entre les mains des membres de l'exécutif bruxellois, il est ainsi prévu que « les institutions garantissent aux usagers (…) une alternative à toute procédure administrative, toute communication ou tout formulaire en ligne ». […]

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Le Printemps Numérique au cœur de la Région de Bruxelles-Capitale

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3ème édition du Printemps Numérique en Région de Bruxelles-Capitale

Le Printemps Numérique : deux jours consacrés aux nouvelles technologies. Cette année, l’événement gratuit se tiendra dans le bâtiment «RESET», rue de Ligne 8 à 1000 Bruxelles. Le Printemps Numérique est ouvert à tous, le 24 mars de 9h à 16h et le 25 mars de 10h à 18h.

40 exposants

Au Printemps Numérique, les visiteurs découvriront les initiatives en Région bruxelloise pour faciliter et améliorer la vie de ses habitants. Une quarantaine d’exposants proposeront des animations, des conférences, des démonstrations, mais aussi des ateliers originaux autour des technologies numériques.

Tester, découvrir, …

« Le Printemps numérique est une expérience interactive où le public sera amené à toucher, tester, développer, coder et qui sait, peut-être susciter des vocations pour un métier dans le secteur du numérique de plus en plus recherché sur le marché de l’emploi bruxellois », ambitionne Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de la Transition numérique et de l’Emploi.

Le public pourra notamment tester une application utilisant l’intelligence artificielle pour reconnaitre  les émotions ou encore découvrir l’ordinateur de demain, un laptop circulaire, éco-conçu, réparable et évolutif à impact limité sur l’environnement.

Le numérique dans l’air

Caméras, capteurs, systèmes satellite et drones à utilisation civile, autant d’outils qui génèrent de plus en plus de donnée. Les utilisations sont multiples : contrôle de la qualité de l’air, gestion du trafic aérien, navigation GPS, sécurité des personnes, etc. Le « numérique dans l’air », est donc le thème choisi pour cette troisième édition du Printemps du Numérique.

FixMyStreet a 10 ans et totalise plus de 400.000 signalements

Extrait de presse
Fixmystreet dépasse la barre des 400.000 incidents signalés à Bruxelles en 10 ans

Extraits de l'article publié par la Dernière Heure

La plateforme de signalement des dégradations de l'espace public FixMyStreet, active depuis 10 ans en région bruxelloise, compte désormais 435.441 signalements encodés, indique mercredi un communiqué du cabinet du ministre bruxellois de la Transition numérique, Bernard Clerfayt.

[…] Ce sont les incidents liés à la propreté publique qui sont les plus nombreux à être recensés: 51.534 en 2022 et 222.405 en 10 ans, selon FixMyStreet. Ils sont suivis par ceux liés à la voirie, 16.293 en 2022 et 93.715 sur 10 ans. […]

Lire l'article sur le site de la DH

Pour ses 10 ans, FixMyStreet dépasse les 400.000 incidents signalés

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FixMyStreet, un moyen rapide et facile de signaler un problème constaté en rue

Dépôt clandestin, tags, véhicule abandonné, trottoir endommagé… Malheureusement, les dégradations de l’espace public sont nombreuses. Une solution simple pour que le problème soit rapidement signalé et traité : FixMyStreet. Après 10 ans d’existence, la plateforme s’est imposée auprès des Bruxellois désireux d’améliorer la vie en ville !

Il suffit de partager une photo

Développé et géré par Paradigm (opérateur informatique de la Région bruxelloise), FixMyStreet permet aux Bruxellois de signaler rapidement des incidents qui ont lieu dans l’espace public. La démarche est simple : il suffit de prendre une photo de l’incident et de la partager via le site web ou l’application mobile.

Depuis 10 ans, la plateforme a séduit de nombreux utilisateurs

« Problème d’éclairage public avenue de la Reine à Schaerbeek », voici le tout premier incident signalé par un citoyen sur FixMyStreet en mars 2013. En 10 ans, 435.440 autres signalements ont été encodés sur la plateforme dont 247.612 par des citoyens et 199.305 par des professionnels (agents de quartier, gardiens de la paix, etc.). Certains incidents pouvant être signalés par plusieurs utilisateurs.

Le nombre de signalements effectués sur FixMyStreet est d’ailleurs en croissance constante depuis 2013. Si on comptait à peine 6.997 incidents encodés en 2013, ce chiffre grimpe à 97.123 pour l’année 2022, soit une augmentation de 28% par rapport à 2021.

« Je me réjouis que FixMyStreet soit un véritable succès de foule. Celui-ci est assez logique : simplicité, rapidité, suivi… les avantages sont nombreux. FixMystreet est le parfait exemple de ce que la technologie peut apporter pour améliorer le quotidien des Bruxellois », commente Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de la Transition numérique.

D’abord la propreté

Sans surprise, ce sont les incidents liés à la propreté publique qui tiennent le haut du panier et sont les plus nombreux à être recensés : 51.534 en 2022 et 222.405 en 10 ans. Ils sont suivis par ceux liés à la voirie, 16.293 en 2022 et 93.715 sur 10 ans.

Par ailleurs, si lors de son lancement, seul 1% des signalements était effectué via l’application. Aujourd’hui, 8 signalements sur 10 sont réalisés sur l’app.

FixMyStreet s’améliore encore

Dans un souci d’amélioration continue, FixMyStreet connaîtra pour ses 10 ans quelques évolutions. Les citoyens pourront retrouver un historique de tous les signalements effectués. De quoi leur permettre de les mettre à jour, de les renforcer ou tout simplement de les partager. Il sera également possible de voir en temps réel, grâce à une carte, les incidents signalés à proximité afin d’éviter les doublons.