Bilan et perspectives pour Bruxelles

Extrait de presse
Extrait de presse, L'Echo : “La majorité bruxelloise n’a pas tenu ses promesses”.

Extraits de l'article publié par La Libre :

[…] Bernard Clerfayt (Défi), ministre bruxellois de l’Emploi a, durant cinq ans, tenté d’incarner une sensibilité plus centriste au sein d’un gouvernement bruxellois. […]
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Pour Bernard Clerfayt, Bruxelles est confrontée à deux crises majeures . “La crise sociale et la crise de la gouvernance . La crise sociale, c’est le fait que trop peu de gens travaillent. Il faut donc améliorer le taux d’emploi. Nous avons déjà bien travaillé, mais nous devons viser maintenant un taux d’emploi de 80 %. C’est possible avec de la volonté politique et des moyens. Il faut améliorer la formation et l’enseignement. Pour cela, le pacte d’excellence est un bon outil, mais il doit être mis en œuvre plus rapidement.”
Les chiffres de l’emploi de la Région ont beau s’être améliorés en dix ans, sous les ministres Didier Gosuin puis Bernard Clerfayt, le compte est loin d’être bon. “Le taux d’emploi est passé de 54 %, quand nous sommes arrivés, à 66,5 % aujourd’hui. On a dépassé la Wallonie. À ce rythme-là, dans dix ans, on sera à 77 %. Nous sommes dans la bonne direction. L’instauration du bilan de compétences est un bon instrument (NdlR : lequel vise à objectiver le niveau des connaissances linguistiques et en informatique des chercheurs d’emploi et à leur offrir, le cas échéant, un parcours de formation adapté) . Il faut aussi mettre en place un meilleur contrôle de la disponibilité des chômeurs. Pendant longtemps, Actiris ne s’occupait plus des chercheurs d’emploi de longue durée. Il faut les réactiver.”
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“ Huit ministres et 89 députés, c’est beaucoup trop. Cinq ministres et 60 députés, c’est assez. Nous ne sommes pas allés aussi vite qu’on l’aurait voulu avec Optiris, pour la rationalisation des administrations, mais c’est grâce à nous que ce sujet a été mis sur la table ”, ajoute Bernard Clerfayt, qui plaide pour la fusion de certaines d’entre elles.
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