124 structures d’économie sociale mandatées pour former et mettre à l’emploi des chercheurs d’emploi de longue durée

Communiqué de presse

Sur proposition de Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation professionnelle, le gouvernement bruxellois a approuvé la liste des 124 structures d’économie sociale pouvant former et mettre à l’emploi des chercheurs d’emploi de longue durée. Un budget de 13 millions d’euros permettant de financer l’encadrement de plus de 1620 travailleurs du public-cible, est consacré à la mesure.

Depuis 2018, l’économie sociale a connu une véritable révolution. Les ambitions de briser le plafond de verre de l’économie sociale et de soutenir la professionnalisation du secteur dans ses missions d’insertion socio-professionnelles ont enfin été concrétisées.

En pratique et pour se mettre en conformité avec la nouvelle législation, les structures d’économie sociale ont dû obtenir un agrément. Pour se faire, elles ont mis en application les principes suivants :

  • Mettre en œuvre d’un projet économique
  • Poursuivre une finalité sociale
  • Exercer d’une gouvernance démocratique
  • Et appliquer une tension salariale modérée.

Une fois reconnues, elles peuvent bénéficier de différents avantages et notamment de produits financiers spécifiques.

L’année 2020 consacre la deuxième étape de cette réforme, appelée le mandatement. Le mandat octroyé par le Ministre de l’Emploi permet aux structures de bénéficier d’un financement pour pouvoir accompagner, former et insérer sur le marché de l’emploi des chercheurs d’emploi de longue durée.

Ce programme d’insertion s’axe aussi bien sur l’accompagnement et l’encadrement des travailleurs du groupe-cible, sur les projets d’acquisition des compétences que sur les projets de mise à l’emploi.

Les entreprises d’économie sociale agréées avaient jusqu’au 30 avril 2020 pour demander ce mandat. Après analyse des dossiers par un Comité d’experts composé d’Actiris et du Conseil Consultatif de l’Entrepreneuriat Social, 124 structures sont mandatées pour accueillir plus de 1600 travailleurs du public-cible, pour un budget total de plus de 13 millions d’euros. 

« Toutes les politiques d’emploi prises visent un même objectif : augmenter le taux d’emploi des Bruxellois. Avec la crise économique les offres d’emploi sont moins nombreuses et cette raréfaction va venir mettre la pression aussi sur les personnes les plus éloignées de l’emploi. Je ne veux pas d’une double peine pour les chercheurs d’emploi de longue durée : moins d’opportunités d’emploi et une concurrence accrue avec les nouveaux chercheurs d’emploi. En mandatement 124 structures d’économie sociale pour encadrer, former et mettre à l’emploi les chercheurs d’emploi de longue durée, non seulement nous professionnalisons le secteur mais surtout nous offrons des perspectives d’avenir aux Bruxellois. C'est pourquoi en 2021, un budget complémentaire de 30 millions d'euros sera consacré aux nouveaux emplois d'insertion en économie sociale bénéficiant ainsi a plus de 1200 futurs travailleurs », détaille Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi.

Parmi les structures mandatées, on retrouve les grands noms de l’économie sociale comme Les Petits Riens, Atelier Groot’Eiland, Casablanco ou encore Oxfam-Solidarité.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat - 0485 89 47 45

Le budget 2021 de la Région bruxelloise pour l'Emploi et la Formation

Extrait de presse

Extraits de l'article paru dans La Libre

[…] Les montants d’aides que Bruxelles peut dégager dans le cadre de la crise du coronavirus sont moindres que ceux débloqués par la Wallonie et la Flandre. Ceci s’explique par le fait que ses moyens budgétaires sont en fait dimensionnés à la taille de sa population (11 % du total), alors que le secteur économique présent à Bruxelles, c’est 18 % de la Belgique. Elle n’est donc pas en capacité de soutenir l’activité économique de la même manière que les deux autres régions.

[…] La mission des États, c’est précisément de répondre à la crise. Par ailleurs, les taux d’intérêt sont actuellement bas. Emprunter coûte beaucoup moins cher, il n’y a donc pas de raison de ne pas le faire. Ne pas le faire serait d’ailleurs un crime.

La crise est là donc, et modifie l’ordre des priorités. Qu’avez-vous dégagé comme budget pour la formation et l’emploi à Bruxelles en 2021 ?

[…] Il est de l’ordre de 87 millions d’euros supplémentaires par rapport à celui de 2020. Avec cette augmentation de budget, on cherche prioritairement à répondre aux urgences que génère la crise économique, collatérale à la crise sanitaire.

[…] Allez-vous indexer la fameuse “indemnité de formation”, prévue dans l’accord de majorité, qui vise à aider les demandeurs d’emploi à moins décrocher des formations ? Oui. Pour ce faire, j’ai obtenu en 2021 un budget de 4,7 millions d’euros pour passer de 1 à 2 euros par heure de formation. L’objectif, à terme, est d’atteindre les 4 euros par heure.

Allez-vous indexer la fameuse “indemnité de formation”, prévue dans l’accord de majorité, qui vise à aider les demandeurs d’emploi à moins décrocher des formations ?

Oui. Pour ce faire, j’ai obtenu en 2021 un budget de 4,7 millions d’euros pour passer de 1 à 2 euros par heure de formation. L’objectif, à terme, est d’atteindre les 4 euros par heure. […]

Le nouveau pôle de formation bruxellois au digital

Extrait de presse
Bruxelles inaugur Digitalcity, dédié aux métiers du numérique

Extrait de l'article du journal Le Soir

Bruxelles a désormais son pôle formation et emploi consacré aux métiers du numérique. Digitalcity, c’est son nom, a été inauguré cette semaine de manière virtuelle. Basé à Auderghem, ce pôle se compose de 17 salles de cours et d’une équipe de 25 experts pour former et anticiper les besoins des entreprises.

[…] « Les trois profils les plus recherchés sur le marché de l’emploi bruxellois sont : analyste-programmeur, technicien help-desk et consultant informatique, d’aprèsune étude de view.brussels parue début2020 », a indiqué le ministre bruxelloisde l’Emploi et de la Formation profes-sionnelle Bernard Clerfayt (Défi). « Et lacrise actuelle (du coronavirus) agitcomme un accélérateur de tendances. » Il voit Digitalcity comme un véritable instrument de relance.

Digitalcity proposera des formations aux métiers du numérique

Extrait de presse

Extraits de l'article paru dans L'Écho

[…] C’est donc comme un «superbe outil de relance» que Digitalcity a été présenté par le ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation, Bernard Clerfayt (DéFI), même si les pôles formation-emploi sont nés bien avant la crise sous l’impulsion de son prédécesseur, Didier Gosuin (DéFI).

[…] Une équipe de 25 experts est prévue pour former les demandeurs d’emploi en fonction des besoins définis par les entreprises de ce secteur en évolution constante. Avec Digitalcity, les pouvoirs publics espèrent apporter une réponse au fameux paradoxe bruxellois. À savoir que la capitale est le premier bassin d’emplois du pays, mais aussi la région du pays ayant le taux de chômage le plus élevé. […]

Un nouveau centre pour se former dans le numérique

Actualité
Le centre Emploi-Formation dans le secteur numérique : Digitalcity

Que l’on soit à la recherche d’un collaborateur, d’un emploi ou d’une formation, Digitalcity.brussels devient la référence dans le secteur du numérique. Plus de 2 500 m², 17 salles de cours et une équipe de 25 experts pour former les talents de demain et anticiper les besoins RH des entreprises.

Une étude de view.brussels, parue début 2020, indique que les trois profils les plus recherchés sur le marché de l’emploi bruxellois sont : analyste-programmeur, technicien helpdesk et consultant informatique. Par ailleurs, la liste des métiers en pénurie compte de nombreuses fonctions dans le numérique. Agoria estime que la digitalisation de notre société va entraîner la création de 800.000 postes de travail.  

Un Pôle Formation Emploi pour se former dans le numérique

Pour faire face à un besoin de main d’œuvre grandissant, accéléré par la crise du Covid-19, la Région bruxelloise a décidé de miser sur une structure unique et inédite rassemblant le secteur professionnel et les services publics de l’emploi et de la formation. Voici le Pôle Formation Emploi pour se former dans le numérique : Digitalcity.brussels. 

Non seulement Digitalcity.brussels formera les talents aux compétences actuellement recherchées sur le marché de l’emploi, mais il devra aussi anticiper les besoins des entreprises. En effet, les métiers du numérique sont en constante évolution et nécessitent des mises à jour ou des remises à niveau tout au long d’une carrière professionnelle.

« La crise est un accélérateur de tendance. La plus forte d’entre-elles est la digitalisation de tous les aspects de notre société. En Région bruxelloise, nous avons décidé de ne pas seulement assister à cette véritable ruée vers le digital mais de faire en sorte que les Bruxellois en soient des acteurs. Digitalcity.brussels ambitionne de devenir la référence en matière de métiers numériques à Bruxelles et s’adresse à ceux qui veulent se lancer ou se spécialiser dans le secteur. L’accent sera évidemment mis sur la formation : nous devons proposer des formations de pointe afin de devenir un interlocuteur crédible », déclare Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation.

De l’importance de talents formés dans le numérique

Bruxelles, c’est aussi la capitale des PME. La création de start-ups et de petites entreprises, surtout dans le domaine des technologies, est en pleine explosion. Une étude de "start-up.be" indique que, depuis 2010, plus de 400 entreprises actives dans le secteur numérique se sont établies en Région bruxelloise, créant plus de 3.000 emplois. Et selon le même rapport, le recrutement reste le plus grand challenge de ces startups.

D’après un rapport d’Agoria de 2018, intitulé « la digitalisation et le marché du travail belge », si aucune solution n’est mise en place, « l’écart entre l’offre et la demande se creusera encore jusqu’en 2030 ».

Par ailleurs, la chasse aux compétences digitales n'est plus l’apanage des seules entreprises technologiques. Aujourd’hui, les recruteurs sont à la recherche de candidats de plus en plus polyvalents. On demande désormais aux employés d’avoir des compétences en droit, en communication, en management... et bien sûr dans la sphère numérique, provoquant une véritable guerre des talents.

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Digitalcity.brussels : nouvel outil de la relance économique de Bruxelles

Communiqué de presse

Que l’on soit à la recherche d’un collaborateur, d’un emploi ou d’une formation, Digitalcity.brussels devient la référence dès lors que l’on évolue dans le secteur IT. Plus de 2 500 m², 17 salles de cours et une équipe de 25 experts pour former les talents de demain et anticiper les besoins RH des entreprises.

Une étude de view.brussels, parue début 2020, indique que les trois profils les plus recherchés sur le marché de l’emploi bruxellois sont : analyste-programmeur, technicien helpdesk et consultant informatique. Par ailleurs, la liste des métiers en pénurie compte de nombreuses fonctions liées à l’IT. Ajoutons à cela la crise sanitaire qui a accéléré la digitalisation de toutes nos entreprises publiques et privées, tous secteurs confondus. Par conséquent, les besoins en profils IT vont être de plus en plus élevés sur le marché de l’emploi. Agoria estime d’ailleurs que la digitalisation de notre société va entraîner la création de 800 000 postes de travail.  

Seulement, en Région bruxelloise, un paradoxe sévit. D’une part, la Région est le principal bassin d’emplois du pays, souvent hautement qualifiés. D’autre part, Bruxelles connaît un taux de chômage important. Dès lors, comment faire pour que l’offre et la demande d’emploi se rencontrent ?

De l’importance de talents formés

Bruxelles, c’est aussi la capitale des PME. La création de start-ups et de petites entreprises, surtout dans le domaine des technologies, est en pleine explosion. Une étude de start-up.be indique que, depuis 2010, plus de 400 entreprises actives dans le secteur numérique se sont établies en Région bruxelloise, créant plus de 3.000 emplois. Et selon le même rapport, le recrutement reste le plus grand challenge de ces startups.

D’après un rapport d’Agoria de 2018, intitulé « la digitalisation et le marché du travail belge[1] », si aucune solution n’est mise en place, « l’écart entre l’offre et la demande se creusera encore jusqu’en 2030 ».

Par ailleurs, il apparaît que la chasse aux compétences digitales ne soit plus l’apanage des seules entreprises tech. Aujourd’hui, les recruteurs sont à la recherche de candidats de plus en plus polyvalents. On demande désormais aux employés d’avoir des compétences en droit, en communication, en management... et bien sûr dans la sphère numérique, provoquant une véritable guerre des talents.

Un Pôle Formation Emploi dédié aux métiers IT, au cœur du développement de la Région

Pour faire face à un besoin de main d’œuvre grandissant, accéléré par la crise du Covid-19, la Région bruxelloise a décidé de miser sur une structure unique et inédite rassemblant, d’une part, le secteur professionnel et, d’autre part, les services publics de l’emploi et de la formation. Voici le Pôle Formation Emploi des métiers du numérique : Digitalcity.brussels.

Ce Pôle Formation Emploi constitue le trait d’union physique, mais aussi numérique, actuellement manquant, entre services publics et monde économique.

Porté par plusieurs partenaires, Digitalcity.brussels est une entité unique qui rassemble les forces vives d’Actiris, de Bruxelles Formation, du VDAB Brussel, du Consortium de la Validation des Compétences, et du secteur professionnel au profit des Bruxellois, qu’ils soient chercheurs d’emploi, travailleurs ou entrepreneurs.

Non seulement Digitalcity.brussels devra former les talents aux compétences actuellement recherchées sur le marché de l’emploi, mais il devra aussi anticiper les besoins des entreprises. En effet, les métiers du numérique sont en constante évolution et nécessitent des mises à jour ou des remises à niveau tout au long d’une carrière professionnelle.

Digitalcity.brussels est constitué de trois piliers: le pilier Sectoriel Recherche & Développement, le pilier Formation & Validation des Compétences et le pilier Emploi. Il mène donc aussi bien des actions de formation, d'emploi, d'identification et de validation des compétences que des actions de collaborations renforcées avec l'enseignement, de sensibilisation aux métiers du secteur IT et de promotion de leur image.  Digitalcity a également parmi ses missions la veille sectorielle du marché de l'emploi et des qualifications requises. .

« La crise est un accélérateur de tendance. La plus forte d’entre elle est la digitalisation de tous les aspects de notre société. Seulement, en Région bruxelloise, nous avons décidé de ne pas seulement assister à cette véritable ruée vers le digital mais de faire en sorte que les Bruxellois en soient des acteurs. Digitalcity.brussels ambitionne de devenir la référence en matière de métiers numériques à Bruxelles et s’adresse à ceux qui veulent se lancer ou se spécialiser dans le secteur. L’accent sera évidemment mis sur la formation : nous devons proposer des formations de pointe afin de devenir un interlocuteur crédible », déclare Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation.

« Que de chemin parcouru depuis la création de l’asbl Brutec dans les années 1980 ! Aujourd’hui, le CDR Evoliris cède la place au Pôle Digitalcity. Un nouveau pôle qui voit le jour d’abord et avant tout, grâce à la conclusion en février dernier du premier accord-cadre entre mon Gouvernement, le Collège de la Commission communautaire française et les partenaires sociaux du domaine des métiers du numérique. Par cet accord, nous voulons insuffler notre volonté commune d’entrer, à travers un sigle unique, dans une nouvelle perspective de coopération bien comprise : celle d’une mutualisation de ressources et moyens au service des Citoyens bruxellois, quels qu’ils-elles soient : chercheur d’emploi, employeur, formatrice ou encore apprentie ! », explique Rudi Vervoort Ministre-Président bruxellois

« Réunir les partenaires publics et privés du secteur va permettre de regrouper les compétences d’une vingtaine d’experts dans leur domaine et de proposer en un seul lieu une offre de services riche en développement de compétences numériques. Les collaborations entre nos équipes pour, notamment, accompagner les chercheurs d’emploi avant, pendant et après leur formation améliorera encore les résultats de même que le travail de veille et de vitrine auprès des entreprises assuré par le secteur. Digitalcity.brussels constitue donc le cadre idéal pour développer et transmettre une dynamique positive, innovante et ambitieuse pour les Bruxellois et Bruxelloises », affirme Olivia P’tito, Directrice générale de Bruxelles Formation.

« A l’heure où notre société a subitement basculé dans le digital, se former aux métiers du numérique est quasiment une garantie d’emploi. J’encourage les chercheuses et les chercheurs d’emploi qui hésitent encore à se lancer dans l’aventure. De même que j’invite les employeurs à faire appel à ce nouveau service afin qu’il réponde au mieux à ses besoins. Ce sont toutes les nouvelles solutions que nous trouverons pour Bruxelles qui, ensemble, nous permettront de faire face à la crise », explique Grégor Chapelle, Directeur général d’Actiris.

« La création du pôle Digitalcity s'inscrit pleinement dans la vision d’avenir du VDAB. La mise en place d'infrastructures communes, ciblant aussi bien les demandeurs d'emploi que les employés et les étudiants, est à nos yeux la voie de l'avenir. Le fait que des formations soient organisées au sein de Digitalcity en fonction des besoins concrets des employeurs est essentiel pour le secteur des TIC. Le VDAB ne fournit pas de formations aux TIC, mais nous plaçons toutes nos formations virtuellement dans le pôle Digitalcity et nos organisations partenaires ont tout le loisir d’organiser des formations sur cette magnifique infrastructure dernier cri de Digitalcity », conclut Geert Pauwels, directeur du VDAB Brussel.

Digitalcity.brussels, de par sa mission de point central numérique, répond aux attentes des entreprises d’un point de vue formation et information. Digitalcity.brussels doit devenir la plate-forme des projets numériques bruxellois, de la mise à disposition de son infrastructure à la mise sur pieds d’opportunités de partenariats publics-privé. Digitalcity.brussels c’est aussi l’endroit idéal pour permettre aux entreprises de trouver du personnel qualifié, de former leurs (futurs) employés ou d'offrir plus de visibilité à leurs projets, produits ou services. », déclare Jean-Pierre Rucci, Directeur général de Digitalcity.brussels.

En savoir plus

Situé à Auderghem, à proximité immédiate des campus de l’ULB et de la VUB avec lesquels Digitalcity.brussels souhaite développer de nouvelles collaborations, le bâtiment compte cinq niveaux et comprend, notamment :

  1. Un auditoire de 100 places ;
  2. Une quinzaine de salles équipées ;
  3. Un studio digital media ;
  4. Un laboratoires CISCO dédié aux technologies réseau ;
  5. Un laboratoire destiné à accueillir les épreuves de certification et de validation des compétences ;
  6. Un espace de plus de 100 m² destiné à accueillir les activités d’Actiris en matière de mise à l’emploi.

 

[1] La digitalisation et le marché du travail belge. Shaping the future of work, Agoria, 2018

Nouveau programme de formation pour enseignants

Extrait de presse

Extraits de l'article de La Libre de ce 29/09/20

[…] Le minerval sera entièrement pris en charge financièrement par l’agence régionale Bruxelles Formation. Les inscriptions se clôturent mercredi. Un accompagnement individualisé est par ailleurs mis en place par Actiris.
[…] “Le métier d’enseignant est en demande depuis de nombreuses années”, rappelle Bernard Clerfayt (Défi), ministre bruxellois
de l’Emploi et de la Formation professionnelle. “Entre le mois de mars dernier et septembre, Actiris a reçu 360 offres d’emploi
pour le métier de professeur de secondaire inférieur.”