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Emploi et formation en alternance

Extrait de presse
Bernard Clerfayt (DéFI), ministre de l'Emploi : « Le stage doit redevenir le cœur de la formation en alternance »

Extraits de l'article publié par Sudpresse

Diminution du taux de chômage et hausse du taux d'emploi à Bruxelles, Bernard Clerfayt (DéFI) désire poursuivre en misant sur la formation. Le ministre de l'Emploi a lancé le bilan de compétence et s'attelle à réformer la formation en alternance.

On pourrait l'appeler Monsieur Formation tant il n'a pratiquement que ce mot à la bouche quand il est question d'emploi. « Si on veut réussir la mise à l'emploi du plus grand nombre, nous devons continuer ce que Didier Gosuin (DéFI), ministre avant moi, a lancé et qui est la priorité : faire monter en gamme le niveau de compétences professionnelles des chercheurs d'emploi puisque 60 % d'entre eux n'ont que de faibles compétences ou des compétences acquises à l'étranger et qui ne sont pas valorisables malheureusement aujourd'hui sur le marché de l'emploi », affirme d'emblée Bernard Clerfayt (DéFI), ministre de l'Emploi.

« Il n'y a jamais eu autant de Bruxellois à l'emploi qu'aujourd'hui : 509.000, c'est presque 30.000 emplois de plus. 70 % des nouveaux emplois créés sont occupés par des Bruxellois », présente fièrement l'élu amarante. « On est sur une vraie tendance de réduction du taux de chômage et une hausse du taux d'emploi. On est la région qui a le plus progressé, on frôle les 66 % pour le taux d'emploi. L'objectif politique général de 80 %, 3,5 % pour la Région bruxelloise, pour 2030 est atteignable. »

[…] Notre travail est à moyen terme : structurer les dispositifs pour accompagner les chercheurs d'emploi et faire correspondre au mieux leurs compétences à celles des marchés de l'emploi »

[À propos de l'alternance]

« On veut remettre le stage au cœur de la formation. Par le passé, on a accueilli des élèves qui n'avaient pas de stage en entreprise, autrement dit la moitié de la formation n'y était pas. Nous avons renforcé la prime tuteur pour que plus d'entreprises puissent dégager quelques heures sur la journée d'un tuteur, travailleur expérimenté, pour transmettre son savoir au jeune en alternance. Nous allons sécuriser un peu plus le parcours des jeunes car on en a une série qui décroche. On doit mettre des conditions financières et d'accompagnement psychologique pour maintenir les jeunes en formation en alternance plus longuement. On va faire passer un test à l'entrée d'orientation pour bien vérifier le niveau des jeunes et être certains si besoin de leur donner l'accompagnement dès le début pour éviter qu'ils en décrochent »

[…] « Si au bout d'une année, on n'a pas eu la chance de trouver du boulot, on doit s'interroger avec son accompagnateur d'Actiris ce qui l'éloigne du marché de l'emploi. À Bruxelles, un emploi sur deux est pris par un navetteur. Si on veut augmenter la part des Bruxellois, il faut qu'à chaque interview, à chaque occasion, ils puissent être les meilleurs. C'est le job d'Actiris d'accompagner les chercheurs d'emploi de longue durée pour faire un bilan de compétence et les réorienter vers l'emploi. Il faut une modification des pratiques d'Actiris, c'est en cours et ça va mettre un certain temps. »

[…] « Si le taux de croissance était plus grand, nous pourrions aller plus vite à la reconquête de l'emploi au bénéfice des Bruxellois »

Priorité à la formation

Extrait de presse
Extrait de presse, Trends : «Former est le meilleur moyen de rapprocher les Bruxellois de l’emploi»

Extrait de l'article publié par Trends

[…] Bernard Clerfayt s’est fixé un cap dès l’entame de son mandat : mettre plus de Bruxellois à l’emploi. Quatre ans plus tard, le nombre de Bruxellois à l’emploi n’aura jamais été aussi élevé ! 509.000 Bruxellois ont un travail. Ils étaient 466.064 en 2019.

[…] «Nous devons accompagner les chercheurs d’emploi et cela passe par la formation. C’est le meilleur moyen de les rapprocher de l’emploi. C’est pourquoi, j’investis, depuis le début de mon mandat, dans le développement des compétences des Bruxellois. Notre dernière grande mesure en la matière est la mise en place d’un bilan de compétences ».

[…] « En proposant des candidats formés, nous améliorons l’offre de service d’Actiris aux employeurs. Ensuite, c’est un cercle vertueux : plus l’employeur est satisfait, plus il travaillera avec Actiris, plus nous mettrons de Bruxellois à l’emploi », insiste le Ministre amarante.

Lire l'article sur le site de Trends

Bernard Clerfayt au micro de «Bonjour Bruxelles» ce 13 septembre

Extrait de presse
Interview de Bernard Clerfayt au micro de  « Bonjour Bruxelles » ce 13 septembre

Bernard Clerfayt, ministre de la Région de Bruxelles-capitale était ce mercredi 13 septembre au micro de Bruxelles Matin sur BX1+ Ci-dessous un bref compte-rendu:

Augmenter les titres-services de 5 euros ? Bruxelles dit non. Le montant remboursé aux entreprises est indexé. Leur marges bénéficiaires sont donc inchangées.

Aide-ménagères, le métier est pénible. La réforme que je mène va au maximum de mes compétences pour améliorer les conditions de travail. Cela veut dire formation à l’ergonomie, contrat avec l’utilisateur, vérification des tâches demandées, 16 h de formation par an, tutorats, sanctions des abus, etc.

Sécurité des stations : Les polices locales sont sur le terrain dans les gares, mais pas la police fédérale. L’État fédéral démissionne de ses missions régaliennes aux mains des ministres flamands : justice, police, migration et asile. La Flandre met les moyens là où cela l’arrange.

Migration et asile : tout est concentré sur Bruxelles. La secrétaire d’État demande une répartition en Europe mais est incapable de faire cette répartition dans notre propre pays.

En matière de sécurité le danger est de mélanger tout, et de rendre alors impossible le travail des autorités Bruxelloises. C’est pourquoi Bernard Clerfayt trouve important de rappeler les responsabilités, selon les faits et les personnes concernées.

Budget : on ne peut pas laisser filer la dette. Il faut un budget responsable pour assurer la pérennité des politiques sociales et de relance. Il faut se rappeler que la dette budgétaire on la paye systématiquement.

Prix des titres-services

Extrait de presse
Titres-services : le politique recale une hausse de 5 euros

Extraits de l'article publié par Le Soir

Federgon, première fédération patronale du secteur des titres-services, estime que la viabilité de ses membres demande 5 euros de plus   par titre. Une proposition rejetée par les autres fédérations, critiquée par les syndicats et recalée par les ministres bruxellois et wallon de l’Emploi.

[…] « Nous avons augmenté le prix du titre de 1 euro l’année passée », signale sa porte-parole. « Et il ne figure pas dans l’accord de majorité d’augmenter le prix à nouveau sous cette législature. » Le cabinet ajoute que les chiffres utilisés par Graydon sont ceux de 2021, en pleine crise sanitaire. Or, depuis, la situation du secteur serait revenue au niveau de celle de 2019. Et d’ajouter : « La quote-part régionale a été indexée l’année dernière. »

Promotion de l'emploi et diversité

Extrait de presse
Extrait de presse, Le Soir : "Le voile au travail : objet de discrimination vs libre choix de neutralité"

Extrait de l'article du journal Le Soir

Quelques extraits des interventions du Ministre Bernard Clerfayt dans ses échanges avec Ibrahim Ouassari:

[…] La participation des femmes est de plus en plus importante, surtout à Bruxelles. Peut-être parce que la ville offre plus d'opportunités. Le problème ne va pas se résoudre de lui-même, mais on voit aussi que les femmes se diplôment plus et mieux que les garçons.

[…] Le marché de l'emploi, comme tous les aspects de la vie privée, sociale et économique doit être le plus inclusif possible à Bruxelles. Et Bruxelles est totalement engagée dans toutes les formes de luttes contre les discriminations.

[…] J'ai encore pris récemment des sanctions à l'égard d'une école qui avait clairement dit qu'elle ne voulait pas engager de personne portant le voile pour assurer le nettoyage. C'est totalement scandaleux. Je rappelle aussi qu'il existe un service spécial chez Actiris pour accueillir toutes les personnes qui souffrent ou ont le sentiment d'être discriminées.

[…] Je le répète : aucun employeur ne peut discriminer sur la base d'une préférence religieuse. En fait, un employeur ne devrait pas savoir que je suis bouddhiste ou ma préférence sexuelle qui peut d'ailleurs changer. Je suis heureux que des milliers de femmes qui portent le voile trouvent du boulot. Notre société est diverse et je pense que les employeurs sont de plus en plus issus de la diversité, ce qui devrait mettre progressivement fin aux discriminations.

Politique de l'accueil et crise dans les gares et stations bruxelloises

Extrait de presse
Extrait de presse, interview par Belga au sujet de la politique de l'accueil et crise dans les gares et stations bruxelloises

Extrait de l'interview Belga (vidéo sur Twitter) :

Le Ministre Bruxellois Bernard Clerfayt était interviewé ce 31/08 matin par Belga sur la situation dans et autour des gares bruxelloises. Il a rappelé les obligations du gouvernement fédéral :

« Nous souhaitons que le fédéral puisse s’impliquer avec nous pour un meilleur accueil des migrants sur le territoire. Madame De Moor doit revoir sa décision. […] ».

Attractivité du secteur de la construction

Extrait de presse
Extrait de presse, Sudpresse : "Le secteur de la construction lance une campagne pour créer 8.000 emplois à Bruxelles : "Après la pétrochimie, nous sommes le secteur qui rémunère le mieux ses ouvriers".

Extraits de l'article publié par La Libre

Entre la crise énergétique et les objectifs de la Région bruxelloise dans le bâti, les demandes de rénovation ne cessent de croître alors que le secteur de la construction est en pénurie. Une campagne est lancée depuis fin août pour attirer les jeunes.

[…] Le secteur souffre de stéréotypes dont il a du mal à se défaire. « Pour beaucoup, ce sont des emplois pénibles, peu payés et fastidieux. Or les entreprises se sont beaucoup modernisées et l'emploi a évolué », note Bernard Clerfayt (DéFI), ministre de l'Emploi. « C'est un secteur qui recrute pour des dizaines d'années et offre un emploi durable, porteur de sens et qui utilise de plus en plus de technologies nouvelles. » «Après la pétrochimie, nous sommes le secteur qui rémunère le mieux ses ouvriers », insiste le directeur de Construcity.

[…] « En 2022, Construcity a formé près de 2.500 travailleurs et 989 chercheurs d'emploi. Cela fonctionne ! », se réjouit Bernard Clerfayt. […]

Accéder à l'article sur le site Sudpresse