Labellisée amie des animaux

Extraits de l'article publié par la Dernière Heure

(Ixelles a remporté le label d’or Commune amie des animaux 2020.)

Prime de stérilisation des chats, création d’espaces “chiens en liberté” , projet “1 000 nichoirs” : ces dernières années, Ixelles multiplie les initiatives en faveur du bien-être animal sur son territoire. Ce mardi, la commune a emporté la première édition du label d’or qui récompense la localité bruxelloise la plus entreprenante en matière de respect du bien-être animal. […]

[…] “Les communes qui mènent des politiques concrètes en matière de bien-être animal répondent à un souhait grandissant de leurs habitants. En tant qu’acteur de première proximité, elles ont un impact direct sur la vie de milliers d’animaux. Je relance d’ailleurs une nouvelle édition de cet appel à projet. Les communes qui ont envie de développer des projets ou de poursuivre leurs démarches peuvent introduire leur demande auprès de Bruxelles Environnement avant le 15 mai”, annonce le ministre du Bien-être animal Bernard Clerfayt (Défi).

 

De nouveaux terrains pour étoffer l’offre du stade Fallon

Extrait de l'article publié par la Dernière Heure

Ce mercredi, Olivier Maingain, bourgmestre de Woluwe-Saint-Lambert, Eric Bott, l’échevin des Sports de la commune, et Bernard Clerfayt, ministre du gouvernement de la Région Bruxelles-Capitale, ont inauguré deux nouveaux terrains synthétiques, dont la réalisation a bénéficié d’une subvention régionale couvrant environ 50 % des coûts.

[…]

185.000 utilisateurs de wifi.brussels

Extraits de l'article publié par "La Capitale"

« Plus de 290.000 utilisateurs uniques sont enregistrés sur le réseau wifi.brussels dont plus de 185.000 en 2020.Cela correspond à un total de près de 660.000 appareils différents. Le système d’authentification a été modifié fin 2019 avec des règles plus strictes en matière de durée de vie de compte (maximum un an) et une meilleure fiabilité dans le processus d’enregistrement avec pour conséquence la quasi-disparition des doubles d’enregistrements », relate Bernard Clerfayt.
« L’évolution d’utilisation (nombre de comptes créés et trafic) montre un réel ralentissement d’utilisation à partir du mois de mars 2020, ce qui correspond au début de la crise sanitaire. Le deuxième confinement d’octobre est clairement marqué dans le volume de données téléchargées, notamment par la restriction imposée par la Stib à la durée des sessions pour limiter les attroupements aux abords des quais des stations de métro », poursuit le ministre.

« Depuis le changement de plateforme d’authentification en novembre 2019, il n’est plus possible de donner une vision automatisée des connexions effectuées par hotspot. Seule est disponible une vue sur les dernières 24h et par antenne et non par site. Le CIRB a demandé à Irisnet et à son fournisseur Cisco une amélioration du reporting mis à disposition. Par contre, pour l’année 2020, 74 % des connexions au réseau wifi.brussels ont eu lieu via les antennes présentes dans les stations de la Stib », ajoute Bernard Clerfayt. Quatre nouveaux sites de maisons de quartier sont en cours d’installation dont 3 sont situés à Evere et une à Anderlecht.

Forest ne peut pas payer deux bourgmestres !

Extrait de l'article publié par "La Capitale" du 12 mars

Suite à une question écrite du député bruxellois et chef de groupe DéFI au conseil communal de Forest, Marc Loewenstein, concernant le paiement d’un double traitement de bourgmestre à Forest, le ministre bruxellois des pouvoirs locaux, Bernard Clerfayt, a tranché…

[…] « Une commune peut-elle payer deux traitements de bourgmestre en même temps ? (…) Le bourgmestre a remboursé ses traitements (…) Il s’agit là du remboursement du traitement net. Pourriez-vous me dire ce qu’il est du brut, de son statut social ? », a notamment interrogé Marc Loewenstein. « Une commune ne peut pas payer deux traitements de bourgmestre en même temps. Le traitement est attaché à la fonction et non à la personne (…) Si un bourgmestre est absent plus d’un mois, son remplaçant a droit au traitement (…) Dans le cas présent, la première condition est remplie : le 17 novembre 2020, le bourgmestre a désigné la seconde échevine pour le remplacer et n’a pas retiré cette délégation depuis lors. Le remplacement dure donc de manière ininterrompue depuis plus d’un mois (…) La seconde condition est également remplie puisque le bourgmestre n’est pas absent pour raison médicale ou pour service public non salarié : il s’agit d’un empêchement de fait (…) La secrétaire communale de Forest a été informée par l’administration régionale en charge de la tutelle administrative, Bruxelles Pouvoirs locaux, de l’interprétation correcte des dispositions légales applicables à la situation et a clairement précisé à qui le traitement de bourgmestre devait être versé », lui a répondu Bernard Clerfayt le 4 mars dernier. […]

Et le ministre bruxellois des pouvoirs locaux de trancher : « La réponse à votre première question induit la réponse à la seconde : puisque le bourgmestre n’a plus droit à son traitement dès qu’il est absent depuis plus d’un moins dans les conditions évoquées ci-dessus, il n’y a pas lieu de faire une distinction entre la partie brute et nette de la rémunération. Le traitement attaché à la fonction passe au bourgmestre faisant fonction (…) En ce qui concerne les traitements qui avaient été payés indûment à Monsieur Roberti et qui ont été remboursés, il faudra qu’une régularisation soit opérée au niveau des versements de cotisations sociales ».

Vingt-cinq entreprises bruxelloises obtiennent le "Label Diversité" d'Actiris

Extrait de l'article de La Libre

Depuis 2010, Actiris, l’organisme régional chargé de la politique de l’emploi en Région de Bruxelles-Capitale, remet un "Label Diversité". Ce prix est décerné aux employeurs qui mettent en place avec Actiris des actions concrètes pour promouvoir la diversité et lutter contre les discriminations au sein de leur entreprise. De plus en plus d'employeurs engagés.

"La diversité des profils est une force dans le monde de l’entreprise. Dans les périodes comme celle que nous traversons, cette diversité renforce la résilience de notre économie", a souligné, lors de la remise des prix, le ministre de l’Emploi de la Région de Bruxelles-Capitale, Bernard Clerfayt.

Diversité

Extraits de l'article publié par La Libre

[…] Depuis 2010, Actiris, l’organisme régional chargé de la politique de l’emploi en Région de Bruxelles-Capitale, remet un Label Diversité . Ce prix est décerné aux employeurs qui mettent en place avec Actiris des actions concrètes pour promouvoir la diversité et lutter contre les discriminations au sein de leur entreprise.

[…] “ La diversité des profils est une force dans le monde de l’entreprise. Dans les périodes comme celle que nous traversons, cette diversité renforce la résilience de notre économie ”, a souligné, lors de la remise des prix, le ministre de l’Emploi de la Région de Bruxelles-Capitale, Bernard Clerfayt.

Impact du Covid sur les finances communales

Le Coronavirus fait souffrir les finances communales

Extraits de l'article publié par Le Soir

[…] « Trente millions sont directement attribuables à la pandémie », détaille Bernard Clerfayt (Défi). Au début de la crise sanitaire, le ministre bruxellois des Pouvoirs locaux avait demandé aux collèges communaux d’isoler le coût du covid dans leur budget.

[…] « Et puis, certains collèges communaux ont adopté des mesures volontaires de soutien à certains secteurs très impactés, pointe le ministre régional. Soit en renonçant à certaines taxes, soit en octroyant des primes. La situation était très différente d’une commune à l’autre.

[…] « En juillet 2020, j’avais reçu deux études sur le sujet, rappelle Bernard Clerfayt. La première émanait de l’administration Bruxelles Pouvoirs locaux, elle évoquait un déficit oscillant, pour 2020, entre 100 et 115 millions. La seconde, réalisée par Belfius, parlait de 100 millions. Nous ne sommes donc pas dans cette fourchette. Ni dans une situation catastrophique : les recettes des communes, c’est environ 3 milliards, donc 30 millions de dérapage dû au covid, c’est un pour cent. »

Article en ligne sur lesoir.be (abonnés)

Décumul

Extraits de l'article de l'Echo

L’ordonnance instaurant une incompatibilité de fonction entre bourgmestre-échevin et parlementaire devait être adoptée avant la fin de l’année 2020.

[…] Dans l’immédiat, cela ne change rien. Même si elle était déjà votée, l’incompatibilité de fonction entre bourgmestre-échevin-président de CPAS et parlementaire n’aurait pas d’impact avant les prochaines élections communales et régionales de 2024.

[…] «Il n’y a aucun blocage politique. La majorité est favorable au décumul», affirme le cabinet du ministre Bernard Clerfayt (DéFI).

[…] En charge des Pouvoirs locaux, le ministre Bernard Clerfayt (DéFI) veut inclure le décumul dans une réforme plus globale de la gouvernance locale, ce qui prend donc plus de temps. Il est question notamment de la réduction du nombre d’échevins et de la revalorisation du statut de certains mandataires publics et grades légaux. «Lier ces deux aspects est important. Dès lors que le décumul devient obligatoire, il faut permettre aux mandataires locaux de se consacrer pleinement à la fonction pour laquelle ils sont élus. Ce qui doit passer par une revalorisation du statut», explique
sa porte-parole.

Nouvelle aire pour les chiens

Extrait de l'article publié par La Capitale

[…] Elle [Shaerbeek] possède le label Commune respectueuse du bien-être animal. « C’est une tradition dans cette commune d’y être attentif. Ce parcours d’exercices est un geste supplémentaire envers le bien-être des chiens. On l’a vu avec le covid, le contact avec l’animal est essentiel », déclare Bernard Clerfayt (DéFI), ministre bruxellois du Bien-être animal. « Grâce à un soutien financier de la Région bruxelloise d’un montant de 3.000€, les 6.290 chiens de la commune mais aussi d’ailleurs pourront profiter d’un espace de jeux inédit pour se dépenser en toute sécurité ».

Sommet social en Région bruxelloise

Extraits de l'article paru sur lesoir.be

Réagissant aux propos de la secrétaire générale de la FGTB bruxelloise, le ministre bruxellois de l’Emploi estime que c’est aux représentants du patronat et des travailleurs de prendre leurs responsabilités s’ils veulent peser sur la relance.

[…] « Pour qu’il y ait une grand-messe, il faudrait déjà qu’il y ait une communion et que les partenaires sociaux viennent avec des propositions conjointes à émettre au gouvernement. Si chacun vient exposer son petit point de vue, on n’avancera pas », rétorque déjà Bernard Clerfayt. « Estelle Ceulemans a raison de dire que si on ne pouvait rien changer, ce serait trop tard. Mais c’est faux. Certes, on ne peut pas repartir de zéro car il y a des délais à respecter pour la soumission du plan de relance à la Commission européenne, mais je veux dire aussi que les partenaires sociaux ont des organes de concertation en Région bruxelloise. Rien ne les aurait empêchés de travailler depuis octobre à des propositions conjointes. Si chacun demain expose son avis et qu’on ne va pas vers des propositions convergentes, on n’aboutira jamais à rien. »

Lire l'article du Soir (abonnés)