Aide à l'accès aux services en ligne

Extrait de presse
Extrait de presse, La Dernière Heure : "Un budget de 300 000 euros pour améliorer les compétences numériques des Bruxellois : “c’est un mur qui est en train de s’installer”.

Extraits de l'article publié par la Dernière Heure:

[…] Les projets sélectionnés bénéficieront d’un soutien financier allant de 30.000 à 60.000 euros. Ils devront être concrets, directement réalisables et promouvoir l’accès, les compétences et l’utilisation des outils numériques.

[…] "C’est un mur qui est en train de s’installer entre les personnes qui maîtrisent le numérique et les autres. Il existe donc une faille où s’enfoncent celles et ceux qui ne bénéficient pas de compétences numériques. Cet appel à projets doit pallier cela et rendre le numérique accessible à tous pour contribuer à une meilleure intégration sociale et économique. C’est une question de solidarité numérique”, commente Bernard Clerfayt.

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La Région financera les projets concrets qui aideront les Bruxellois à utiliser les services en ligne

Actualité
Aider les bruxellois à utiliser les services en ligne

Pour aider les Bruxellois en difficulté avec les services en ligne, le service informatique régional Paradigm, sous l’impulsion du ministre de la Transition numérique Bernard Clerfayt, lance un nouvel appel à projets « Digital.Brussels ».

30.000 à 60.000 euros par projet

Les projets sélectionnés bénéficieront d’un soutien financier allant de 30.000 à 60.000 euros. Ils devront être concrets, directement réalisables et promouvoir l’accès, les compétences et l’utilisation des services en ligne. Ces projets s’adresseront aux publics les plus éloignés du numérique qui ne fréquentent ni les espaces numériques ni les structures qui proposent un accès et des formations aux outils digitaux.

Les dossiers de candidature doivent impérativement être introduits auprès de Paradigm pour le 28 août 2023 au plus tard.

Certains Bruxellois sont confrontés quotidiennement à des difficultés d'utilisation des services en ligne.

En Région bruxelloise, 40% de la population, soit plus de 300.000 Bruxellois.es entre 16 et 74 ans, est en situation de vulnérabilité numérique. L’inclusion numérique est un enjeu sociétal transversal qui doit être pris en considération à tous les niveaux de pouvoir et à tous les cycles de la vie d’un citoyen. Un enjeu dont a pris conscience la Région bruxelloise. En 2021, Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de la Transition numérique, lançait le premier Plan d’Appropriation Numérique du royaume.

« C’est une question de solidarité numérique »

« C’est un mur qui est en train de s’installer entre les personnes qui maitrisent le numérique et les autres. Il existe donc une faille où s’enfoncent celles et ceux qui ne bénéficient pas de compétences numériques. Cet appel à projets doit pallier cela et rendre le numérique accessible à tous pour contribuer à une meilleure intégration sociale et économique. C’est une question de solidarité numérique », commente Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de la Transition numérique.

Dans le cadre du plan d’appropriation numérique

« Cette seconde édition de l’appel à projets ‘Digital Brussels’, inscrit dans le Plan d’Appropriation Numérique et financé par la Région bruxelloise, a pour objectif de réduire les inégalités numériques persistantes parmi les citoyens bruxellois. Il permet de soutenir des projets qui visent à améliorer les compétences numériques des Bruxellois, en misant sur l’accessibilité de l’outil numérique, la formation dès le plus jeune âge et l’accompagnement de la société vers une transformation numérique accessible pour tous », ajoute Nicolas Locoge, Directeur général de Paradigm.

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300.000 euros pour améliorer les compétences numériques des Bruxellois

Communiqué de presse

Régler ses factures, inscrire ses enfants à l’école, prendre rendez-vous chez le médecin… sont autant d’actions qui, pour beaucoup, ne sont pas si banales. Certains Bruxellois sont confrontés quotidiennement à des difficultés d'utilisation des outils numériques. C’est pourquoi, la Région bruxelloise, à travers Paradigm, lance un nouvel appel à projets doté d’un budget de 300.00 euros.

En Région bruxelloise, 40% de la population, soit plus de 300.000 Bruxellois.es entre 16 et 74 ans, sont en situation de vulnérabilité numérique. L’inclusion numérique est un enjeu sociétal transversal qui doit être pris en considération à tous les niveaux de pouvoir et à tous les cycles de la vie d’un citoyen. Un enjeu dont a pris conscience la Région bruxelloise. En 2021, Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de la Transition numérique, lançait le premier Plan d’Appropriation Numérique du royaume.

Aujourd’hui, pour améliorer les compétences numériques des Bruxellois, Paradigm, sous l’impulsion du ministre de la Transition numérique, Bernard Clerfayt, lance un nouvel appel à projets « Digital.Brussels ».

Les projets sélectionnés bénéficieront d’un soutien financier allant de 30.000 à 60.000 euros. Ils devront être concrets, directement réalisables et promouvoir l’accès, les compétences et l’utilisation des outils numériques. Ces projets s’adresseront aux publics les plus éloignés du numérique qui ne fréquentent ni les espaces numériques ni les structures qui proposent un accès et des formations aux outils digitaux.

« C’est un mur qui est en train de s’installer entre les personnes qui maitrisent le numérique et les autres. Il existe donc une faille où s’enfoncent celles et ceux qui ne bénéficient pas de compétences numériques. Cet appel à projets doit pallier cela et rendre le numérique accessible à tous pour contribuer à une meilleure intégration sociale et économique. C’est une question de solidarité numérique », commente Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de la Transition numérique.

« Cette seconde édition de l’appel à projets ‘Digital Brussels’, inscrit dans le Plan d’Appropriation Numérique et financé par la Région bruxelloise, a pour objectif de réduire les inégalités numériques persistantes parmi les citoyens bruxellois. Il permet de soutenir des projets qui visent à améliorer les compétences numériques des Bruxellois, en misant sur l’accessibilité de l’outil numérique, la formation dès le plus jeune âge et l’accompagnement de la société vers une transformation numérique accessible pour tous », ajoute Nicolas Locoge, Directeur général de Paradigm.

Les dossiers de candidature doivent impérativement être introduits auprès de Paradigm pour le 28 août 2023 au plus tard.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

En route vers l’administration du futur avec « Bruxelles Numérique »

Actualité
Bruxelles numérique, pour des services publics inclusifs et accessibles.

L’avant-projet d’ordonnance « Bruxelles Numérique » est approuvé par le gouvernement. Ce projet d’envergure vise à encadrer le développement des services publics bruxellois en ligne. L’objectif ? Permettre aux Bruxellois qui le souhaitent, d’effectuer leurs démarches administratives en ligne et garantir l’accès des services publics à tous. 

Encadrer l’essor du numérique au bénéfice des Bruxellois

« Bruxelles Numérique » est le premier texte belge qui va réglementer l’essor du numérique en garantissant aux citoyens des services publics plus inclusifs et accessibles. 

« J’estime qu’en 2023, les Bruxellois doivent pouvoir jouir d’une administration accessible en ligne 24/24 et 7/7. Avec Bruxelles Numérique, je veux faciliter la vie des citoyens », commente Bernard Clerfayt.

Selon le baromètre de la Fondation Roi Baudouin, les Bruxellois sont les plus grands utilisateurs du numérique. Il faut dire que les avantages sont nombreux : gain de temps, rapidité de traitement, sécurité, réduction des déplacements… Et surtout une administration accessible 24/7.

Nouveaux droits pour les usagers

Pour accompagner au mieux le développement numérique des institutions publiques bruxelloises, l’ordonnance « Bruxelles numérique » prévoit de créer des nouveaux droits au bénéfice de tout usager :

  • le droit pour tout usager à l’universalité des accès à ses démarches administratives en ligne ;
  • le droit pour tout usager de se voir proposer un accompagnement par les administrations pour la réalisation de ses démarches en ligne ;
  • le droit d’interagir avec un agent de l’autorité publique pour réaliser ses démarches administratives, a minima par un accueil physique et/ou un service téléphonique et un contact par voie postale ; 
  • le droit pour les personnes porteuses de handicap que les démarches administratives disponibles en ligne utilisent les technologies les rendant plus accessibles. 

Une transition inclusive 

Nous ne sommes pas tous égaux face au numérique. « Bruxelles Numérique » intègre donc deux principes : l’inclusion et l’accessibilité.

« Il n’est pas question de supprimer les guichets physiques. Cette numérisation doit se faire de façon intelligente, d’où la mise en place d’une stratégie d’accompagnement réglementée. Nous avons souhaité inclure toutes les parties, c’est pourquoi notre texte a fait l’objet d’une consultation très large qui a permis de faire évoluer notre projet », précise Bernard Clerfayt.

Pour ceux qui le souhaitent, l’ordonnance prévoit le droit d'interagir avec un agent de l’autorité publique, a minima par un accueil physique et/ou un service téléphonique et un contact par voie postale.

« Bruxelles Numérique » résulte d’une large consultation

Unia, Brupartners, Brulocalis, le Conseil bruxellois des personnes handicapées, … Une large consultation a eu lieu sur le texte de “Bruxelles Numérique”. Au total, onze organisations ont été consultées et leurs recommandations ont été majoritairement intégrées dans le projet de texte afin de répondre au mieux à tous les avis. 

Un délai de 5 ans

En pratique, les institutions publiques devront rendre disponible en ligne toute nouvelle démarche administrative. Elles disposeront d’un délai de 5 ans pour rendre conformes les démarches existantes.

Le projet d’ordonnance est actuellement entre les mains du Conseil d’État qui a 30 jours pour émettre un avis.

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En route vers l’administration du futur avec « Bruxelles Numérique »

Communiqué de presse

Sur proposition du Ministre bruxellois de la Transition numérique, Bernard Clerfayt, le Gouvernement a approuvé en deuxième lecture l’avant-projet d’ordonnance « Bruxelles Numérique ». Ce projet d’envergure vise à encadrer le développement numérique au sein des services publics bruxellois. L’objectif ? Permettre aux Bruxellois qui le souhaitent, d’effectuer leurs démarches administratives en ligne et de garantir l’accès des services publics à tous. 

Les derniers chiffres du baromètre de la Fondation Roi Baudouin révèlent que les Bruxellois sont les plus grands utilisateurs du numérique. Il faut dire que les avantages sont nombreux : gain de temps, rapidité de traitement, sécurité, réduction des déplacements… Et surtout une administration accessible 24/7.

On constate que si le numérique s’installe au sein des services publics bruxellois, il le fait parfois de manière peu coordonnée (une démarche est disponible dans une administration mais pas dans une autre). Pire encore, certaines démarches, si elles répondent au besoin des services publics, restent incompréhensibles pour les usagers (termes peu adaptés, interface compliquée, etc.)

Face à ce constat, le Ministre bruxellois de la Transition numérique, Bernard Clerfayt, a décidé de cadrer l’expansion du numérique en rendant toutes les démarches disponibles en ligne et en s'assurant que celles-ci soient accessibles à tous. 

« Bruxelles Numérique » est le premier texte belge qui va réglementer l’essor du numérique en garantissant aux citoyens des services publics plus inclusifs et accessibles. 

« J’estime qu’en 2023, les Bruxellois doivent pouvoir jouir d’une administration accessible en ligne 24/24 et 7/7. Avec Bruxelles Numérique, je veux faciliter la vie des citoyens », commente Bernard Clerfayt. 

Pour accompagner au mieux le développement numérique des institutions publiques bruxelloises, l’ordonnance prévoit de créer des nouveaux droits au bénéfice de tout usager :

  • le droit pour tout usager  à l’universalité des accès à ses démarches administratives en ligne,
  • le droit pour tout usager  de se voir proposer un accompagnement par les administrations pour la réalisation de ses démarches en ligne ;
  • le droit d’interagir avec un agent de l’autorité publique pour réaliser ses démarches administratives, a minima par un accueil physique et/ou un service téléphonique et un contact par voie postale ; 
  • le droit pour les personnes porteuses de handicap que les démarches administratives disponibles en ligne utilisent les technologies les rendant plus accessibles. 

Une transition inclusive 

C’est incontestable, nous ne sommes pas tous égaux face au numérique. C’est pourquoi, « Bruxelles Numérique » intègre deux principes fondamentaux qui viennent cadrer l’utilisation du numérique : l’inclusion et l’accessibilité.

À cet effet, l’ordonnance prévoit donc que pour ceux qui le souhaitent, ils aient le droit d’exiger d'interagir avec un agent de l’autorité publique, a minima par un accueil physique et/ou un service téléphonique et un contact par voie postale.

« Il n’est pas question de supprimer les guichets physiques. Cette numérisation doit se faire de façon intelligente, d’où la mise en place d’une stratégie d’accompagnement réglementée. Nous avons souhaité inclure toutes les parties, c’est pourquoi notre texte a fait l’objet d’une consultation très large qui a permis de faire évoluer notre projet », précise Bernard Clerfayt. 

Unia, Brupartners, Brulocalis, le Conseil bruxellois des personnes handicapées, … Une large consultation a eu lieu sur le texte de “Bruxelles Numérique”. Au total, onze organisations ont été consultées et leurs recommandations ont été majoritairement intégrées dans le projet de texte afin de répondre au mieux à tous les avis. 

En pratique, les institutions publiques devront rendre disponible en ligne toute nouvelle démarche administrative. Elles disposeront d’un délai de 5 ans pour rendre conformes les démarches existantes.

Le projet d’ordonnance est actuellement entre les mains du Conseil d’Etat qui a 30 jours pour émettre un avis.   

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

Sécurisation des EPN

Extrait de presse
Extrait de presse, la DH : "Proximus Ada et Paradigm s'engagent pour des espaces publics numériques plus sûrs".

Extraits de l'article publié par la DH :

(Belga) Proximus Ada et l'opérateur régional de la transition digitale et des innovations technologiques Paradigm ont signé mercredi une convention-cadre afin d'offrir un environnement numérique plus sûr aux Bruxellois. […]

[…] La signature a eu lieu en présence du ministre bruxellois chargé de la Transition numérique Bernard Clerfayt (DéFI). La question de la sécurité des pratiques est selon lui essentielle. "On doit constamment penser à sécuriser notre environnement numérique", explique-t-il. D'autant plus que celui-ci, prend de plus en plus le pas sur nos vies. "Les réflexes de cybersécurité vont faire partie du monde de demain", conclut le ministre. (Belga)

Espaces publics numériques (EPN)

Extrait de presse
Extrait de presse, rtbf : "Proximus va aider la Région bruxelloise à sécuriser ses Espaces Publics Numériques".

Extraits de l'article publié par BX1

Pour lutter contre la fracture numérique, la Région bruxelloise a mis sur pied un certain nombre d'EPN, des espaces publics numériques, accessibles au public comme leur nom l'indique. Ces EPN sont évidemment vulnérables en cas de cyber-attaque, d'où l'initiative conjointe de Proximus, via sa filiale ADA spécialisée dans la cyber-sécurité et l'intelligence artificielle, et de Paradigm (anciennement Centre Informatique de la Région bruxelloise) pour faciliter leur sécurisation.

[…] les collaborateurs de Proximus mettront gratuitement leur expertise au service des EPN bruxellois, comme le précise le communiqué de l'entreprise: "Le projet " Secure Public Digital Spaces

[…] La convention-cadre de collaboration entre Proximus et la région sera signée ce mercredi par le CEO du groupe, Guillaume Boutin, et le Ministre régional en charge de l'Informatique, Bernard Clerfayt.

Lire cet article complet sur le site de BX1