Journée mondiale des animaux : ensemble avec l’Union Saint-Gilloise

Actualité
Pour combattre ce phénomène, le Ministre bruxellois du Bien-être animal s’est dernièrement associé au club de football de l’Union Saint-Gilloise, afin de mettre en place une campagne de lutte contre l'abandon des animaux. Le but ? Rappeler que les animaux ne sont pas des produits dont on se débarrasse quand on le souhaite.

Lutter contre l’abandon, c’est l’objectif de la dernière campagne menée par le Ministre Bernard Clerfayt, avec le club de football de l’Union Saint-Gilloise. Aujourd’hui nous célébrons la journée mondiale des animaux, le Ministre veut sensibiliser chacun à l’engagement pris vis-à-vis de l’animal adopté.

« Les animaux méritent qu’on prenne soin d’eux. Décider d’adopter un chien ou un chat, c’est prendre un engagement. Alors, ce 4 octobre, célébrons nos compagnons qui, eux, ne dérogent jamais à leur unique devoir : nous rendre heureux », déclare le Ministre bruxellois du Bien-être Animal.

Les animaux ne sont pas des produits

Alors que les ménages sont touchés de plein fouet par l’augmentation du coût de la vie, les animaux sont, eux aussi, victimes de cette crise. Pour certains, la solution est d’abandonner leur compagnon en rompant l’engagement auquel ils s’étaient tenus lors de l’adoption.

Pour combattre ce phénomène, le Ministre bruxellois du Bien-être animal s’est dernièrement associé au club de football de l’Union Saint-Gilloise, afin de mettre en place une campagne de lutte contre l'abandon des animaux. Le but ? Rappeler que les animaux ne sont pas des produits dont on se débarrasse quand on le souhaite.

Les acteurs de terrain font, eux aussi, partie du projet puisque la SRPA Veeweyde, Help Animals et la Croix Bleue participent activement à la campagne. Dernièrement, les joueurs se sont d’ailleurs rendus dans les différents refuges, afin de rencontrer les pensionnaires et les aider à trouver une famille.

Il y a peu, les chiens ont également été conviés à un shooting photos avec leur joueur préféré. Ces moments de partage ont été immortalisés sur des cartes de format panini comprenant toutes les informations utiles pour faciliter l’adoption. On peut retrouver ces dernières dans les refuges participants ainsi qu’à l’Union Saint-Gilloise.

Journée mondiale des animaux : «Adopter un animal, c’est prendre un engagement»

Communiqué de presse

Ce 4 octobre, nous célébrons la journée mondiale des animaux. L’occasion de sensibiliser davantage les Bruxellois à la lutte contre l’abandon d’animaux. C’est d’ailleurs le but de la dernière campagne menée par le Ministre bruxellois du Bien-être animal, Bernard Clerfayt en association avec le club de football de l’Union Saint-Gilloise.  

Alors que les ménages sont touchés de plein fouet par l’augmentation du coût de la vie, les animaux sont, eux aussi, victimes de cette crise. Pour certains, la solution est d’abandonner leur compagnon en rompant l’engagement auquel ils s’étaient tenus lors de l’adoption.

Pour combattre ce phénomène, le Ministre bruxellois du Bien-être animal s’est dernièrement associé au club de football de l’Union Saint-Gilloise, afin de mettre en place une campagne de lutte contre l'abandon des animaux. Le but ? Rappeler que les animaux ne sont pas des produits dont on se débarrasse quand on le souhaite.

Les acteurs de terrain font, eux aussi, partie du projet puisque la SRPA Veeweyde, Help Animals et la Croix Bleue participent activement à la campagne. Dernièrement, les joueurs se sont d’ailleurs rendus dans les différents refuges, afin de rencontrer les pensionnaires et les aider à trouver une famille.

Il y a peu, les chiens ont également été conviés à un shooting photos avec leur joueur préféré. Ces moments de partage ont été immortalisés sur des cartes de format panini comprenant toutes les informations utiles pour faciliter l’adoption. On peut retrouver ces dernières dans les refuges participants ainsi qu’à l’Union Saint-Gilloise.

« Les animaux méritent qu’on prenne soin d’eux. Décider d’adopter un chien ou un chat, c’est prendre un engagement. Alors, ce 4 octobre, célébrons nos compagnons qui, eux, ne dérogent jamais à leur unique devoir : nous rendre heureux », déclare Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du Bien-être Animal.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – 0485 89 47 45

Bernard Clerfayt invité de l’émission «+d’actu» sur BX1

Extrait de presse
Le Ministre de la Région de Bruxelles Capitale Bernard Clerfayt était l'invité de l'émission +d'actu sur BX1

Nous rapportons ci-dessous quelques extraits de l’intervention du Ministre sur le plateau de BX1 dans le cadre de l’émission +d’actu du 16 septembre 2022. L’interview complète est disponible sur le site de BX1.

Maîtriser notre consommation énergétique

La crise énergétique est insupportable pour tout le monde et plus spécialement pour les ménages précarisés. Il est essentiel de trouver des solutions pour gérer le prix de l’électricité, le prix du gaz. Je plaide pour qu’il y ait un chèque énergie. […]

L’enjeu c’est donc la charge énergétique. Pour le locataire précaire, ce qui est important […] c’est de ramener la facture énergétique à des niveaux normaux. Il faut que les propriétaires soient encouragés à faire des travaux économiseurs d’énergie pour que, le plus vite possible, la facture diminue. […] Sanctionner un propriétaire en bloquant l’indexation des loyers sans qu’il y ait de possibilité de faire des travaux économiseurs d’énergie, cela ne sert à rien. Si en bloquant les loyers on réduit l’offre de logements, ce sont les locataires précarisés qui payeront plus cher.

Good Move

Nous souscrivons à la philosophie. Une ville plus accueillante et plus apaisée, c’est bon pour le commerce. Les villes qui sont allées dans ce sens ont réussi à redynamiser la vie économique et sociale. Cela ne veut pas dire que dans la mise en œuvre à tel ou tel endroit il n’y ait pas parfois des erreurs. Il faut aussi un certain temps pour que tout le monde s’habitue. Mon expérience de bourgmestre me fait dire qu’il faut plusieurs mois avant de tirer des conclusions. […] Le principe du plan est de protéger les quartiers du trafic de transit. […] Il est possible cependant, avec les technologies disponibles aujourd’hui, de mettre en place des systèmes intelligents qui tiennent compte des besoins spécifiques des habitants. Cette option est sur la table à Schaerbeek.

Taux d’emploi

Bruxelles est aujourd’hui à 66% de taux d’emploi, pas 62%. Arrêtons de dire du mal quand les choses vont bien, surtout quand les choses vont mieux à Bruxelles qu’ailleurs. En 2019 le taux d’emploi était de 60% à Bruxelles. À Bruxelles on progresse de 60 à 66% quand les Wallons passent de 65 à 66% et le Flamands de 74 à 75%. Je ne me contente pas de cela. […] Nous voulons imposer un bilan de compétences. […] Aux chômeurs de longue durée, on va imposer une formation. […] Ils devront montrer que dans le cadre de leur recherche active d’emploi, ils se forment pour améliorer leur CV. […] C’est le chercheur d’emploi qui choisit sa formation, pas d’obligation de se former aux métiers en pénurie. On ne peut forcer un chercheur d’emploi à se former à un métier qu’il n’a pas envie d’exercer, cela ne sert à rien. […]

Identification et stérilisation des chats

J’impose l’identification de tous les chats. Parce que les chats qui deviennent chats errants cela pose de graves problèmes dans les quartiers. […] Je rappelle aussi que tous les chats doivent être stérilisés. Nous imposons aussi aux refuges de ne plus remettre un chat à un propriétaire s’il n’a pas été stérilisé. Si un chaton n’a plus de mère, il peut être adopté après 8 semaines, de cette manière il peut sortir du refuge.

Renforcement de la stérilisation des chats en Région de Bruxelles-Capitale

Extrait de presse
Extrait de presse, La Dernière Heure : "Tous les chats identifiés pour 2023"

Extraits de l'article paru dans La Dernière Heure

L’obligation de stérilisation pour tous les chats de plus de 6 mois, mise en place en 2018, ne suffit pas. Le ministre bruxellois chargé du Bien-être animal, Bernard Clerfayt (Défi), impulse trois nouvelles mesures pour réguler la population des chats.

[…] Aujourd’hui, une partie des chats âgés de plus de 7 ans n’est pas identifiée. En effet, l’obligation d’identification s’applique seulement aux chats nés, donnés ou vendus après 2017. À partir de janvier 2023, tous les chats qui résident en région bruxelloise, peu importe leur date de naissance, devront être pucés.

[…] “En fonction des informations reçues, des agents de Bruxelles Environnement procèdent à une visite chez le responsable et selon les constatations réalisées, un avertissement peut être établi et envoyé au responsable lui laissant un délai pour remédier aux non-conformités,” nous explique Bruxelles Environnement.
L’agence “privilégie toujours la prévention et essaye d’informer et d’inciter le contrevenant avant d’établir un procès-verbal”. Toutefois, en cas de PV, le parquet peut se saisir de l’affaire ou pas. Dans le premier cas, le propriétaire s’expose à une peine allant de 8 jours à 2 ans d’emprisonnement avec une amende de 50 à 100.000 euros. Dans le second cas, Bruxelles Environnement peut infliger une amende administrative allant de 50 euros à 62 500 euros.

Accueil temporaire des animaux de compagnie des réfugiés ukrainiens

Actualité
Jeune femme avec son chien - Les réfugiés ukrainiens qui peinent à trouver un logement avec leur animal de compagnie peuvent trouver une solution d'hébergement temporaire et utiliser la convention d'accueil temporaire.

Les réfugiés ukrainiens arrivés chez nous avec des animaux de compagnie peinent à trouver un logement. La présence d’animaux peut paraître plus contraignante pour les particuliers, et les centres d’accueil peuvent difficilement faire face aux besoins supplémentaires liés à la présence d’animaux. Favoriser une solution temporaire pour leurs animaux peut donc faciliter leur accès à un logement.

Accueil par les refuges et les particuliers

Les refuges bruxellois qui le peuvent tentent de répondre aux demandes des réfugiés. Les Bruxellois peuvent eux aussi aider les réfugiés ukrainiens en accueillant temporairement un animal de compagnie. Rappelons cependant que même si l’accueil est provisoire, cela exige du temps et de l’attention, de même qu’un logement adapté.

Une convention pour rassurer le maître et l’accueillant

Il manquait un cadre qui soit rassurant. C’est pourquoi le Ministre du Bien-être animal Bernard Clerfayt a suggéré la mise à disposition d’une convention d'accueil temporaire pour les animaux de compagnie. Celle-ci aidera les réfugiés ukrainiens arrivés chez nous avec un animal à trouver une solution. Elle est envoyée à tous les refuges bruxellois et à toutes les communes. Cette convention est un document de base qui peut être adapté. Elle est bilingue (FR/UK et NL/UK).

Mesures pour renforcer la stérilisation des chats en Région de Bruxelles-Capitale

Actualité
La stérilisation des chats est la solution pour éviter le pire, de trop nombreux chats errants qui courent de grands dangers dans la ville.

Malgré l’obligation de stérilisation de 2018, la surpopulation féline pose toujours problème en Région bruxelloise. Face à ce constat, Bernard Clerfayt, ministre bruxellois du Bien-être animal, a décidé de renforcer sa politique de stérilisation des chats pour une meilleure gestion de la population des chats.

Le Ministre du bien-être animal, Bernard Clerfayt, renforce la politique de stérilisation des chats :

  1. Tout chat transitant par un refuge devra désormais être stérilisé avant d’être remis à son propriétaire.
  2. Tous les chats résidant en Région bruxelloise devront être identifiés. Actuellement, l’obligation d’identification ne concerne que les chats nés après le 1er novembre 2017 ou les chats donnés et vendus après cette date. Cette mesure facilitera donc le contrôle de l’obligation de stérilisation.
  3. Il sera désormais possible, pour les refuges, de mettre à l’adoption des chatons « orphelins » (arrivés au refuge sans leur mère, dont la mère est décédée ou qui doivent être séparés de leur mère) à partir de 8 semaines, contre 13 semaines précédemment. Cela permettra notamment de libérer plus rapidement une place dans les refuges.

3600 chats accueillis dans les refuges

Le nombre de chats qui peuplent les rues de Bruxelles ne semble pas diminuer avec le temps. Ce phénomène est tel que depuis longtemps le chat est l’espèce la plus présente dans les refuges bruxellois. En 2021, ceux-ci ont accueilli 3.600 chats et 850 chiens. Faute de places, ils n’ont parfois d’autre choix que de recourir à l’euthanasie.

C’est pour endiguer ce phénomène que la stérilisation des chats a été rendue obligatoire en 2018, en Région bruxelloise, pour tous les chats dès l’âge de 6 mois. Néanmoins, la situation reste problématique. Ainsi, seul 1 chat sur 5 arrivant dans les refuges est stérilisé.

Généraliser la stérilisation des chats pour éviter le pire

« Face à la prolifération des chats, il n’y a qu’une seule solution : la stérilisation. En renforçant et complétant les mesures actuelles, je veux assurer une meilleure gestion de la population des chats. Car actuellement, ce sont eux les premières victimes de cette surpopulation. Ils naissent dans la nature ou sont abandonnés et deviennent bien souvent des chats errants qui, dans le pire des cas, doivent être euthanasiés ou, au mieux, subir les désagréments d’une vie d’errance (maladie, bagarre, famine, etc.) », détaille Bernard Clerfayt.

A noter que ces mesures ont été adoptées par le Gouvernement en première lecture. Le projet de texte doit encore passer la rampe du Conseil d’Etat avant son adoption définitive.

Face à la prolifération des chats, Bruxelles renforce sa politique de stérilisation

Communiqué de presse

Malgré l’obligation de stérilisation de 2018, la surpopulation féline pose toujours problème en Région bruxelloise. Face à ce constat, Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois du Bien-être animal, a décidé de renforcer sa politique de stérilisation dans le but d’assurer une meilleure gestion de la population des chats.

Le nombre de chats qui peuplent les rues de Bruxelles ne semble pas diminuer avec le temps. Ce phénomène est tel que depuis longtemps le chat est l’espèce la plus présente dans les refuges bruxellois. En 2021, ceux-ci ont accueilli 3.600 chats et 850 chiens. Faute de places, ils n’ont parfois d’autre choix que de recourir à l’euthanasie.

C’est pour endiguer ce phénomène que la stérilisation a été rendue obligatoire en 2018, en Région bruxelloise, pour tous les chats dès l’âge de 6 mois. Néanmoins, la situation reste problématique. Ainsi, seuls 1 chat sur 5 arrivant dans les refuges est stérilisé.

Pour lutter contre la prolifération des chats, le Ministre du bien-être animal, Bernard Clerfayt, renforce la politique de stérilisation des chats :

1. Tout chat transitant par un refuge devra désormais être stérilisé avant d’être remis à son propriétaire.

2. Tous les chats résidant en Région bruxelloise devront être identifiés. Actuellement, l’obligation d’identification ne concerne que les chats nés après le 1er novembre 2017 ou les chats donnés et vendus après cette date. Cette mesure facilitera donc le contrôle de l’obligation de stérilisation.

3. Il sera désormais possible, pour les refuges, de mettre à l’adoption des chatons « orphelins » (arrivés au refuge sans leur mère, dont la mère est décédée ou qui doivent être séparés de leur mère) à partir de 8 semaines, contre 13 semaine précédemment. Cela permettra notamment de libérer plus rapidement une place dans les refuges.

« Face à la prolifération des chats, il n’y a qu’une seule solution : la stérilisation. En renforçant et complétant les mesures actuelles, je veux assurer une meilleure gestion de la population des chats. Car actuellement, ce sont eux les premières victimes de cette surpopulation. Ils naissent dans la nature ou sont abandonnés et deviennent bien souvent des chats errants qui, dans le pire des cas, doivent être euthanasiés ou, au mieux, subir les désagréments d’une vie d’errance (maladie, bagarre, famine, etc.) », détaille Bernard Clerfayt.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – 0485 89 47 45