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Pour ses 10 ans, FixMyStreet dépasse les 400.000 incidents signalés

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FixMyStreet, un moyen rapide et facile de signaler un problème constaté en rue

Dépôt clandestin, tags, véhicule abandonné, trottoir endommagé… Malheureusement, les dégradations de l’espace public sont nombreuses. Une solution simple pour que le problème soit rapidement signalé et traité : FixMyStreet. Après 10 ans d’existence, la plateforme s’est imposée auprès des Bruxellois désireux d’améliorer la vie en ville !

Il suffit de partager une photo

Développé et géré par Paradigm (opérateur informatique de la Région bruxelloise), FixMyStreet permet aux Bruxellois de signaler rapidement des incidents qui ont lieu dans l’espace public. La démarche est simple : il suffit de prendre une photo de l’incident et de la partager via le site web ou l’application mobile.

Depuis 10 ans, la plateforme a séduit de nombreux utilisateurs

« Problème d’éclairage public avenue de la Reine à Schaerbeek », voici le tout premier incident signalé par un citoyen sur FixMyStreet en mars 2013. En 10 ans, 435.440 autres signalements ont été encodés sur la plateforme dont 247.612 par des citoyens et 199.305 par des professionnels (agents de quartier, gardiens de la paix, etc.). Certains incidents pouvant être signalés par plusieurs utilisateurs.

Le nombre de signalements effectués sur FixMyStreet est d’ailleurs en croissance constante depuis 2013. Si on comptait à peine 6.997 incidents encodés en 2013, ce chiffre grimpe à 97.123 pour l’année 2022, soit une augmentation de 28% par rapport à 2021.

« Je me réjouis que FixMyStreet soit un véritable succès de foule. Celui-ci est assez logique : simplicité, rapidité, suivi… les avantages sont nombreux. FixMystreet est le parfait exemple de ce que la technologie peut apporter pour améliorer le quotidien des Bruxellois », commente Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de la Transition numérique.

D’abord la propreté

Sans surprise, ce sont les incidents liés à la propreté publique qui tiennent le haut du panier et sont les plus nombreux à être recensés : 51.534 en 2022 et 222.405 en 10 ans. Ils sont suivis par ceux liés à la voirie, 16.293 en 2022 et 93.715 sur 10 ans.

Par ailleurs, si lors de son lancement, seul 1% des signalements était effectué via l’application. Aujourd’hui, 8 signalements sur 10 sont réalisés sur l’app.

FixMyStreet s’améliore encore

Dans un souci d’amélioration continue, FixMyStreet connaîtra pour ses 10 ans quelques évolutions. Les citoyens pourront retrouver un historique de tous les signalements effectués. De quoi leur permettre de les mettre à jour, de les renforcer ou tout simplement de les partager. Il sera également possible de voir en temps réel, grâce à une carte, les incidents signalés à proximité afin d’éviter les doublons.

La carrière des Bruxellois sous la loupe

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Mieux connaitre les mécanismes qui favorisent l'accès à l'emploi

L’Institut de recherche sur le travail et la société – HIVA et la KU Leuven ont passé sous la loupe la carrière des Bruxellois. Situations familiales, proportion des personnes à l’emploi dans les ménages, etc., autant de données analysées pour mieux connaître les mécanismes qui favorisent l’accès à l’emploi et ceux qui y font obstacle.

Un point d’attention concerne les familles monoparentales, avec pour la première fois des données détaillées.

Les actifs recrutés conservent plus longtemps leur emploi

D’abord, il apparaît que les Bruxellois recrutés qui étaient auparavant au chômage sont les plus nombreux à accéder à des emplois plus précaires. Et inversement, les transitions d’un emploi à l’autre conduisent à plus d’emplois à long terme et à temps plein. 74% de ces derniers sont toujours à l’emploi trois ans plus tard.

Miser sur la formation peut changer la donne

« Ce n’est pas neuf : plus on est éloigné du marché du travail, moins on a de chance de décrocher un emploi. Cette nouvelle étude le confirme. Mais surtout elle me conforte dans la voie choisie pour permettre à plus de Bruxellois de décrocher un emploi : miser encore plus sur la formation ! Et c’est grâce au bilan de compétences linguistiques, numériques et professionnelles complété d’un parcours de formation que les chercheurs d’emploi bruxellois pourront se profiler sur le marché de l’emploi et être rapidement embauchés » rappelle Bernard Clerfayt, ministre bruxellois de l'Emploi et de la Formation Professionnelle.

Familles monoparentales : constats révélateurs

Seuls 20% des parents d’enfants de moins de 12 ans et isolés, ont travaillé continument durant les deux années qui précédent leur recrutement. De plus, les emplois auxquels ils accèdent sont souvent de courte durée (moins de 3 mois). On constate aussi une plus forte probabilité pour ces derniers d’être à nouveau chercheurs d’emploi endéans les trois ans.

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Stérilisation et identification des chats

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Réglementation renforcée pour la stérilisation des chats

En Région de Bruxelles-Capitale, trois mesures viennent renforcer la réglementation pour la stérilisation et l’identification des chats : tous les chats doivent être identifiés, les refuges doivent faire stériliser le chat avant de le restituer à son maître et les chatons orphelins pourront être adoptés dès 8 semaines.

Bernard Clerfayt, ministre du Bien-être animal est à l’initiative de ces nouvelles mesures : « […] Dorénavant, il n’y aura plus de distinction pour les animaux nés avant le 1er novembre 2017, puisque tous les chats du territoire devront être identifiés. La stérilisation ayant été généralisée en 2018, il apparaissait par ailleurs curieux de pouvoir restituer des chats non stérilisés à leur maître. Les refuges disposent à présent d’une mesure permettant de faire appliquer directement la loi sans devoir effectuer un signalement auprès des services d’inspection ».

Éviter les destins malheureux

C’est un fait, les chats se reproduisent très rapidement. Une réalité qui mène à de nombreux abandons, errance et euthanasies, faute de place dans les refuges. Pour éviter ces destins malheureux, la Région bruxelloise a généralisé l’obligation de stérilisation des chats et a imposé l’identification des chats nés après le 1er novembre 2017.

Des aides financières existent pourtant

Pour aider les propriétaires, la quasi-totalité des communes octroie des « chèques stérilisation » à leurs habitants. Cette initiative est promue et renforcée par la Région bruxelloise, grâce à une subvention permettant d’augmenter sensiblement l’enveloppe communale. Mais, force est de constater que ces initiatives ne suffisent pas, puisque seuls 18% des chats arrivant dans un refuge sont stérilisés.

Les mesures en détail

Ces trois mesures devront augmenter significativement le nombre de chats domestiques stérilisés, elles entreront en vigueur le 1er mars 2023 :

  1. Tout chat transitant par un refuge devra obligatoirement être stérilisé avant d’être remis à son propriétaire.
  2. Tous les chats qui résident en Région bruxelloise devront être identifiés (y compris ceux nés avant le 1er novembre 2017). Pour les chats nés avant le 1er novembre 2017 qui n’étaient pas visés par cette obligation, un délai est laissé au maître : son chat doit être identifié avant le 1er juin 2023.
  3. Les refuges pourront faire adopter les chatons orphelins de plus de 8 semaines (contre 13 semaines précédemment). Il s’agit de chatons dont la mère est décédée ou qui doivent être séparés de celle-ci pour des raisons de bien-être (agressivité, rejet, ou autre).

Accès à l’emploi des Ukrainiens : d’abord l’apprentissage de la langue

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Accès à l’emploi des Ukrainiens : d’abord l’apprentissage de la langue

En un an, 2600 chercheurs d’emploi ukrainiens se sont inscrits chez Actiris. Ce chiffre n’est pas représentatif de l’ensemble de la population ukrainienne en Région de Bruxelles-Capitale, l’inscription n’étant pas obligatoire.

Formations linguistiques d’abord

Faciliter la communication grâce à des accompagnateurs ou à des conseillers à l’emploi parlant la langue ukrainienne a été une première priorité. « Dès leur arrivée, nous avons mis en place une stratégie d’accompagnement afin de rendre notre service de l’emploi accessible en ukrainien et faciliter ainsi leur accès à l’emploi. L’amélioration de leurs compétences en langue reste la première des priorités » rappelle le Ministre de l’Emploi et de la Formation Bernard Clerfayt.

96% des formations suivies par les Ukrainiens sont des formations linguistiques, dont 82% de formation à la langue française.

L'emploi des Ukrainiens en hausse

Actuellement 13,8% des Ukrainiens inscrits chez Actiris ont trouvé un emploi. Ce taux d'emploi des Ukrainiens est en constante augmentation depuis mai 2022, il était alors de 5,3%. Les 3 secteurs dans lesquels ces personnes ont le plus trouvé un emploi sont l'interim, l'Horeca et le commerce de gros et de détail.

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Vous êtes invités aux rencontres «Les Futurs de Bruxelles»

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Consultation citoyenne "Les Futurs de Bruxelles"

Le Gouvernement bruxellois a chargé le Ministre des Pouvoirs Locaux, Bernard Clerfayt, d’organiser un grand processus de consultation : « Les Futurs de Bruxelles ». Objectif : consulter les bruxellois à propos du fonctionnement de leurs institutions à travers toutes les thématiques qui les concernent dans leur vie quotidienne.

Lors de la troisième phase, en mars et avril, des rencontres sont organisées pour débattre sur des thématiques et proposer des changements. Vous trouverez les dates dans le formulaire d’inscription.

Pour participer à une rencontre « Les Futurs de Bruxelles »

Inscrivez-vous via le formulaire en lien ci-dessous. Les rencontres « Les Futurs de Bruxelles » se dérouleront en des lieux accessibles en transports en commun. Les quartiers sont indiqués dans le formulaire. Vous ne pouvez vous inscrire qu'à une seule rencontre. 

Défi des Talents 2023

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L'événement Défi des Talents aura lieu ces 16 et 17 févirer

Ces 16 et 17 février, 14 écoles bruxelloises et leurs élèves de 2e et 3e secondaires vont participer à cette 4e édition du Défi Des Talents pour découvrir des métiers par la pratique de manière ludique. L'événement concerne les écoles participantes, les enseignants, guides ou partenaires,

Cette exploration des métiers a pour objectif d’aider chaque jeune à s'informer et à s'orienter, mais également de lui ouvrir les perspectives de formations et de carrières. Grâce aux différentes activités, les élèves auront aussi l’opportunité d’améliorer leur connaissance et estime de soi.

Expérimenter les métiers avec les professionnels

14 défis de 15 minutes vont être proposés tout au long de ces deux journées. Du boulanger à l’agent de voyage, en passant par les métiers de la construction et de nombreux autres secteurs, les élèves auront l’opportunité d’expérimenter des métiers de différents domaines en compagnie de professionnels.

Soutiens et autres initiatives

Pour cette 4e édition, le Défi Des Talents peut compter sur le soutien de plusieurs structures d’accompagnement. Inforjeunes Bruxelles AMO, AMO Rythmes, Promojeunes AMO et Dynamo AMO Forest vont avoir pour mission de guider et d'accompagner les jeunes tout au long du parcours pour faire de cet évènement un succès.

Ce projet, qui émane d’une initiative canadienne, continue de se développer en Belgique et s’organise également à Charleroi, Liège et Villers-le-Bouillet au printemps 2023.

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25 millions pour plus d’infrastructures sportives, plus accessibles

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Appel à projets 2023 pour plus d'infrastructures sportives, plus accessibles

Sur proposition du Ministre Bernard Clerfayt, la Région de Bruxelles-Capitale lance un nouvel appel à projets à destination des 19 communes, pour étendre et optimiser l’offre en infrastructures sportives. Les communes ont jusqu’au 10 septembre 2023 pour introduire leurs projets.

Accessibilité et répartition des installations

Un critère de sélection sera prédominant : l’investissement se situe dans l’un des quartiers moins bien dotés en infrastructures sportives.

Pour ce faire, les projets de construction, de rénovation, d'extension, de reconversion ou d'acquisition d’infrastructures sportives situés dans des quartiers moins bien dotés en infrastructures seront sélectionnés en priorité. Un quartier est considéré comme moins bien doté si, en comparaison avec les autres quartiers de la Région, il y a peu d’infrastructures sportives.

Deux autres critères viennent compléter le processus de sélection des projets :

  • L’infrastructure est d’intérêt supra-local ce qui permet de mutualiser les besoins. Les modalités d’organisation ont été concertées avec une ou plusieurs communes.
  • La commune s’engage à appliquer un tarif harmonisé pour tous les Bruxellois indépendamment de leur commune de résidence.

« Les projets répondant à divers indicateurs tels que l’amélioration de la performance énergétique des infrastructures, l’amélioration de l’accessibilité de ces infrastructures aux personnes porteuses d’un handicap ou encore l’élargissement des horaires d’ouverture – avant 8h et après 19h, pourront bénéficier d’une majoration de leur subside», précise le Ministre bruxellois.

Face à une demande croissante

Gymnastique, football, athlétisme mais aussi parkour, haltérophilie ou encore tai chi, Bruxelles offre de nombreuses possibilités pour pratiquer un sport.

Néanmoins, force est de constater que, face à la pression démographique, les infrastructures ne sont pas assez nombreuses pour répondre aux demandes et les clubs sportifs affichent souvent complet avant l’entame de la saison. Pourtant, pratiquer un sport est un enjeu important.  « Véritable vecteur de sociabilisation, de fédéralisation, d’éducation et de développement personnel, le sport participe à une bonne santé générale, stimule la confiance en soi et inculque des valeurs essentielles au vivre-ensemble. La pratique d’un sport doit devenir un droit », insiste Bernard Clerfayt.

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