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RCoop, la coopérative des métiers de la beauté

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Photo de soins esthétiques en onglerie, l'un des métiers de la beauté. Illustration de notre article à propos de RCoop, la coopérative des métiers de la beauté.

Pour aider ceux qui le souhaitent à se lancer à leur propre compte en toute sécurité, JobYourself a créé RCoop, la coopérative des métiers de la beauté (coiffure, esthétique, onglerie, etc). Situé au cœur de Matonge à Ixelles, sa mission est d’accompagner des professionnels du secteur en leur offrant un accompagnement complet : formation, suivi comptable, numéro de TVA, espaces de coworking, etc.

Accès à un emploi durable

Depuis sa création en 2018, RCoop a permis de régulariser une cinquantaine de travailleurs.

« Le travail que mène RCoop est essentiel. En leur offrant un accès à la profession et un accompagnement, la coopérative aide ces travailleurs à quitter l’illégalité et la précarité. Cette initiative rejoint totalement mon objectif : permettre à tous les Bruxellois d’accéder à un emploi durable », conclut le Ministre de l’Emploi Bernard Clerfayt qui soutient cette initiative.

Éviter le piège du travail au noir

Devenir indépendant, c’est aussi gérer un commerce. Pas toujours évident. Car quand on se lance dans une formation de coiffure ou d’esthétique, c’est avant tout parce qu’on est passionné par ces métiers. Dès lors, on n’est pas toujours préparé à franchir l’étape d’être son propre patron en toute légalité !  Et face à des charges qui peuvent paraître trop contraignantes, le piège du travail au noir n’est jamais loin.

« Entre fléau pour l’économie et moyen de survie pour d’autres, le travail non déclaré entraîne des conséquences néfastes pour les travailleurs qui perdent toutes les protections liées à la sécurité sociale. Exploitation, accidents non-couverts par une assurance ou risques pour la santé », explique le Ministre bruxellois de l’Emploi, Bernard Clerfayt.

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L’humusation interdite en Région bruxelloise

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L’humusation interdite en Région bruxelloise

À la suite d’une question en Commission des affaires Intérieures, Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois des Pouvoirs Locaux, a confirmé que l’humusation ne sera pas d’application en Région bruxelloise et qu’une réflexion est en cours pour développer d’autres méthodes d’éco-funérailles.

Les conclusions des scientifiques sont claires

Alors qu’en Belgique seulement deux modes de sépultures sont autorisés, l’inhumation et la crémation, certains militent pour la légalisation d’une autre pratique : l’humusation.

L’humusation est une forme de pratique funéraire. Le processus consiste à placer le corps au-dessus du niveau du sol, sur un lit de broyat et recouvert d’un matériau identique.

Intéressée par cette pratique en vue d’en faire un nouveau mode funéraire, la Région wallonne a commandité une étude scientifique à la faculté des bioingénieurs de l’UCL.

Et les conclusions sont claires démontrant l’inefficacité du processus. Non seulement les dépouilles ne se décomposent pas dans les délais prescrits mais en plus cette méthode risquerait d’entrainer une importante pollution des sols en nitrate et ammoniaque.

Des alternatives à l’étude

« La fiabilité du procédé était le prérequis avant tout processus législatif. L’étude de l’UCL démontre qu’il n’est aujourd’hui pas possible d’autoriser l’humusation en Région bruxelloise. Toutefois, les citoyens sont demandeurs d’alternatives plus vertes. C’est dans ce cadre qu’un groupe de travail interrégional étudie plusieurs méthodes alternatives à l’inhumation ou à la crémation et plus écologiques telles que l’aquamation», indique Bernard Clerfayt. 

Modernisation de la démocratie communale

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Participation citoyenne et démocratie, modernisation de la démocratie locale

Feu vert pour les deux projets d’ordonnances pour la modernisation de la démocratie communale portés par le Ministre bruxellois des Pouvoirs Locaux, Bernard Clerfayt ce mardi 16 janvier, en Commission Affaires intérieures. Au menu : des réformes touchant au fonctionnement du conseil communal, du collège des bourgmestres et échevins, au statut disciplinaire des mandataires locaux et à la participation citoyenne.

Deux ordonnances et toujours la même visée politique : moderniser la démocratie communale

« Publicité, sauvegarde du peuple ! » a rappelé Bernard Clerfayt aux députés bruxellois. Après avoir imposé le décumul intégral, diminué le nombre d’échevins ou encore clarifié la situation des mandataires locaux en congé maladie, le Ministre amarante a présenté les dernières pièces principales du puzzle destinées à remodeler l’institution communale.

Rôle renforcé du Conseil communal

Premier chantier : le remaniement des services affectés au collège des bourgmestres et échevins et au conseil communal. Dorénavant la composition, la rémunération, le statut et l’existence même du personnel de cabinet feront l’objet d’une décision du conseil communal au terme d’un débat démocratique. Le conseil sera aussi chargé de fixer des règles de déontologie et d’éthique, applicables également au collège des bourgmestres et échevins. Et si d’aventure un échevin ou un bourgmestre devait commettre une négligence grave ou une inconduite notoire, il serait jugé par le gouvernement de manière impartiale et rigoureuse, selon des principes fixés dans l’ordonnance.

« Les femmes et hommes politiques ne peuvent plus se comporter comme étant au-dessus des règles. Ils sont des élus du peuple et en ce sens ils doivent avoir un comportement exemplaire. C’est pourquoi, ma réforme prévoit aussi des règles relatives au statut disciplinaire des mandataires locaux », précise Bernard Clerfayt.

Obligation de publicité, condition du contrôle démocratique

Autre grand axe de cette modernisation de la vie locale : la transparence. La nouveauté ? L’élection des échevins se fera de manière publique. C’en est fini des votes secrets, l’électeur pourra désormais savoir qui, au sein du conseil communal, a élu tel ou tel échevin. Le citoyen pourra également exercer son contrôle démocratique et prendre connaissance en ligne des projets de décisions et notes explicatives avant chaque séance du conseil communal.

« Publicité, sauvegarde du peuple ! Il n’y a pas de bonne gouvernance sans transparence ! La commune est le niveau de pouvoir le plus proche des citoyens, puisque c’est le premier à être impacté par la politique locale. Il est donc normal que les citoyens soient davantage impliqués, c’est avant tout un enjeu démocratique », ajoute le Ministre amarante.

Communales 2024 : un site web pour tout savoir

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Communales 2024 : un site web pour tout savoir

Dans 9 mois, le 13 octobre 2024, près de 900.000 résidents bruxellois se rendront aux urnes pour élire leurs représentants communaux. Pour informer les citoyens à propos de ces élections communales, « Bruxelles Pouvoirs Locaux – BPL », l'administration bruxelloise qui assure l'interface entre la Région et les communes, lance un tout nouveau site web.

« elections.brussels », le guide des communales 2024

Pourquoi il est important de voter, comment se déroulera le vote en Région bruxelloise, le rôle des conseillers communaux, des échevins et des bourgmestres, comment se déroule une campagne électorale mais aussi des informations pratiques sur le vote par procuration, autant d’informations disponibles sur ce site.

«elections.brussels» ambitionne de devenir le point central pour tous ceux qui cherchent des informations sur les élections communales bruxelloises. C’est un peu le guide complet des élections. Offrir une information claire et transparente sur ces élections est indispensable pour garantir l’exercice de la démocratie », commente Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois des Pouvoirs Locaux.

Le site intègre également différents outils lui permettant d’être accessible aux personnes porteuses de handicap.

Les scrutins de 2024

2024 sera l’année d’un méga scrutin. Le 9 juin prochain, 8 millions de Belges se rendront dans l’isoloir pour élire leurs représentants régionaux, fédéraux et européens. Et quatre mois plus tard, ils devront voter pour leurs conseillers communaux.

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Stabilité pour les titres-services en Région de Bruxelles-Capitale

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Les titres-services séduisent toujours autant les Bruxellois, malgré l’augmentation de 1 euro depuis janvier 2023.

Les titres-services séduisent toujours autant les Bruxellois, malgré l’augmentation de 1 euro depuis janvier 2023.

16.412.316 titres-services utilisés en 2023

En 2023, si le nombre de titres-services achetés par les Bruxellois est en diminution, -9% entre 2022 et 2023, les ménages utilisent toujours plus de titres-services. En effet, le nombre de titres-services remboursés, ceux effectivement utilisés par les Bruxellois, s’élève à 16.412.316 en 2023, contre 16.320.811 en 2022, soit une légère augmentation de 0,5%.

« Cette diminution du nombre de titres-services achetés s’explique par l’effet écureuil. En raison de l’annonce de l’augmentation du prix, de nombreux Bruxellois avaient fait des réserves et acheté plus de titres-services fin de l’année 2022. Mais on constate que les titres-services utilisés continuent leur progression. Preuve que l’augmentation du prix n’impacte pas la consommation des titres et permet, en Région bruxelloise, d’améliorer les conditions de travail des aide-ménagères », explique Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi. 

27.000 travailleurs concernés

Le système des titres-services offre la possibilité à de nombreux Bruxellois de bénéficier d’une aide-ménagère à un prix attractif. Mais il permet surtout à près de 27.000 travailleurs, majoritairement des femmes d’origine étrangère, de plus de 40 ans, de sortir du travail au noir.

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La Région soutient «Womenpreneur Space»

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Womenpreneur belgique

Le gouvernement bruxellois a approuvé l’octroi d’une subvention de 220.000€ à l’asbl Womenpreneur. Ce montant permettra l’ouverture prochaine d’un centre de formation aux métiers du numérique entièrement dédié aux femmes, « Womenpreneur Space ».

Un lieu central, offrant 6 formations différentes

Womenpreneur Space est un espace situé au cœur de Bruxelles, dans la Gare du Nord, entièrement dédicacé à la formation des femmes au numérique. Pas moins de 6 formations différentes pour une capacité de 115 participantes y seront organisées la première année d’ouverture grâce au soutien régional. Avec, comme objectif, 75% de sorties positives à l’issue de la formation. 

Des a priori qui entravent l’accès à un secteur en demande

À Bruxelles, les écoles de codage affichent un taux maximal de 15% d’étudiantes. Les raisons de cette sous-représentation sont multiples, stéréotypes, modèles de genre ou encore traditions culturelles. Pourtant, le secteur des TIC engage et est à la recherche de nombreux profils qualifiés.

« Pour féminiser le secteur des TIC, il faut sortir des clichés. Celui de la petite fille qui joue à la poupée et du petit garçon au jeux vidéo, comme celui de l’informaticien solitaire et renfermé. Les métiers des TIC sont aussi des professions de femmes », rappelle Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi.

Lien utile :

Bien-être animal : la Région soutien les projets des associations

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Espace de jeux pour les chiens

Sur 22 projets introduits par les asbl auprès de Bruxelles Environnement, 13 ont été sélectionnés pour un montant de 147.488 euros. Certains projets retenus innovent, par exemple, le refuge Veeweyde et son projet de « mantrailing », discipline olfactive qui s’apparente au pistage. Cela permet à l’homme de créer un lien avec l’animal et aux chiens du refuge de se dépenser tout en adoptant les codes canins utiles à leur future adoption.

Autres exemples de projets qui bénéficieront de la subvention :

  • Le soutien aux soins des animaux domestiques des personnes défavorisées par la Fondation Prince Laurent.
  • Les activités de sensibilisation aux besoins des animaux de la Ferme d’Anjou située à Woluwe-Saint-Pierre.

« Le bien-être animal est l’affaire de tous. Les associations et les citoyens font preuve d’innovation en matière d’initiative animale. Nous avons besoin de cette collaboration car nous partageons tous le même objectif : améliorer la qualité de vie des animaux », commente Bernard Clerfayt.

Place essentielle des associations actives en matière de bien-être animal

En juin dernier, le Ministre du Bien-être animal avait lancé un appel à projets à destination des asbl actives en matière de bien-être animal. Le but : soutenir la mise en œuvre de projets visant à améliorer le bien-être des animaux en ville. 

Améliorer la protection et le bien-être des animaux domestiques est une priorité en Région bruxelloise. Après un nouveau code bruxellois du bien-être animal déposé sur la table du gouvernement cet été, le Ministre bruxellois du bien-être animal a lancé un nouvel appel à projets à destination du secteur associatif.

« La mission des associations actives en matière de bien-être animal est indispensable et vient renforcer le travail des pouvoirs publics. Sensibilisation et information, soutien aux propriétaires ou encore aide aux animaux blessés, perdus ou abandonnés, le but ici est de financer des projets qui ont un impact direct sur le bien-être des animaux », explique Bernard Clerfayt.