23.000 places de formation en 2023

Actualité
La formation, clé pour l'emploi.

En 2023, Bruxelles Formation aura proposé 23.000 places de formation. 17.000 sont consacrées aux formations professionnalisantes dont 4.300 aux métiers qui recrutent.

« Aujourd’hui, les Bruxellois ont l’embarras du choix pour acquérir les compétences nécessaires à leur insertion sur le marché de l’emploi. Le bilan de compétences et le parcours vers l’emploi, qui seront imposés dès le mois de septembre, viendront renforcer les possibilités pour améliorer le niveau de qualification. C’est en investissant dans la formation que nous augmenterons la mise à l’emploi des Bruxellois », insiste Bernard Clerfayt.

La formation, clé pour l'emploi

Les nouvelles sont au beau fixe concernant le taux d’emploi à Bruxelles. Pour autant, il faut maintenir les efforts et continuer à améliorer les compétences des Bruxellois. Et la mise à l’emploi des Bruxellois passe par la formation.

La formation augmente les chances de trouver un emploi. Deux ans après leur entrée en formation, 71% des chercheurs d’emploi ont quitté le chômage pour l’emploi, contre 54% en l’absence de formation. 

Parce que le marché de l’emploi bruxellois est exigeant

La formation est d’ailleurs au cœur des politiques d’emploi du Ministre bruxellois, Bernard Clerfayt. « En Région bruxelloise, nous n’avons pas un défi d’emploi mais un défi des compétences. Nous sommes une région qui compte 835.000 postes de travail, dont 60% requièrent un niveau de qualification élevé.  Pour permettre aux Bruxellois de décrocher un emploi, ils doivent se former. Il faut former plus et mieux ! »,commente le Ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation.

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23.000 places de formation en 2023

Communiqué de presse

Les nouvelles sont au beau fixe concernant le taux d’emploi à Bruxelles. Pour autant, il faut maintenir les efforts et continuer à améliorer les compétences des Bruxellois. Et la mise à l’emploi des Bruxellois passe par la formation. Pour y arriver, Bruxelles Formation proposera près de 23.000 places de formation en 2023.

Ce n’est pas un secret, le marché de l’emploi bruxellois est un marché exigeant où le niveau de qualification recherché est élevé. La solution ? Former les chercheurs d’emploi. Les chiffres de l’étude menée par Bruxelles Formation parlent d’eux-mêmes : la formation augmente les chances de trouver un emploi. Deux ans après leur entrée en formation, 71% des chercheurs d’emploi ont quitté le chômage pour l’emploi, contre 54% en l’absence de formation. 

La formation est d’ailleurs au cœur des politiques d’emploi du Ministre bruxellois, Bernard Clerfayt. « En Région bruxelloise, nous n’avons pas un défi d’emploi mais un défi des compétences. Nous sommes une région qui compte 835.000 postes de travail, dont 60% requièrent un niveau de qualification élevé.  Pour permettre aux Bruxellois de décrocher un emploi, ils doivent se former. Il faut former plus et mieux ! »,commente le Ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation. 

C’est pourquoi, en 2023, Bruxelles Formation proposera 23.000 places de formation. 17.000 seront consacrées aux formations professionnalisantes dont 4.300 aux métiers qui recrutent.

« Aujourd’hui, les Bruxellois ont l’embarras du choix pour acquérir les compétences nécessaires à leur insertion sur le marché de l’emploi. Le bilan de compétences et le parcours vers l’emploi, qui seront imposés dès le mois de septembre, viendront renforcer les possibilités pour améliorer le niveau de qualification. C’est en investissant dans la formation que nous augmenterons la mise à l’emploi des Bruxellois », insiste Bernard Clerfayt.

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Bien-être au travail des aide-ménagères

Extrait de presse
Extrait de presse, RTL info : "Clerfayt promet des mesures pour améliorer les conditions de travail des aide-ménagères".

Extraits de l'article publié par RTL info:

Un groupe de travail destiné à améliorer les conditions de travail des aide-ménagères a été promis lundi par le ministre bruxellois du Travail, Bernard Clerfayt, à la CSC et la FGTB Titres-Services. Il regroupera tous les niveaux de pouvoir concernés. La nouvelle a été accueillie avec satisfaction par la centaine d'aide-ménagères qui manifestaient devant les bureaux du ministre.

Ce dernier a appris aux syndicats qu'elle faisait suite à une "conférence ministérielle" organisée juste avant leur rencontre, a relayé le secrétaire fédéral FGTB Titres-services, Sébastien Dupanloup.

[…]

Bilan de compétences et formation, portes de sortie du chômage

Actualité
La formation professionnelle pour rapprocher de l'emploi

Ce mercredi 14 juin, Bernard Clerfayt présentait son projet d’ordonnance « bilan de compétences » devant la commission affaires économiques du parlement bruxellois. Cette mesure forte mise sur la formation et consiste à renforcer l’accompagnement prodigué par Actiris qui pourra faire monter en gamme le niveau de qualification des chercheurs d’emploi.

La priorité sera donnée aux chercheurs d’emploi inscrits depuis plus d’un an, les jeunes et les femmes. « J’espère que les députés soutiendront à l’unanimité ce projet d’ordonnance. Car il s’agit d’une mesure réellement utile aux Bruxellois : les accompagner à retrouver le chemin de l’emploi » relève le Ministre

La formation augmente de 17% les possibilités de trouver un emploi

Chiffres à l’appui, cette solution fonctionne. La dernière étude menée par Bruxelles Formation pour quantifier l’impact de la formation sur la mise à l’emploi est sans appel : la formation augmente de 17% les possibilités de trouver un emploi. Deux ans après leur entrée en formation, 71% des chercheurs d’emploi ont quitté le chômage pour l’emploi, contre 54%, en l’absence de formation. 

« En Région bruxelloise, l’un des défis principaux liés à la mise à l’emploi est le manque de qualification. 7 chômeurs sur 10 n’ont pas les compétences requises pour accéder à l’emploi. La solution ? Un bilan de compétences professionnelles, linguistiques et numériques pour vérifier l’adéquation des compétences des chercheurs d’emploi et leur proposer le parcours de formation adéquat », ajoute Bernard Clerfayt.

Former est plus efficace que sanctionner

La limitation des allocations de chômage est sur toutes les lèvres. Selon certains, il s’agirait de la recette magique pour augmenter le taux d’emploi. Pourtant, la conclusion d’une étude récente de l’ONEM est sans équivoque : limiter dans le temps les allocations de chômage ne garantit pas un retour vers l’emploi.

« Sanctionner les chômeurs n’aura pas d’effet sur leur mise à l’emploi. Cette mesure ne fera que déplacer le problème, puisque priver d’allocations de chômage, ils se tourneront vers le CPAS. Et si pour sortir les gens du chômage, on arrêtait de les culpabiliser et on leur offrait la possibilité de retrouver le chemin de l’emploi grâce à une idée folle : la formation », avance Bernard Clerfayt.

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Partentariat public-privé pour la formation dans le secteur des assurances

Extrait de presse
Extrait de presse, Sudinfo : "139 emplois inoccupés à Bruxelles : un partenariat public-privé pour lutter contre la pénurie dans le secteur des assurances".

Extraits de l'article publié par Sudinfo:

113 fonctions sont considérées comme « métiers qui recrutent » à Bruxelles comme courtiers en assurance. Wikitree, Actiris et Bruxelles Formation proposent une formation aux chercheurs d'emploi, qui souhaiteraient se lancer dans le secteur.

[…] « Quand le public et le privé travaillent ensemble, les résultats sont toujours là ! En développant des formations sur mesure, adaptées aux besoins des entreprises, on est certains de répondre aux attentes des entreprises. C'est clairement ce type de partenariat qu'il faut développer si on veut permettre à plus de Bruxellois de décrocher un emploi », termine Bernard Clerfayt (DeFI), ministre de l'Emploi et de la Formation professionnelle.

Les territoires zéro chômeur de longue durée inclus dans les nouveaux contrats de quartiers

Extrait de presse
Extrait de presse, Le Soir : "Territoires zéro chômeur : « Notre but n'est pas de réduire le chômage de longue durée mais de le supprimer".

Extraits de l'article publié par Le Soir

La Wallonie et Bruxelles vont développer les expériences de Territoires zéro chômeur de longue durée, en s'inspirant de l'exemple français. Le fédéral soutiendra ces projets en activant allocations de chômage et allocations sociales. […]

[…] Un signal important, surtout sur Bruxelles. Car à l'inverse de la Wallonie, Bruxelles n'a pu tabler sur l'apport du Fonds social européen et sur les moyens de certains dispositifs d'insertion, pour financer ces futurs emplois. L'assurance de recevoir une contribution fédérale devrait permettre au cabinet de Bernard Clerfayt (Défi) d'avancer sur ce dossier.

Ainsi un tiers des communes bruxelloises présentant un taux de chômage supérieur à la moyenne régionale sera éligible au projet. « Et via les politiques de revitalisation urbaine lancées par le cabinet du ministre-président, nous avons demandé dans le dernier appel à projets pour les contrats de quartier qu'il y ait un volet socio-économique concernant les Territoires zéro chômeur, en parallèle des avancées fédérales », précise-t-on au cabinet du ministre régional de l'Emploi. […]

Le bilan de compétences et la formation comme porte de sortie du chômage

Communiqué de presse

Le Ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation professionnelle, Bernard Clerfayt, poursuit son objectif : augmenter le nombre de Bruxellois à l’emploi. Il va présenter son projet d’ordonnance bilan de compétences ce mercredi devant le Parlement bruxellois. Cette mesure forte mise sur la formation comme arme de construction massive.

La limitation des allocations de chômage est sur toutes les lèvres. Selon certains, il s’agirait de la recette magique pour augmenter le taux d’emploi. Pourtant, la conclusion d’une étude récente de l’ONEM est sans équivoque : limiter dans le temps les allocations de chômage ne garantit pas un retour vers l’emploi.

« Sanctionner les chômeurs n’aura pas d’effet sur leur mise à l’emploi. Cette mesure ne fera que déplacer le problème, puisque priver d’allocations de chômage, ils se tourneront vers le CPAS. Et si pour sortir les gens du chômage, on arrêtait de les culpabiliser et on leur offrait la possibilité de retrouver le chemin de l’emploi grâce à une idée folle : la formation », avance Bernard Clerfayt.

Car, chiffres à l’appui, cette solution fonctionne. La dernière étude menée par Bruxelles Formation pour quantifier l’impact de la formation sur la mise à l’emploi est sans appel :la formation augmente de 17% les possibilités de trouver un emploi. Deux ans après leur entrée en formation, 71% des chercheurs d’emploi ont quitté le chômage pour l’emploi, contre 54%, en l’absence de formation. 

« En Région bruxelloise, l’un des défis principaux liés à la mise à l’emploi est le manque de qualification. 7 chômeurs sur 10 n’ont pas les compétences requises pour accéder à l’emploi. La solution ? Un bilan de compétences professionnelles, linguistiques et numériques pour vérifier l’adéquation des compétences des chercheurs d’emploi et leur proposer le parcours de formation adéquat », ajoute le Ministre amarante.

Cette mesure vise à renforcer l’accompagnement prodigué par Actiris qui pourra faire monter en gamme le niveau de qualification des chercheurs d’emploi. La priorité sera donnée aux chercheurs d’emploi inscrits depuis plus d’un an, les jeunes et les femmes.

Ce mercredi, le Ministre présentera ce projet en Commission des Affaires Economiques. « J’espère que les députés soutiendront à l’unanimité ce projet d’ordonnance. Car il s’agit d’une mesure réellement utile aux Bruxellois : les accompagner à retrouver le chemin de l’emploi », conclut le Ministre amarante.

Contact ?
Marine Deschouwer - 0498148448