19 projets bruxellois viennent renforcer la lutte contre la discrimination à l’embauche

Communiqué de presse

Sur proposition de Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi et de la formation professionnelle, 19 projets bruxellois pour lutter contre les discriminations à l’embauche et promouvoir la diversité sur le marché de l’emploi verront le jour, pour un montant total de 713.000€.

Pour des questions de genre, de caractéristique physique, de couleur de peau, de religion ou encore de santé, certaines personnes sont de facto exclues du marché de l’emploi. Ces discriminations peuvent intervenir à différentes phases du processus de recrutement. Notamment durant un entretien d’embauche ou lors de l’examen d’un CV. 

« Les discriminations à l’embauche sont une réalité en Région bruxelloise. A l’aune de la reprise économique, nous ne pouvons pas nous priver d’une partie des talents bruxellois. Il faut que les nouvelles opportunités d’emploi profitent à tous les Bruxellois, peu importe leurs caractéristiques personnelles », rappelle Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi.

Afin de compléter les actions menées par les services publics bruxellois, le gouvernement a lancé en février dernier un appel à projet visant à soutenir des initiatives pour lutter contre les discriminations à l’embauche. Résultats : 52 dossiers ont été introduits et 19 projets ont été sélectionnés par un jury d’experts (Bruxelles Economie Emploi, Equal.brussels, Actiris, l’Institut pour l’Egalité des Femmes et des Hommes et UNIA) pour un montant de 713.193,14 euros.

Les lauréats

Les 19 projets ont été sélectionnés au regard des objectifs de la politique régionale en matière de lutte contre la discrimination à l'embauche et de promotion de la diversité sur le marché de l'emploi

  1. ATIS – Mamans solo Mamans Boulot. Briser l'isolement social des mères célibataires.
  2. RANDSTAD – BXL plays for diversity. Speed dates entre des entreprises et des chercheurs d'emploi de différents horizons : travailleurs âgés, genre et orientation sexuelle
  3. LEAD – Be My Coach! Programme de coaching par de jeunes professionnels qui s'adresse aux plus de 50 ans
  4. WOMENPRENEUR – Génération W 2021. Programme destiné aux jeunes femmes marginalisées qui sont intimidées par les organismes publics et les entreprises et qui recherchent un soutien et un suivi très précis et individuel.
  5. RAS EL HANOUT – Pourquoi je n’ai pas porté plainte ? Série web de courts vidéo-clips basés sur des témoignages de discrimination.
  6. LES AMIS DU COLLECTIF – Brussels Diversity Employment Tour. Le projet s’adresse aux personnes d'origine étrangère et propose de l'aide au développement personnel, la recherche de stages et d'emplois.
  7. TYN – TYNcluding 6 TYNCluding. Projet qui vise à augmenter l'emploi des jeunes de 18 à 30 ans issus des zones les plus pauvres.
  8. UNIZO – Name & Frame. Création d’un site internet qui présente des informations sur la diversité du marché de l'emploi bruxellois.
  9. AKSENT – Renforcer les softskills via e-learning. Le projet consiste à proposer 5 formules d'e-learning pour renforcer les softskills des personnes de 50 ans et plus.
  10. INTERFACE 3 – 45+@work. Le projet vise à trouver un emploi pour 30 femmes de plus de 45 ans ("seniors") ayant peu ou pas de qualifications, d'origine étrangère et à la recherche d’un emploi depuis au moins un an.
  11. KEEP DREAMING – YouBELong. Le projet constitue à réunir au moins cinq entreprises et 60 talents prometteurs d'origine étrangère.
  12. VIA BRUSSELS – PEPA 7. Créer un trajet de carrière professionnelle pour un public immigré de première génération.
  13. WYDE – Wyde 2021. L'initiative consiste à organiser un appel à candidats/concours en vue de réunir le plus grand nombre possible de participants pour mettre en avant des profils de référence, inspirants et fédérateurs.
  14. AUTONOMIA – Regarde mes compétences, pas ma différence. Le but  est d'informer et de sensibiliser les personnes handicapées et les entreprises, aux compétences des personnes présentant un handicap.
  15. MATCH – Rainbow Pages. Le projet consiste à créer une plateforme en ligne pour promouvoir des profils de freelancers, d'artistes, de métiers indépendants, d'indépendants, d'entreprises, etc. représentés par des personnes LGBT+, des femmes et des personnes non binaires et/ou font partie d'autres groupes sous-représentés (couleur de la peau, handicap, religion...).
  16. IEDA RELIEF – Promotion de l’emploi pour des ressortissants non-européens. Contribuer à accompagner les demandeurs d'asile, les réfugiés reconnus ou les personnes qui bénéficient de la protection subsidiaire, les personnes arrivant suite au regroupement familial et les migrants économiques qui cherchent du travail dans des secteurs où la demande en main d'œuvre est importante.
  17. MAISON DE JEUNES LA J – Dessinons un monde plus juste. Le projet consiste à créer une bande dessinée sur la sensibilisation à la discrimination au travail.
  18. CAMERA QUARTIER – Les petits reporters. Le projet consiste à créer une série de vidéos qui donnent une voix aux jeunes, leur permettant de donner leur opinion sur la discrimination sur le marché de l'emploi pour les jeunes.
  19. TECHITY – FAIR. Collaborer directement avec les entreprises en leur fournissant un outil qui leur permet de rendre leurs méthodes et pratiques de recrutement plus objectives et équitables. Il s'agit d'un outil qui exclut un grand nombre de critères discriminatoires lors du recrutement.

Cristina Amboldi, nommée à la tête d’Actiris

Communiqué de presse

Le gouvernement bruxellois a approuvé ce jeudi la nomination de Cristina Amboldi au poste de Directrice générale d’Actiris. Une nomination qui intervient à la suite d’une procédure ouverte et transparente.

La Région bruxelloise a été la première à mettre en place une procédure ouverte et transparente pour désigner les directeurs généraux des administrations. Celle-ci est d’ailleurs entièrement confiée à une commission de sélection composée d’un jury indépendant.

Pour le poste de directeur général d’Actiris, la commission de sélection, mise en place par talent.brussels, a recommandé au gouvernement de nommer Cristina Amboldi, classée en première place par le jury.

La commission de sélection était composée de cinq membres :

  • Yves Bourdeau, ancien directeur général d’Hydrobru et actuel Chief Financial Officer au sein de Vivaqua
  • Isabella Lenarduzzi, entrepreneuse sociale dans les domaines de l’emploi et directrice générale de JUMP for Equality
  • Florence Coutellier, Consultante RH dans le secteur public
  • Georges Wanet, Professeur à la Solvay Brussels School
  • Xavier Van Outryve d’Ydewalle, responsable RH à la Commune de Woluwe-Saint-Pierre

Le jury a reçu vingt candidatures pour le poste de Directeur général d’Actiris et en a exclu quinze. Cinq candidats ont ainsi été entendus par la commission de sélection lors d’un assessment et d’un entretien.

Le jury a déclaré « inapte » deux candidats et « apte » les trois autres, en mentionnant que ces derniers avaient tous un profil en bonne adéquation avec le descriptif de fonction. Le gouvernement a décidé de suivre intégralement l’avis de la commission de sélection et nomme ainsi, à la direction générale d’Actiris, Critina Amboldi.

Après un passage dans l’enseignement et le secteur privé, Cristina Amboldi, licenciée en sciences commerciales de l’ICHEC, a travaillé pendant plus de 20 ans chez Actiris. Entrée au service IT en 1999, elle est passée par la Direction Partenariat où elle a notamment été en charge du réseau des 170 partenaires d’Actiris. Enfin, elle a également pris la tête du Service Qualité Transversale, ce qui lui a permis d’avoir une vision complète des différentes directions d’Actiris et une vue à 360° sur les services et mesures offerts tant aux chercheurs d’emploi qu’aux employeurs ou aux partenaires.

Forte de son expertise pointue dans le secteur de l’emploi et de la formation, elle a ensuite intégré les cabinets de Didier Gosuin et Bernard Clerfayt.

« Je me réjouis que le gouvernement désigne la personne jugée la plus compétente pour diriger Actiris et amplifier le travail mené afin de faire face aux enjeux de demain : mettre plus de Bruxellois à l’emploi », déclare Bernard Clerfayt

Cristina Amboldi entrera en fonction dans les prochaines semaines.


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Accès au marché de l’emploi flamand

Extrait de presse
Plus d'opportunités d'emplois pour les Bruxellois

Extrait de l'article publié par Métro

La commission des Affaires économiques du parlement bruxellois a donné son feu vert, hier, à un projet d’ordonnance destiné à offrir plus d’opportunités aux Bruxellois de trouver du travail en Flandre.

[…] Le projet a été déposé par le ministre bruxellois de l’Emploi Bernard Clerfayt […] En adoptant un nouvel accord de coopération entre la Flandre et Bruxelles, repris dans la future ordonnance, davantage de Bruxellois auront accès au marché de l’emploi flamand, qui offre de nombreuses opportunités notamment dans la périphérie bruxelloise.

Faire de l’alphabétisation une passerelle vers l’emploi

Selon les chiffres de janvier 2020, près d’un demandeur d’emploi sur cinq inscrit chez Actiris ne connait pas, ou aurait une connaissance rudimentaire de la langue déclarée lors de l’inscription. Loin de l’emploi, ces personnes accèdent tout aussi difficilement à une formation. Dans le même temps, des moyens importants sont consacrés à l’alphabétisation. L’enjeu est donc : comment mieux connecter alphabétisation et emploi ?

Les actions pour rapprocher alphabétisation et emploi

Pour renforcer l’efficacité des moyens engagés, le Ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle Bernard Clerfayt, a approuvé avec les autres responsables politiques de la Fédération Wallonie-Bruxelles, de la Cocof et de la Région Wallonne, le plan d’actions 2021-2024 pour le développement de politiques concertées en matière d’alphabétisation des adultes. Voici les principales lignes de force pour rapprocher alphabétisation et emploi. Elles ont été confirmées dans le cadre de la Conférence Interministérielle sur l’alphabétisation du 3 juin 2021.

Pour Bernard Clerfayt, l’objectif est très clair : « Dès l’entame du parcours d’alphabétisation comme à la suite de celui-ci, il faut faciliter l’accès aux formations qualifiantes qui mènent le plus directement à l’emploi. L’alphabétisation n’est pas la condition suffisante pour accéder à l’emploi, il faut engager les apprenants dans les formations professionnelles, quitte à aménager les tests d’entrée pour dépasser l’obstacle de la langue. C’est envisageable pour les métiers où la moindre connaissance de la ou des langues n’est pas un empêchement absolu. »

Le renforcement des parcours d’alphabétisation en même temps que les passerelles vers les formations qualifiantes sont des priorités. L’objectif est de donner accès à des examens d’admission à une formation qualifiante et de permettre de suivre cette formation en parallèle des parcours d’alphabétisation.

Il a été décidé également de mieux cerner et de quantifier les besoins des diverses populations cibles concernées par l’analphabétisme. Et ce autant pour les natifs francophones que pour les publics dont la langue maternelle n’est pas le français. Ces deux groupes nécessitent des approches d’apprentissage différentes. Il s’agira d’assurer une meilleure concordance entre les besoins identifiés et l’offre existante, et de développer l’offre de formation complémentaire qui s’avérerait nécessaire.

Une offre pour l’alphabétisation renforcée dès 2021

Dans la droite ligne des engagements pris dans la déclaration de politique générale (DPR) de la Région bruxelloise et de la Commission communautaire française (Cocof), l’offre de places d’alphabétisation a été renforcée. Le nombre de places pour stagiaires en alphabétisation est passé de 941 places en 2020 à 1131 places en 2021, soit une augmentation relative de 20%. Les formations « Français langue étrangère » accueilleront jusqu’à 1621 personnes au cours de cette année 2021.

L’action d’Actiris

Les personnes analphabètes sont aussi accompagnées dans le cadre de projets plus larges soutenus par Actiris, s’adressant à des chercheurs d’emploi qui rencontrent des problèmes spécifiques qui entravent leur accès à l’emploi.

Deux asbl sont concernées : « Maks » pour les Néerlandophones et « Lire et écrire » pour les Francophones. 225 personnes sont suivies annuellement dans ce cadre par Actiris.

Quelques liens

Rapprocher alphabétisation et emploi

Trouver un emploi en Flandre, une opportunité désormais facilitée

Actualité
Coopération renforcée entre Actiris et le VDAB pour que trouver un emploi en Flandre soit plus aisé pour les Bruxellois

Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi, a déposé une proposition d’ordonnance devant la Commission des Affaires Économiques du parlement bruxellois pour que trouver un emploi Flandre soit une opportunité pour plus de chercheurs d’emploi bruxellois. Le Ministre veut faciliter cette démarche pour tous les Bruxellois à la recherche d’un emploi.

« L’emploi doit être la priorité absolue de cette rentrée. La reprise se fait sentir et le nombre d’offres d’emploi augmente.  Ces opportunités, il faut que les Bruxellois en profitent. Ce nouvel accord de coopération entre nos deux Régions, c’est donc du gagnant-gagnant », se réjouit Bernard Clerfayt.

Toutes les offres du VDAB accessibles et un accompagnement sur mesure

Concrètement, le VDAB et Actiris échangeront automatiquement toutes les offres d’emploi. Auparavant, seules 1.500 offres du VDAB étaient transmises à Actiris chaque année, et uniquement pour des emplois infraqualifiés. 

Un parcours de formation sur mesure pour tous ceux qui souhaitent trouver un emploi en Flandre, sera mis en place par le VDAB. Il s’agit de les accompagner pour qu’ils puissent répondre aux besoins du marché de l’emploi en Flandre. Et pour cerner au mieux ces attentes et garantir les formations adéquates, une analyse conjointe du marché de l’emploi sera réalisée.

Un service de recrutement conjoint Actiris/VDAB répondra quant à lui aux besoins des employeurs. L’objectif est double : lutter contre les pénuries de main d’œuvre en Flandre et offrir plus d’opportunités aux chercheurs d’emploi bruxellois.

Trouver un emploi en Flandre, une tendance amorcée et un énorme potentiel

En 2019, 57.000 Bruxellois traversaient chaque matin les frontières bruxelloises pour travailler en Flandre. Un chiffre qui n’a jamais été aussi élevé puisqu’en 2010, ils étaient 43.000, soit 30% de plus en 10 ans. Néanmoins, ce nombre peut encore augmenter.

Le marché de l’emploi bruxellois et flamand sont confrontés à des besoins complémentaires. La Flandre fait face à un important besoin de main d’œuvre – 66% des postes vacants se situent en Flandre. Et Bruxelles dispose d’un vivier important de travailleurs – on compte en Région bruxelloise près de 90.000 chercheurs d’emploi.

En adoptant un nouvel accord de coopération entre la Flandre et Bruxelles, plus de Bruxellois pourront trouver un emploi en Flandre, les opportunités d’emploi y sont nombreuses, notamment dans la périphérie bruxelloise. « Les bassins industriels ont quitté Bruxelles pour aller s’installer sur des territoires moins densément peuplés, autour de la capitale mais sont toujours à la recherche de main d’œuvre, parfois peu qualifiée », analyse le Ministre bruxellois.

Un accord gagnant-gagnant pour plus de travailleurs bruxellois en Flandre

Communiqué de presse

Offrir plus d’opportunités aux Bruxellois de trouver du travail en Flandre, tel est l’objectif de la proposition d’ordonnance déposée ce matin par Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi et votée par la Commission des Affaires Economiques du parlement bruxellois.

En 2019, 57.000 Bruxellois traversaient chaque matin les frontières bruxelloises pour travailler en Flandre. Un chiffre qui n’a jamais été aussi élevé puisqu’en 2010, ils étaient 43.000, soit 30% de plus en 10 ans. Néanmoins, ce nombre peut encore augmenter.

Le marché de l’emploi bruxellois et flamand sont confrontés à des besoins complémentaires. La Flandre fait face à un important besoin de main d’œuvre – 66% des postes vacants se situent en Flandre. Et Bruxelles dispose d’un vivier important de travailleurs – on compte en Région bruxelloise près de 90.000 chercheurs d’emploi.

En adoptant un nouvel accord de coopération entre la Flandre et Bruxelles, plus de Bruxellois auront accès au marché de l’emploi flamand qui offre de nombreuses opportunités d’emploi, notamment dans la périphérie bruxelloise. « Les bassins industriels ont quitté Bruxelles pour aller s’installer sur des territoires moins densément peuplés, autour de la capitale mais sont toujours à la recherche de main d’œuvre, parfois peu qualifiée », analyse le Ministre bruxellois.

Concrètement, ce nouvel accord de coopération améliorera l’échange automatique de toutes les offres d’emploi entre Actiris et le VDAB. Auparavant, seules 1.500 offres du VDAB étaient transmises à Actiris chaque année, et uniquement pour des emplois infraqualifiés. 

Un parcours de formation sur mesure pour les chercheurs d’emploi bruxellois sera mis en place par le VDAB afin de répondre aux besoins du marché de l’emploi flamand. Et pour cerner au mieux ces attentes et garantir les formations adéquates, une analyse conjointe du marché de l’emploi sera réalisée.

Enfin, pour répondre aux besoin des employeurs, un service de recrutement conjoint Actiris/VDAB sera instauré, afin de lutter contre les pénuries de main d’œuvre en Flandre et d’offrir plus d’opportunités aux chercheurs d’emploi bruxellois.

« L’emploi doit être la priorité absolue de cette rentrée. La reprise se fait sentir et le nombre d’offres d’emploi augmente.  Ces opportunités, il faut que les Bruxellois en profitent. Ce nouvel accord de coopération entre nos deux Régions, c’est donc du gagnant-gagnant », se réjouit Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation professionnelle.


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Lutte contre la discrimination

Extrait de presse
Actiris suspend l'offre d'emploi portant la mention "port du voile interdit"

Extrait de l'article paru dans La Capitale

Actiris a suspendu lundi matin une offre d’emploi émanant de la communauté éducative Sainte-Geneviève d’Etterbeek qui précisait que le « port du voile » est interdit dans l’établissement scolaire

[…] Actiris a suspendu l’annonce le temps de réaliser une analyse juridique et va prendre contact avec le pouvoir organisateur de l’école afin que l’offre soit reformulée. « Notre ministre de tutelle Bernard Clerfayt (ministre bruxellois de l’Emploi) vient de tweeter pour donner sa position, qui sera la même de notre côté, à savoir que la formulation est discriminante dans le sens où elle vise essentiellement le port du foulard. Par contre, l’école reste libre d’adopter une politique de neutralité en fonction de son règlement d’ordre intérieur ».