La prime pour indépendant est augmentée

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Prime pour indépendant augmentée en Région bruxelloise

Lancer sa propre activité et créer son emploi, un projet passionnant ? une solution pour créer son emploi ? un rêve qui se réalise ? Quelle que soit votre motivation première, l’important est d’être accompagné par des professionnels et soutenu financièrement. La prime pour indépendant d’Actiris peut aider les chercheurs d’emploi à franchir le pas et à poser des balises pour limiter les risques.

Les mensualités de la prime pour indépendant augmentées

Sur proposition de Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi, le gouvernement bruxellois a approuvé ce jeudi 12 novembre en première lecture, un projet d’Arrêté visant à augmenter le montant de la prime pour indépendant.

Les montants mensuels octroyés aux chercheurs d’emploi qui lancent leur activité seront augmentés. Au total, le chercheur d’emploi bénéficiera d’un montant de 4.750€ sur 6 mois :

  • 1.250 € le premier mois
  • 1000 € le deuxième mois
  • 750 € les troisième et quatrième mois
  • 500 € les cinquième et sixième mois

Les conditions de la prime pour indépendant plus souples et plus solides

Dorénavant, les candidats à la prime pour indépendant qui ont exercé une activité d’indépendant endéans les deux ans qui précèdent la demande pourront, eux aussi, bénéficier de la prime et relancer une activité.

Le prime pour indépendant boostée sera accessible à tous les chercheurs d’emploi qui se lancent entament leur activité entre le 1er septembre 2020 et le 31 décembre 2021.

Par ailleurs, comme le précise le Ministre de l’Emploi, les conditions d’encadrement des candidats seront vérifiées.

« Donner une prime pour une prime n’a pas de sens. Pour en bénéficier le chercheur d’emploi doit être accompagné et suivi par une structure reconnue. Le projet entrepreneurial doit être validé et fondé sur des bases solides. La prime vient donc en soutien d’un arsenal de mesures d’accompagnement à la création de son emploi », argumente Bernard Clerfayt.

En période de crise, l’initiative entrepreneuriale est de première nécessité pour relancer l’emploi

Parmi les chercheurs d’emploi, ils sont nombreux à rêver de lancer leur propre activité d’indépendant. Mais le contexte économique actuel risque de tempérer les ardeurs des plus motivés.

« Pourtant l’entreprenariat, la création de son propre emploi, c’est la base de tout. Sans cet esprit entrepreneurial, il n’y a pas d’entreprises, pas de stimulation de l’économie bruxelloise et donc pas de création d’emploi », explique Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi.

Depuis le lancement de la mesure en 2018, 630 primes ont déjà été octroyées à des Bruxellois dont 60% d’hommes et 40% de femmes.

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#PlanDeRelance : une prime indépendant boostée pour aider les chercheurs d’emploi qui se lancent dans l’entreprenariat

Communiqué de presse

Sur proposition de Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi, le gouvernement bruxellois a approuvé ce jeudi en première lecture un projet d’arrêté visant à augmenter le montant de la prime indépendant. Un boost nécessaire pour aider les chercheurs d’emploi à franchir le pas et lancer leur activité.

La crise qui s’annonce va entraîner une augmentation du nombre de chercheurs d’emploi, même si pour l’instant, l’effet sur les chiffres bruxellois du chômage ne se fait pas encore sentir, grâce notamment au chômage temporaire ou au moratoire sur les faillites.

Parmi les chercheurs d’emploi, ils sont nombreux à rêver se lancer dans l’aventure de l’entreprenariat mais n’osent pas sauter le pas. Et le contexte économique actuel va certainement tempérer les ardeurs des plus motivés.

« Pourtant l’entreprenariat, la création de son propre emploi, c’est la base de tout. Sans cet esprit entrepreneurial, il n’y a pas d’entreprises, pas de stimulation de l’économie bruxelloise et donc pas de création d’emploi », explique Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi.

Afin d’aider les chercheurs d’emploi inscrits chez Actiris, la prime indépendant, lancée en 2018, va être boostée et les mensualités augmentées. Au total, le chercheur d’emploi bénéficiera d’un montant de 4.750€ sur 6 mois.

  • 1.250€ le premier mois
  • 1000€ le deuxième mois
  • 750€ les troisième et quatrième mois (au lieu de 500€)
  • 500€ les cinquième et sixième mois (au lieu de 250€)

Par ailleurs, la condition de ne pas avoir été indépendant pendant 2 ans auparavant est supprimée, permettant aux anciens indépendants de relancer également une activité.

« Donner une prime pour une prime n’a pas de sens. Et bien souvent, celle-ci peut s’apparenter à un effet d’aubaine. Pas avec la prime indépendant. Pour en bénéficier le chercheur d’emploi doit être accompagné et suivi par une structure reconnue. Le projet entrepreneurial doit être validé. Il n’est pas question de subsidier tout et n’importe quoi mais uniquement des projets vérifiés dont les bases sont solides. La prime vient donc en soutien d’un arsenal de mesures d’accompagnement à la création de son emploi », argumente Bernard Clerfayt.

Depuis le lancement de la mesure en 2018, 630 primes ont déjà été octroyées à des Bruxellois dont 60% d’hommes et 40% de femmes.

Le prime indépendant boostée sera accessible à tous les chercheurs d’emploi qui se lancent comme indépendant entre le 1er septembre 2020 et le 31 décembre 2021.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – Cabinet Clerfayt - 0485 89 47 45

Connecter les cherccheurs d'emploi et le secteur des soins de santé

Extrait de presse
Les chômeurs appelés en renfort dans les soins de santé

Extrait de l'article de La Libre

[…] “Cette plateforme fait le lien entre non seulement les chercheurs d’emploi mais aussi les personnes qui sont, du fait de la crise sanitaire, au chômage technique, et le secteur des soins de santé” , résume Simon Vanonckelen, porte-parole d’Actiris. Le ministre de l’Emploi de la Région Bruxelles-Capitale, Bernard Clerfayt (Défi), a en effet, dans la foulée de l’initiative flamande, demandé au service de remise à l’emploi bruxellois de mettre en place une plateforme similaire à celle de son homologue flamand. “On y travaille, mais il est encore trop tôt pour dévoiler le contenu, le fonctionnement et le lancement de cet outil” , précise Simon Vanonckelen.

[…]

Digitalcity proposera des formations aux métiers du numérique

Extrait de presse

Extraits de l'article paru dans L'Écho

[…] C’est donc comme un «superbe outil de relance» que Digitalcity a été présenté par le ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation, Bernard Clerfayt (DéFI), même si les pôles formation-emploi sont nés bien avant la crise sous l’impulsion de son prédécesseur, Didier Gosuin (DéFI).

[…] Une équipe de 25 experts est prévue pour former les demandeurs d’emploi en fonction des besoins définis par les entreprises de ce secteur en évolution constante. Avec Digitalcity, les pouvoirs publics espèrent apporter une réponse au fameux paradoxe bruxellois. À savoir que la capitale est le premier bassin d’emplois du pays, mais aussi la région du pays ayant le taux de chômage le plus élevé. […]

Un nouveau centre pour se former dans le numérique

Actualité
Le centre Emploi-Formation dans le secteur numérique : Digitalcity

Que l’on soit à la recherche d’un collaborateur, d’un emploi ou d’une formation, Digitalcity.brussels devient la référence dans le secteur du numérique. Plus de 2 500 m², 17 salles de cours et une équipe de 25 experts pour former les talents de demain et anticiper les besoins RH des entreprises.

Une étude de view.brussels, parue début 2020, indique que les trois profils les plus recherchés sur le marché de l’emploi bruxellois sont : analyste-programmeur, technicien helpdesk et consultant informatique. Par ailleurs, la liste des métiers en pénurie compte de nombreuses fonctions dans le numérique. Agoria estime que la digitalisation de notre société va entraîner la création de 800.000 postes de travail.  

Un Pôle Formation Emploi pour se former dans le numérique

Pour faire face à un besoin de main d’œuvre grandissant, accéléré par la crise du Covid-19, la Région bruxelloise a décidé de miser sur une structure unique et inédite rassemblant le secteur professionnel et les services publics de l’emploi et de la formation. Voici le Pôle Formation Emploi pour se former dans le numérique : Digitalcity.brussels. 

Non seulement Digitalcity.brussels formera les talents aux compétences actuellement recherchées sur le marché de l’emploi, mais il devra aussi anticiper les besoins des entreprises. En effet, les métiers du numérique sont en constante évolution et nécessitent des mises à jour ou des remises à niveau tout au long d’une carrière professionnelle.

« La crise est un accélérateur de tendance. La plus forte d’entre-elles est la digitalisation de tous les aspects de notre société. En Région bruxelloise, nous avons décidé de ne pas seulement assister à cette véritable ruée vers le digital mais de faire en sorte que les Bruxellois en soient des acteurs. Digitalcity.brussels ambitionne de devenir la référence en matière de métiers numériques à Bruxelles et s’adresse à ceux qui veulent se lancer ou se spécialiser dans le secteur. L’accent sera évidemment mis sur la formation : nous devons proposer des formations de pointe afin de devenir un interlocuteur crédible », déclare Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation.

De l’importance de talents formés dans le numérique

Bruxelles, c’est aussi la capitale des PME. La création de start-ups et de petites entreprises, surtout dans le domaine des technologies, est en pleine explosion. Une étude de "start-up.be" indique que, depuis 2010, plus de 400 entreprises actives dans le secteur numérique se sont établies en Région bruxelloise, créant plus de 3.000 emplois. Et selon le même rapport, le recrutement reste le plus grand challenge de ces startups.

D’après un rapport d’Agoria de 2018, intitulé « la digitalisation et le marché du travail belge », si aucune solution n’est mise en place, « l’écart entre l’offre et la demande se creusera encore jusqu’en 2030 ».

Par ailleurs, la chasse aux compétences digitales n'est plus l’apanage des seules entreprises technologiques. Aujourd’hui, les recruteurs sont à la recherche de candidats de plus en plus polyvalents. On demande désormais aux employés d’avoir des compétences en droit, en communication, en management... et bien sûr dans la sphère numérique, provoquant une véritable guerre des talents.

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Digitalcity.brussels : nouvel outil de la relance économique de Bruxelles

Communiqué de presse

Que l’on soit à la recherche d’un collaborateur, d’un emploi ou d’une formation, Digitalcity.brussels devient la référence dès lors que l’on évolue dans le secteur IT. Plus de 2 500 m², 17 salles de cours et une équipe de 25 experts pour former les talents de demain et anticiper les besoins RH des entreprises.

Une étude de view.brussels, parue début 2020, indique que les trois profils les plus recherchés sur le marché de l’emploi bruxellois sont : analyste-programmeur, technicien helpdesk et consultant informatique. Par ailleurs, la liste des métiers en pénurie compte de nombreuses fonctions liées à l’IT. Ajoutons à cela la crise sanitaire qui a accéléré la digitalisation de toutes nos entreprises publiques et privées, tous secteurs confondus. Par conséquent, les besoins en profils IT vont être de plus en plus élevés sur le marché de l’emploi. Agoria estime d’ailleurs que la digitalisation de notre société va entraîner la création de 800 000 postes de travail.  

Seulement, en Région bruxelloise, un paradoxe sévit. D’une part, la Région est le principal bassin d’emplois du pays, souvent hautement qualifiés. D’autre part, Bruxelles connaît un taux de chômage important. Dès lors, comment faire pour que l’offre et la demande d’emploi se rencontrent ?

De l’importance de talents formés

Bruxelles, c’est aussi la capitale des PME. La création de start-ups et de petites entreprises, surtout dans le domaine des technologies, est en pleine explosion. Une étude de start-up.be indique que, depuis 2010, plus de 400 entreprises actives dans le secteur numérique se sont établies en Région bruxelloise, créant plus de 3.000 emplois. Et selon le même rapport, le recrutement reste le plus grand challenge de ces startups.

D’après un rapport d’Agoria de 2018, intitulé « la digitalisation et le marché du travail belge[1] », si aucune solution n’est mise en place, « l’écart entre l’offre et la demande se creusera encore jusqu’en 2030 ».

Par ailleurs, il apparaît que la chasse aux compétences digitales ne soit plus l’apanage des seules entreprises tech. Aujourd’hui, les recruteurs sont à la recherche de candidats de plus en plus polyvalents. On demande désormais aux employés d’avoir des compétences en droit, en communication, en management... et bien sûr dans la sphère numérique, provoquant une véritable guerre des talents.

Un Pôle Formation Emploi dédié aux métiers IT, au cœur du développement de la Région

Pour faire face à un besoin de main d’œuvre grandissant, accéléré par la crise du Covid-19, la Région bruxelloise a décidé de miser sur une structure unique et inédite rassemblant, d’une part, le secteur professionnel et, d’autre part, les services publics de l’emploi et de la formation. Voici le Pôle Formation Emploi des métiers du numérique : Digitalcity.brussels.

Ce Pôle Formation Emploi constitue le trait d’union physique, mais aussi numérique, actuellement manquant, entre services publics et monde économique.

Porté par plusieurs partenaires, Digitalcity.brussels est une entité unique qui rassemble les forces vives d’Actiris, de Bruxelles Formation, du VDAB Brussel, du Consortium de la Validation des Compétences, et du secteur professionnel au profit des Bruxellois, qu’ils soient chercheurs d’emploi, travailleurs ou entrepreneurs.

Non seulement Digitalcity.brussels devra former les talents aux compétences actuellement recherchées sur le marché de l’emploi, mais il devra aussi anticiper les besoins des entreprises. En effet, les métiers du numérique sont en constante évolution et nécessitent des mises à jour ou des remises à niveau tout au long d’une carrière professionnelle.

Digitalcity.brussels est constitué de trois piliers: le pilier Sectoriel Recherche & Développement, le pilier Formation & Validation des Compétences et le pilier Emploi. Il mène donc aussi bien des actions de formation, d'emploi, d'identification et de validation des compétences que des actions de collaborations renforcées avec l'enseignement, de sensibilisation aux métiers du secteur IT et de promotion de leur image.  Digitalcity a également parmi ses missions la veille sectorielle du marché de l'emploi et des qualifications requises. .

« La crise est un accélérateur de tendance. La plus forte d’entre elle est la digitalisation de tous les aspects de notre société. Seulement, en Région bruxelloise, nous avons décidé de ne pas seulement assister à cette véritable ruée vers le digital mais de faire en sorte que les Bruxellois en soient des acteurs. Digitalcity.brussels ambitionne de devenir la référence en matière de métiers numériques à Bruxelles et s’adresse à ceux qui veulent se lancer ou se spécialiser dans le secteur. L’accent sera évidemment mis sur la formation : nous devons proposer des formations de pointe afin de devenir un interlocuteur crédible », déclare Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi et de la Formation.

« Que de chemin parcouru depuis la création de l’asbl Brutec dans les années 1980 ! Aujourd’hui, le CDR Evoliris cède la place au Pôle Digitalcity. Un nouveau pôle qui voit le jour d’abord et avant tout, grâce à la conclusion en février dernier du premier accord-cadre entre mon Gouvernement, le Collège de la Commission communautaire française et les partenaires sociaux du domaine des métiers du numérique. Par cet accord, nous voulons insuffler notre volonté commune d’entrer, à travers un sigle unique, dans une nouvelle perspective de coopération bien comprise : celle d’une mutualisation de ressources et moyens au service des Citoyens bruxellois, quels qu’ils-elles soient : chercheur d’emploi, employeur, formatrice ou encore apprentie ! », explique Rudi Vervoort Ministre-Président bruxellois

« Réunir les partenaires publics et privés du secteur va permettre de regrouper les compétences d’une vingtaine d’experts dans leur domaine et de proposer en un seul lieu une offre de services riche en développement de compétences numériques. Les collaborations entre nos équipes pour, notamment, accompagner les chercheurs d’emploi avant, pendant et après leur formation améliorera encore les résultats de même que le travail de veille et de vitrine auprès des entreprises assuré par le secteur. Digitalcity.brussels constitue donc le cadre idéal pour développer et transmettre une dynamique positive, innovante et ambitieuse pour les Bruxellois et Bruxelloises », affirme Olivia P’tito, Directrice générale de Bruxelles Formation.

« A l’heure où notre société a subitement basculé dans le digital, se former aux métiers du numérique est quasiment une garantie d’emploi. J’encourage les chercheuses et les chercheurs d’emploi qui hésitent encore à se lancer dans l’aventure. De même que j’invite les employeurs à faire appel à ce nouveau service afin qu’il réponde au mieux à ses besoins. Ce sont toutes les nouvelles solutions que nous trouverons pour Bruxelles qui, ensemble, nous permettront de faire face à la crise », explique Grégor Chapelle, Directeur général d’Actiris.

« La création du pôle Digitalcity s'inscrit pleinement dans la vision d’avenir du VDAB. La mise en place d'infrastructures communes, ciblant aussi bien les demandeurs d'emploi que les employés et les étudiants, est à nos yeux la voie de l'avenir. Le fait que des formations soient organisées au sein de Digitalcity en fonction des besoins concrets des employeurs est essentiel pour le secteur des TIC. Le VDAB ne fournit pas de formations aux TIC, mais nous plaçons toutes nos formations virtuellement dans le pôle Digitalcity et nos organisations partenaires ont tout le loisir d’organiser des formations sur cette magnifique infrastructure dernier cri de Digitalcity », conclut Geert Pauwels, directeur du VDAB Brussel.

Digitalcity.brussels, de par sa mission de point central numérique, répond aux attentes des entreprises d’un point de vue formation et information. Digitalcity.brussels doit devenir la plate-forme des projets numériques bruxellois, de la mise à disposition de son infrastructure à la mise sur pieds d’opportunités de partenariats publics-privé. Digitalcity.brussels c’est aussi l’endroit idéal pour permettre aux entreprises de trouver du personnel qualifié, de former leurs (futurs) employés ou d'offrir plus de visibilité à leurs projets, produits ou services. », déclare Jean-Pierre Rucci, Directeur général de Digitalcity.brussels.

En savoir plus

Situé à Auderghem, à proximité immédiate des campus de l’ULB et de la VUB avec lesquels Digitalcity.brussels souhaite développer de nouvelles collaborations, le bâtiment compte cinq niveaux et comprend, notamment :

  1. Un auditoire de 100 places ;
  2. Une quinzaine de salles équipées ;
  3. Un studio digital media ;
  4. Un laboratoires CISCO dédié aux technologies réseau ;
  5. Un laboratoire destiné à accueillir les épreuves de certification et de validation des compétences ;
  6. Un espace de plus de 100 m² destiné à accueillir les activités d’Actiris en matière de mise à l’emploi.

 

[1] La digitalisation et le marché du travail belge. Shaping the future of work, Agoria, 2018

La nouvelle prime à l'emploi bruxelloise

Extrait de presse
Nouveau coup de pouce pour les néo-chômeurs

Extraits de l’article paru dans L’Écho

Pendant un semestre, les employeurs qui engagent des Bruxellois nouvellement inscrits chez Actiris bénéficieront d’une réduction de la charge salariale de 800 euros par mois.

[…] Concrètement, tous les Bruxellois inscrits chez Actiris entre le 1er avril 2020 et le 31 mars 2021 pourront, dès le 1er janvier prochain, être porteurs d’une prime d’un montant de 800 euros par mois pendant un semestre. À condition d’être diplômés au maximum du secondaire et d’être engagés pour une durée de six mois minimum ou en CDI.

Pour les moins de 30 ans ayant au minimum un diplôme du secondaire supérieur, le montant s’élèvera à 500 euros par mois pour la même période. Enfin, les artistes pourront bénéficier d’une prime de 500 euros sur six mois pour tout contrat d’au minimum un mois.

[…] «D’une part, on va assister à une raréfaction des offres d’emploi dans plusieurs secteurs. D’autre part, le nombre de chercheurs d’emploi va augmenter à Bruxelles, mais aussi en Flandre et en Wallonie. Il faut que les Bruxellois soient plus compétitifs que leurs voisins. J’espère que Phoenix.brussels fera la différence. Celle qui permettra aux Bruxellois de décrocher un emploi», déclare Bernard Clerfayt, dans un communiqué de presse. […]