24 heures climat : dénicher les pépites bruxelloises

Actualité
24 heures climat : Bernard Clerfayt invite les proteurs de projets à s'inscrire.

Le plan d’action défini par le Conseil européen en octobre 2014 est plus que jamais d’actualité. Il fixe à 40% au moins la réduction des émissions de gaz à effet de serre et vise à augmenter la part des énergies renouvelables et l’efficacité énergétique de 32 %.

Pour montrer comment ces priorités prennent forme, le studio bruxellois de la World Press Club Alliance for Climate permet aux porteurs de projets bruxellois qui s'inscrivent dans la lutte contre le réchauffement climatique, de valoriser leurs actions lors des 24 heures climat qui auront lieu ce vendredi le 23 octobre. L'événement bénéficiera d'une diffusion mondiale.

Inscrivez votre projet avant le 30 septembre pour les 24 heures climat

En vous inscrivant vous permettrez peut-être à votre activité ou projet de gagner en visibilité. Donnez une chance supplémentaire à votre entreprise, association ou administration communale ou régionale qui développe ou projette une ou des actions s’inscrivant dans la lutte contre le réchauffement climatique. Pour participer, complétez ce formulaire avant le 30 septembre. Votre proposition sera soumise au Comité de sélection spécifiquement organisé pour élire les projets bruxellois. A la clé, pour les projets retenus, des capsules vidéo seront réalisées par des professionnels.

Lutter contre le changement climatique grâce au numérique, et créer de l’emploi

Toutes les initiatives de terrain sont importantes pour atteindre les objectifs climat 2030. Qu’elles soient publiques ou privées, ou encore portées par des citoyens ou associations.

Pour le Ministre bruxellois Bernard Clerfayt, « il y va de la sauvegarde de conditions de vies durables pour tous. De plus, bon nombre de ces projets intègrent les technologies du numérique pour optimiser la production industrielle ou la consommation énergétique des bâtiments par exemple. Et la plupart d’entre eux génèrent des emplois durables et locaux ».

La Région bruxelloise doit valoriser ses nombreux atouts

Mobilité, économie circulaire, gestion des déchets, finance durable, qualité de l’air, gestion de l’eau, biodiversité, énergies ou construction basse énergie, législation environnementale, etc., les secteurs d’activité éligibles sont étendus. Bon nombre de secteurs sont concernés et Bruxelles regorge d’initiatives qui s’y développent.

S'agissant d'un événement bénéficiant d'une couverture médiatique mondiale, 24 heures climat est une belle opportunité pour la Région bruxelloise pour valoriser les savoir-faire et les initiatives qui émergent et grandissent sur son territoire. Pendant 24 heures, chaque fuseau horaire l’un après l’autre en donnera le live à différents clubs de presse.

Bernard Clerfayt invité de BX1+ : fusion des zones de police et bilinguisme des services

Actualité
Interview de Bernard Clerfayt à propos des zones de police et du bilinguisme des services

Le Ministre de l’Emploi Bernard Clerfayt était l’invité de BX1+ ce mardi 8 septembre. Il a abordé plusieurs questions d’actualité dont bien-sûr les velléités de certains élus flamands de voir fusionnées les zones de police bruxelloises.

Le Ministre a été très clair, les fantasmes de certains élus de Flandre de voir fusionner les zones de police bruxelloises ne correspondent pas aux attentes réelles des citoyens.

Car ce qui doit garantir l’unicité de fonctionnement, c’est bien la police fédérale rappelle le Ministre bruxellois. Cette même police fédérale qui n’a cessé d’être sous-financée par la NVA lors de sa participation au gouvernement. Il faut renforcer la police fédérale, lui donner les moyens de fonctionner encore plus efficacement. Et il nous faut une justice à Bruxelles qui puisse assurer les poursuites.

S’agissant du bilinguisme des services au public en Région bruxelloise, Bernard Clerfayt a rappelé qu’il y a très peu de plaintes de la part des usagers. Par contre, la situation actuelle qui impose une répartition 50/50 aux niveaux supérieurs pour les agents des services bruxellois est plutôt discriminante pour les emplois des jeunes bruxellois qui souhaitent y faire carrière. De plus, les quotas qui imposent plus d'un quart de néerlandophones empêchent une part des jeunes francophones, plus nombreux, d'accéder à des postes.

Vous retrouverez l’entièreté de cette interview ici.  

Un nouveau bourgmestre pour Berchem-Sainte-Agathe

Actualité
Berchem_Sainte_agathe

Ce jeudi 3 septembre, Christian Lamouline prêtera serment entre les mains du Ministre bruxellois des Pouvoirs Locaux, Bernard Clerfayt, en tant que bourgmestre de Berchem-Sainte-Agathe.

Actuel secrétaire général du SPRB, Christian Lamouline succède à Joël Riguelle qui avait annoncé sa démission au Conseil communal du mois de juin après 32 années passées sur les bancs du conseil communal, dont 6 comme échevin et 16 comme Bourgmestre.

Ce licencié en droit de l’Université Catholique de Louvain, âgé de 51 ans, prendra donc les rênes de Berchem-Sainte-Agathe, commune du Nord-ouest de Bruxelles et comptant un peu plus de 25.000 habitants, au 3 septembre prochain.

« La direction d’une commune est un projet exaltant et ô combien prenant et captivant. Au plus proche des citoyens, la gestion locale offre de réelles opportunités d’agir durablement sur le quotidien des habitants. Je souhaite à Monsieur Lamouline un franc succès dans ses nouvelles fonctions », déclare Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois des Pouvoirs Locaux.  

 

Marchés publics bruxellois : la facturation électronique devient obligatoire

Communiqué de presse

A partir du 1er novembre 2020, seules les factures sous format électronique structuré (XML) seront acceptées pour tous les marchés publics passés par les administrations et les organisations publiques régionales bruxelloises. Après cette date, les factures sous un autre format (papier, email,etc.) ne seront plus traitées.

Dans un objectif de modernisation et de simplification administrative, le Gouvernement bruxellois a décidé de généraliser l’usage de la facturation électronique. Les factures électroniques seront donc obligatoires.

  • Depuis ce 1er septembre 2020, pour les marchés publics supérieurs à 30.000 € HTVA.
  • À partir du 1er novembre 2020, pour tous les marchés publics.

La facturation électronique - la dématérialisation complète du processus de facturation, de sa réception à sa comptabilisation - apporte une réelle valeur ajoutée aux administrations publiques et à leurs fournisseurs. Cela permet de limiter les erreurs  d’encodage, d’assurer un traitement plus rapide des factures, de diminuer l’utilisation et du papier et surtout de diminuer la charge administrative des administrations et d’assurer un meilleur délai de paiement

Mais la facturation électronique, c’est aussi 5,77€ d’économie par facture pour les administrations destinataires, en comparaison avec le coût d’une facture papier.

« En imposant la facturation électronique aux entreprises qui souhaitent travailler avec les administrations publiques, nous visons l’effet boule de neige. En effet, l’objectif est que les entreprises ensuite n’utilisent plus que la facturation électronique avec l’ensemble de leurs clients. Cette obligation devrait inciter plus d’entreprises à opter pour la facturation électronique, qui, à long terme, s’imposera tant elle présente des avantages sur le plan pratique, économique, et environnemental »,conclut Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de la Simplification administrative.

Retrouvez toutes les informations relatives à la facturation électronique sur le site d’easy.brussels, l’agence bruxelloise pour la simplification administrative

Plus d’infos ?

  • Pauline Lorbat – Cabinet Clerfayt - 0485 89 47 45
  • Sarah De Cock – easy.brussels – 02 800 30 03

Christian Lamouline prêtera serment ce 3 septembre en tant que bourgmestre de Berchem Sainte-Agathe

Communiqué de presse

Ce jeudi 3 septembre, Christian Lamouline prêtera serment entre les mains du Ministre bruxellois des Pouvoirs Locaux, Bernard Clerfayt, en tant que bourgmestre de Berchem-Sainte-Agathe.

Il succède ainsi à Joël Riguelle qui avait annoncé sa démission au Conseil communal du mois de juin. Agé de 65 ans, ce dernier n’avait pas fait secret de son intention de céder son poste à mi-mandat à Christian Lamouline.

Ancien chef de cabinet à la Ville de Bruxelles et de l’ancien Ministre Benoit Cerexhe, Christian Lamouline est l’actuel secrétaire général du SPRB.

Ce licencié en droit de l’Université Catholique de Louvain, âgé de 51 ans, prendra donc les rênes de Berchem-Sainte-Agathe, commune du Nord-ouest de Bruxelles et comptant un peu plus de 25.000 habitants, au 3 septembre.

« La direction d’une commune est un projet exaltant et ô combien prenant et captivant. Au plus proche des citoyens, la gestion locale offre de réelles opportunités d’agir durablement sur le quotidien des habitants. Je souhaite à Monsieur Lamouline un franc succès dans ses nouvelles fonctions », déclare Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois des Pouvoirs Locaux. 

La prestation de serment se déroulera ce jeudi 3 septembre à 14h30 au BIP.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat - 0485 89 47 45

Bernard Clerfayt : «La fusion des zones de police ne répond à aucun besoin»

Actualité
Policiers bruxellois en vélo | La police en Région de Bruxelles-Capitale est organisée en 6 zones

Ce mardi 14 juillet, en Commission des Affaires Intérieures, Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois des Pouvoirs locaux, a répondu aux questions des députés bruxellois sur les zones de police. L’occasion pour le Ministre de rappeler que le fonctionnement de la police bruxelloise en six zones a un coût moindre que dans les autres grandes villes et que la police y est plus efficace car la criminalité est en baisse.

« Bruxelles, pour un coût moins important qu’ailleurs, est l’une des villes les plus sûres de Belgique. Et il est étonnant qu’elle soit mise sur les bancs des accusés en matière d’insécurité. La fusion des zones de police ne répond à aucun besoin. Au contraire, les zones de police permettent d’effectuer un travail de terrain conformément aux besoins du quartier. C’est pour cela que notre système bruxellois de police est plus efficace »

« Le coût moyen est plus faible qu’en Flandre et qu’en Wallonie. Il est donc faux de prétendre que l’organisation décentralisée de la police bruxelloise est un facteur de surcoût », explique Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois des Pouvoirs Locaux.

Bruxelles, comme toutes les autres grandes zones urbaines, connaît son lot de faits criminels et délictueux. Si certains politiques, principalement flamands, voient la fusion des zones de police comme la solution pour mettre fin à l’insécurité, une étude de l’université de Gand démontre que cette fusion n’aurait aucune plus-value.

Mais ce fonctionnement en six zones est-il efficace ? Car, il y a une forte attente de la part des citoyens pour un bon fonctionnement de la police. Tous veulent, de meilleurs résultats au moindre coût. D’après l’étude de l’université de Gand, Bruxelles connaît un taux de criminalité égal ou inférieur aux autres grandes villes belges. Les grandes villes belges présentent un taux de criminalité moyen de 130 cas pour 1000 habitants. Par rapport à cette moyenne, la Région bruxelloise connait un profil plus calme avec 118 faits criminels pour 1000 habitants.

« La fusion des zones de police ne répond à aucun besoin »

Communiqué de presse

Ce mardi 14 juillet, en Commission des Affaires Intérieures, Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois des Pouvoirs Locaux, a répondu aux questions des députés bruxellois sur les zones de police. L’occasion pour le Ministre de rappeler que le fonctionnement de la police bruxelloise en six zones a un coût moindre que dans les autres grandes villes et que la police y est plus efficace car la criminalité est en baisse.

Bruxelles, comme toutes les autres grandes zones urbaines, connaît son lot de faits criminels et délictueux. Si certains politiques, principalement flamands, voient la fusion des zones de police comme la solution pour mettre fin à l’insécurité, une étude de l’université de Gand démontre que cette fusion n’aurait aucune plus-value.

« D’aucuns insistent sur le coût des zones de police. Là encore, les critiques, surtout flamandes, sont malvenues puisqu’elles ne reposent sur aucune analyse chiffrée. En effet, les dernières données disponibles démontrent qu’Anvers consacre 30% de plus que Bruxelles pour financer ses services de police. A Bruxelles, le coût moyen est plus faible qu’en Flandre et qu’en Wallonie. Il est donc faux de prétendre que l’organisation décentralisée de la police bruxelloise est un facteur de surcoût », explique Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois des Pouvoirs Locaux.

Mais ce fonctionnement en six zones est-il efficace ? Car, il y a une forte attente de la part des citoyens pour un bon fonctionnement de la police. Tous veulent, de meilleurs résultats au moindre coût. D’après l’étude de l’université de Gand, Bruxelles connaît un taux de criminalité égal ou inférieur aux autres grandes villes belges. Les grandes villes belges présentent un taux de criminalité moyen de 130 cas pour 1000 habitants. Par rapport à cette moyenne, la Région bruxelloise connait un profil plus calme avec 118 faits criminels pour 1000 habitants.

« Bruxelles, pour un coût moins important qu’ailleurs, est l’une des villes les plus sûres de Belgique. Et il est étonnant qu’elle soit mise sur les bancs des accusés en matière d’insécurité. La fusion des zones de police ne répond à aucun besoin. Au contraire, les zones de police permettent d’effectuer un travail de terrain conformément aux besoins du quartier. C’est pour cela que notre système bruxellois de police est plus efficace », conclut le Ministre bruxellois.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – 0485 89 47 45