Job day d'Infrabel

Extrait de presse
Infrabel cherche 150 nouveaux collaborateurs à Bruxelles

Extraits de l'article publié par lacapitale.be

L'un des plus gros employeurs de Belgique lance une grande campagne de recrutement. Infrabel cherche 930 nouveaux collaborateurs en 2022 dont 150 à Bruxelles.

[…] « Infrabel se donne les moyens de gagner la guerre des talents qui règne à Bruxelles. Elle offre des emplois de
qualité avec une possibilité d'évolution et un emploi qui a du sens car le rail est le futur », déclare Bernard
Clerfayt (DéFI), ministre bruxellois de l'Emploi.

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Infrabel recrute, les Bruxellois doivent prendre leurs places

Actualité
Le ministre Bernard Clerfayt a participé au lancement du JobDay d'Infrabel, dans le centre de formation Infrabel Academy

Infrabel veut recruter 930 personnes cette année. Un défi pour l’entreprise publique qui a besoin de nouveaux collaborateurs pour garantir le fonctionnement d’une infrastructure vitale pour l’économie du pays. Mais ce sont aussi des opportunités pour les chercheurs d’emploi bruxellois pouvant faire valoir un profil technique ou prêts à s’adapter facilement à un secteur spécifique pour les activités de contrôle.

Pour propulser sa campagne de recrutement, l’entreprise publique a organisé ce samedi 30 avril un JobDay dans son centre de formation, Infrabel Academy. L’occasion pour les candidats de découvrir les métiers du rail, de rencontrer les professionnels.

«Des emplois de qualité avec une possibilité d'évolution»

Alors que la Région bruxelloise engage un processus de montée en puissance de la formation professionnelle et vise un taux d’emploi de 80% à l’horizon 2030, le Ministre de l’Emploi est intervenu lors du lancement de cette journée pour souligner le rôle crucial des acteurs majeurs de l’économie, et principalement les grandes entreprises publiques pourvoyeuses d’emploi.

Le Ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle a rappelé à cette occasion l’importance de l’effort de formation, une dynamique dans laquelle doit s’engager chaque chercheur d’emploi. Mais la responsabilité de faire progresser le taux d’emploi dans toutes les Régions, doit être partagée. « Infrabel se donne les moyens de gagner la guerre des talents qui règne à Bruxelles. Elle offre des emplois de qualité avec une possibilité d'évolution et un emploi qui a du sens car le rail est le futur », a relevé Bernard Clerfayt lors de son discours.

Le ministre Bernard Clerfayt est intervenu lors de l'ouverture du JobDay d'Infrabel.

Intégrer la formation dans le parcours du chercheur d'emploi

Extrait de presse
Extrait de presse, L'Echo : "Les chercheurs d'emploi bruxellois bientôt obligés de se former".

Extraits de l'article paru dans L'Echo du 29 avril :

À la suite d’une série de séminaires visant à déterminer les priorités pour les deux années à venir, le gouvernement de Rudi Vervoort (PS) a présenté ce jeudi à la presse sa nouvelle feuille de route.

[…] En matière d’emploi, une nouveauté sémantique a toutefois fait son apparition puisqu’il est question de mettre en place, d’ici à la fin de la législature, l’obligation d’un bilan de compétences et d’un parcours de formation choisi et adapté pour les chercheurs d’emploi bruxellois. Interrogé en marge de la conférence de presse, Bernard Clerfayt (DéFI) explique qu’il reviendra, en effet, à Actiris de dresser, pour tous les demandeurs d’emploi un bilan des compétences linguistiques, numériques et professionnelles. Pour rappel, une partie de l’enveloppe obtenue dans le cadre du plan de relance européen servira à développer des modules de test pour objectiver le niveau des demandeurs d’emploi sur base d’un référentiel commun en langues et en numérique.

«Et puis les chercheurs d’emploi qui n’ont pas trouvé de travail après un an seront obligés de choisir une trajectoire d’acquisition de compétences supplémentaires. L’objectif est donc de monter en compétences via une obligation de formation, mais chacun sera totalement libre de choisir dans quel domaine. Par exemple, il n’est pas question de forcer quelqu’un à devenir chauffeur poids lourd sous prétexte qu’il y a une pénurie. Mais on ne pourra pas non plus se contenter d’attendre que le travail arrive tout seul», résume le ministre régional de l’Emploi et de la Formation.

Et Bernard Clerfayt d’insister sur le fait qu’il ne s’agit donc pas de sanctionner les chômeurs qui refusent un métier en pénurie, comme l’avait proposé de façon «provocatrice» le président du MR Georges-Louis Bouchez. «Si je caricature le débat politique: certains, à gauche, pensent que les chômeurs sont des victimes et d’autres, à droite, que ce sont des feignasses qui n’ont qu’à traverser la rue pour trouver du boulot. Or, même s’il peut y avoir un peu des deux, ce n’est jamais aussi caricatural. Bien sûr qu’il y a des gens compétents qui ne trouvent pas d’emploi parce qu’il n’y en a pas assez. Mais dans un marché de l’emploi concurrentiel comme à Bruxelles, il faut aussi parfois faire un effort et se former pour gagner la guerre des talents.»

À ce stade, aucun régime de sanction n’est toutefois défini pour les demandeurs d’emploi qui refuseraient de se former. «Cela pourra toujours être intégré dans le processus de sanction de disponibilité à l’emploi. Mais je ne veux pas insister sur le fait que l’on va sanctionner les chômeurs, je veux expliquer que c’est dans leur intérêt de se former, que ce soit l’apprentissage d’une langue, du numérique ou de la réorientation dans une nouvelle filière. La possibilité de reprendre des études pour un métier en pénurie en conservant l’allocation chômage reste un mécanisme trop peu utilisé», déplore le ministre amarante.
Pour inciter les Bruxellois à s’accrocher dans un parcours de formation de longue durée, le revenu de formation sera porté à 3€/heure pour les métiers en pénurie. «Un accord avec le Fédéral pour défiscaliser cette indemnité de formation permettra de garantir aux chercheurs d’emploi son plein usage.»

[…]

Pour des tests contre la discrimination à l’embauche plus efficients

Actualité
Photo d'une jeune femme en entretien d'embauche

Sur proposition de Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi, le gouvernement bruxellois a marqué son accord en première lecture pour renforcer les tests contre la discrimination à l’embauche.

« Bruxelles a toujours été pionnière en matière de lutte contre les discriminations à l’embauche. En améliorant les tests, nous le confirmons ! D’ailleurs, au-delà des tests, c’est bien une nouvelle stratégie que je souhaite mettre en place pour permettre à chaque Bruxellois, peu importe ses caractéristiques physiques, d’intégrer le marché de l’emploi. 15 engagements forts pour que tous les Bruxellois bénéficient des mêmes chances de décrocher un emploi », commente Bernard Clerfayt.

Des tests contre la discrimination à l’embauche plus simples

Les conditions d’utilisation des tests seront simplifiées. Actuellement, ceux-ci ne peuvent avoir lieu que sur base de signalements. Bientôt, les inspecteurs régionaux de l’emploi pourront procéder à des tests contre la discrimination à l’embauche sur base de présomptions suffisantes.

Pas d’arbitraire, mais une suspicion objective

Les tests seront également plus proactifs. Il n’est pas question de procéder à des tests arbitraires, réalisés au hasard. Cependant, si une étude tend à démontrer une suspicion raisonnable de phénomène de discrimination dans un secteur d’activité, les inspecteurs pourront réaliser des tests de discrimination dans ce secteur moyennant l’accord préalable de l’Auditorat du Travail.

Aussi in situ

Enfin, les inspecteurs pourront également, sous un nom d’emprunt, se présenter au sein d’une entreprise pour faire constater une éventuelle différence de traitement.

La Région bruxelloise à l’avant-garde

Bruxelles a toujours été pionnière en matière de lutte contre les discriminations à l’embauche. Depuis 2018, les inspecteurs régionaux de l’emploi peuvent mener des tests de situation visant à objectiver les cas de discrimination. D’ailleurs, l’inspection bruxelloise du logement et l’inspection sociale fédérale se sont largement inspirées de cette réglementation pour mener des tests similaires à leur niveau.

La disproportion des signalements de discrimination à l’embauche à corriger

Les discriminations à l’embauche restent une réalité au sein de notre Région. Le phénomène d’accès inégalitaire à l’embauche selon l’origine ethnique ou nationale des individus a été démontré dans de nombreuses études au cours des dernières années (SPF Emploi, Travail et Concertation sociale, Unia, Union européenne...). L’origine n’est pas le seul critère de discrimination à l’embauche. Elle fait partie de l’un des 19 critères protégés par la législation anti-discrimination.

En Région bruxelloise, alors que l’impact de la discrimination à l’embauche est important, le nombre de signalements reste faible. Entre 2018 et 2021, seuls 45 signalements ont été reçus par les inspecteurs régionaux de l’emploi, en provenance principalement d’UNIA et de l’Institut pour l’Égalité Femme Homme.

C’est pourquoi, Bernard Clerfayt a décidé de rendre ces tests contre la discrimination à l’embauche plus simples et plus proactifs. « Discriminer, c’est gaspiller des ressources. Or, Bruxelles ne peut se permettre de gaspiller ses propres ressources que sont tous les talents bruxellois », insiste le Ministre amarante.

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Des tests plus simples, proactifs et in situ pour lutter contre la discrimination à l’embauche

Communiqué de presse

Sur proposition de Bernard Clerfayt, Ministre bruxellois de l’Emploi, le gouvernement bruxellois a marqué son accord en première lecture pour renforcer les tests de discrimination à l’embauche.

Bruxelles a toujours été pionnière en matière de lutte contre les discriminations à l’embauche. Depuis 2018, les inspecteurs régionaux de l’emploi peuvent mener des tests de situation visant à objectiver les cas de discrimination. D’ailleurs, l’inspection bruxelloise du logement et l’inspection sociale fédérale se sont largement inspirées de cette réglementation pour mener des tests similaires à leur niveau.

Cependant, les discriminations à l’embauche restent une réalité au sein de notre Région. Le phénomène d’accès inégalitaire à l’embauche selon l’origine ethnique ou nationale des individus a été démontré dans de nombreuses études au cours des dernières années (SPF Emploi, Travail et Concertation sociale, Unia, Union européenne...). L’origine n’est pas le seul critère de discrimination à l’embauche. Elle fait partie de l’un des 19 critères protégés par la législation anti-discrimination.

En Région bruxelloise, alors que l’impact de la discrimination à l’embauche est important, le nombre de signalements reste faible. Entre 2018 et 2021, seuls 45 signalements ont été reçus par les inspecteurs régionaux de l’emploi, en provenance principalement d’UNIA et de l’Institut pour l’Egalité Femme Homme.

C’est pourquoi, Bernard Clerfayt a décidé de rendre ces tests de discrimination plus simples et plus proactifs. « Discriminer, c’est gaspiller des ressources. Or, Bruxelles ne peut se permettre de gaspiller ses propres ressources que sont tous les talents bruxellois », insiste le Ministre amarante.

Des tests plus simples, plus proactifs et sur place

Les conditions d’utilisation des tests seront simplifiées. Actuellement, ceux-ci ne peuvent avoir lieu que sur base de signalements. Bientôt, les inspecteurs régionaux de l’emploi pourront procéder à des tests sur base de présomptions suffisantes.

Les tests seront également plus proactifs. Il n’est pas question de procéder à des tests arbitraires, réalisés au hasard. Cependant, si une étude tend à démontrer une suspicion raisonnable de phénomène de discrimination dans un secteur d’activité, les inspecteurs pourront réaliser des tests de discrimination dans ce secteur moyennant l’accord préalable de l’Auditorat du Travail.

Enfin, les inspecteurs pourront également, sous un nom d’emprunt, se présenter au sein d’une entreprise pour faire constater une éventuelle différence de traitement.

« Bruxelles a toujours été pionnière en matière de lutte contre les discriminations à l’embauche. En améliorant les tests, nous le confirmons ! D’ailleurs, au-delà des tests, c’est bien une nouvelle stratégie que je souhaite mettre en place pour permettre à chaque Bruxellois, peu importe ses caractéristiques physiques, d’intégrer le marché de l’emploi. 15 engagements forts pour que tous les Bruxellois bénéficient des mêmes chances de décrocher un emploi », conclut Bernard Clerfayt.

Plus d’infos ?
Pauline Lorbat – Cabinet Clerfayt - 0485 89 47 45

Critères discriminants pour l'engagement

Extrait de presse
Extrait de presse, La Libre : "Des balayeurs affirment être poussés à déménager à Bruxelles pour être engagés"

Extrait de l'article publié par La Libre

[…]  Ils m’ont tous dit : ‘Non, tu habites Schaerbeek, la priorité, c’est ceux qui habitent 1000 Bruxelles’. L’un m’a dit : tu n’as pas droit au contrat. Et il m’a conseillé de déménager.

[…] “Il est interdit de mettre en place des quotas ou de se baser sur le lieu de résidence pour l’engagement”, confirme la porte-parole de Bernard Clerfayt (Défi), ministre bruxellois des Pouvoirs locaux, sans se prononcer sur le cas concret de Bruxelles. “ Préciser dans une offre d’emploi qu’on recrute une personne résidant dans une telle commune est illégal et discriminatoire. Si une personne estime qu’elle n’est pas engagée car elle n’habite pas dans la commune qui propose le poste, elle peut déposer plainte. On pourrait ensuite procéder à un test de discrimination et poursuivre devant les tribunaux compétents.” […]

Le ministre Bernard Clerfayt invité du magazine d'actualité +d'Actu

Extrait de presse
Logo de +d'Actu, le magazine d'actualité de BX1

Lors de l’émission +d’Actu de BX1+ du 22 avril 2022, le ministre Bernard Clerfayt a répondu à plusieurs questions d’actualité. Voici un compte-rendu de ses réponses relatives à ses matières de compétence.

40.000 nouveaux emplois créés en 2021 d’après Actiris. Il n’y a pas eu d’effets de la crise du Covid ?

La crise du Covid a ralenti la baisse du chômage. Depuis quelques années nous avons une forte baisse du chômage […]. L’État fédéral et la Région ont dépensé beaucoup pour maintenir les entreprises fragilisées et les emplois. Ce soutien à l’activité économique crée aujourd’hui une activité économique croissante.

À Bruxelles on a des emplois mais ce ne sont pas les Bruxellois qui en profitent. Va-t-on pouvoir corriger cela ?

On a 760.000 emplois sur le territoire de la Région mais seulement la moitié sont occupés par les Bruxellois. Il y a une guerre des talents à Bruxelles. Beaucoup de navetteurs viennent postuler pour les emplois et les Bruxellois n’ont pas toujours les compétences requises pour accéder aux emplois. On a un vrai enjeu de montée en compétence, des compétences qui seront nécessaires pour les emplois de demain.

Peut-on donner du travail aux sans-papiers ?

La loi telle et la répartition des compétences entre l’État fédéral et la Région sont telles que la Région peut donner un donner un permis de travail pour un travailleur qui vient de l’étranger s’il a des compétences que l’on ne trouve pas en Région bruxelloise et qui sont essentielles pour une entreprise. Nous le faisons en accordant des milliers de permis de travail chaque année. Mais c’est l’État fédéral qui a gardé la compétence d’accorder l’accès au territoire.

Qu’en est-il des entreprises de titres-services qui demandent des suppléments au motif de l’augmentation des frais de transport ?

L’entreprise a le droit de demander des frais à ses clients, mais le client a le droit de changer d’agence dès qu’il estime que le service est trop cher. Il y en plus de 200 actives en Région bruxelloise.

À propos des titres-services, vous aviez annoncé travailler à une réforme. Où en est-on ?

Le gouvernement a approuvé une note qui encadre ce projet de réforme. Nous l’avons soumise aux partenaires sociaux et j’espère avoir une réponse au courant du mois de mai.

Le titre service coûtera 10 euros au lieu de 9 euros ?

Nous remboursons le titre-service 24 euros à l’entreprise qui paye le salaire. Chaque année cette intervention est indexée alors que l’usager paye toujours 9 euros. L’usager qui paye 9 euros reçoit un service d’une valeur de 15 euros supplémentaires. J’espère que la décision de cette réforme se fera avant l’été.

À propos de l’abattage rituel, n’y a-t-il pas un déni des autres méthodes d’abattages plus cruelles encore ?

Actuellement l’étourdissement est imposé pour tout abattage en Région bruxelloise, sauf pour raisons religieuses. Le débat est de savoir s’il convient ou pas de supprimer cette exception. La Région wallonne l’a fait et tous les partis politiques, PS, MR, CdH, Écolo, ont voté, idem pour les partis de la majorité en Flandre. Aujourd’hui la question se pose à Bruxelles. Cette question sera débattue au parlement et je voudrais que le parlement écoute toutes les parties concernées pour que les parlementaires, en âme et conscience, puissent choisir. Cette question n’est plus dans les mains du gouvernement. Je peux avoir un avis en tant que ministre du Bien-être animal et vous dire que le Conseil du Bien-être animal a émis un avis très clair sur cette question.